Formule 1
La Formule 1 est une voiture qui ressemble à tout sauf à une voiture, tel est le concept.
La Formule 1, mais qu'est-ce que c'est ?
La nana aux cheveux bleus dit : | |
En effet, je me pose la question. |
- Et bien, chère nana aux cheveux bleus, je viens de l'expliquer ci-dessus, faut suivre bordel.
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Le mieux serait des explications en détail, boulet. |
- Bon ben attends deux secondes.
Explications techniques avec des schémas et tout l'bordel
- Voilà, c'est parfait.
- Bref, une F1 a un volant (pour tourner voire pour pouvoir l'arracher et le jeter par terre quand on est pas content), quatre roues, et un moteur car un pilote de F1 n'aime pas le cyclisme. Par ailleurs, vous pouvez trouver à votre droite un schéma simplifié du fonctionnement d'un moteur de Formule 1.
- Contrairement à une voiture normale, une F1 n'a pas de pare-brise, car à 320 km/h, un impact plus petit qu'une pièce de 2€ peut se transformer en une grosse fissure si le pilote en question roule sur un dos d'âne, et ça va lui niquer sa course ma bonne dame, car il va devoir s'arrêter à son stand et payer la franchise !
- Pour revenir au moteur, ce dernier produit un son inimitable, oserais-je dire du porno pour les oreilles ? J'ose. C'est du porno pour les oreilles. Ci-dessous, vous pourrez à votre tour vous astiquer le tympan par le biais de cette vidéo :
- Mythique.
Le Lard du dépassement
- Comme dirait ces cons de britons (hihihi, ça rime), l'oveurtéking nécessite de la précisision. Prenez cet exemple :
- Premièrement, monsieur Christian Fittipaldi (celui qui est à la verticale) s'y prend très mal. En effet, il est impératif qu'il se soit gratté les testicules avant son dépassement. Là on voit très clairement que ce n'est pas le cas, puisqu'une lumière divine jaillit entre son aileron avant et sa suspension avant (à gauche quoi).
Second exemple :
- Voici un exemple typique de dépassement. Nelson Piquet (fulguropoing) a eu la lucidité de sortir Eliseo Salazar de la piste après une cinquantaine de tentatives pour lui prendre un tour. De ce fait, il peut désormais lui casser la gueule et prendre sa position, bien joué Piquet !
Le week-end de Grand Prix
Alors c'est très simple, 45 fois par an, 22 connards se donnent rendez-vous sur une piste de merde pour savoir qui est le plus rapide. Attention, les éjaculateurs précoces sont disqualifiés d'office. On va commencer par le commencement, car si on commence par le financement ça ne veut rien dire et c'est très con.
Vendredi Il est 10h dans la banlieue de Grozny. Les essais libres du premier Grand Prix de Tchétchénie débutent. Tout de suite, Franck Montagny entre dans le garage Red Bull comme s'il était chez lui et commence à expliquer les tenants et les aboutissants du tout dernier rétroviseur top secret, tranquille l'enculé. Les séances d'essais libres n'existent que pour aider le parieur dans sa quête à la côte ultime, mais aussi pour donner un peu d'espoir aux fans d'Alonso. Ainsi on pourra entendre à la fin de la journée sur chaque bon forum d'automobile " Cher xXVetteldu8miliardXx, je tiens à te signaler que Melonso a fini à 9 dixièmes du temps d'Hamilton cette séance. Compte tenu de la pression atmosphérique relativement basse que n'aime pas sa Charette F2013, il y a - au moins ! - 4 millièmes à gagner dans le secteur 1. Alors, excuse-moi de t'annoncer cela cher comparse, mais nique bien ton père"
Ceci étant dit, passons au samedi.
Samedi
Déjà, on commence un peu à se bouger le fion dans le paddock. Encore une séance de branlette intellectuelle à 11h et on est parti pour les qualifs ! Ouais, super !
Sachez que les qualifs sont divisées en 3, histoire de dégager les bites molles du fond du classement rapidement.
Q1 : Rien de surprenant dans la première séance, si ce n'est la nouvelle élimination de Paul di Resta et de Bottas. L'écossais est d'ailleurs très furieux, on peut l'entendre engueuler son équipe à la radio. La voiture ferait donc défaut ? Il faut dire que Sutil ne fait pas mieux que 3e, à voir... Ou alors c'est le talent.
Q2 : Ça se réchauffe, ça se réchauffe ! Les Mercedes, reléguées aux 17e et 32e places hier, sont touchées par la grâce et finissent 1 et 2, comme ça d'un coup. Derrière, Button qui ne sait toujours pas comment régler une caisse, est éliminé. Cruelle désillusion chez McLaren ! Pérez tentera d'égayer cette séance en se foutant au tas mais le coeur n'y est plus. Jean-Eric Verge se fait également sortir de cette séance, mais Canal+ dit que c'est pas grave parce qu'il est français donc c'est Dieu.
Q3 : Dernière séance ! Dans son premier relais, Vettel établit un temps record de 1'12.9001, alors que tout le monde avait tourné en dessous de 2'45 depuis le début du week-end. Une fois de plus, les mauvaises langues parleront de tricherie, mais ce n'est que la beauté de ce sport. Dégoûté par ce fils de nazi, personne ne sort. Personne ? Non ! Un grand franco-suisse résiste à la collaboration et fait le tour de sa vie. GROSJEAN EST EN POLE POSITION VIVE LA FRANCE ! Tout de suite, Fébreau se branle et Villeneuve le chauve, impassible, continue de vomir sa haine sur Gutierrez qui n'a pas le droit de défendre sa position parce que Jacques l'a dit. Nous avons donc en haut de la feuille des temps : Grosjean, Vettel, Hamilton, Rosberg, Alonso et Van der Garde.
Dimanche
Aujourd'hui, c'est la course. Après que Montagny nous ait montré la moule de la meuf de Newey avec les caméras exclusives d'Anal+, on fout bien la pression sur Grosjean parce qu'il est français ducon. Tu piges ? FRANCAIIIIIIIIIIIIIISSSSSSSSSS §!
Après le lavement de chibre, tout le monde évacue les lieux et la course peut commencer. Est-ce que Grosjean va se crasher ? Non ! Il se maintient en tête après le premier virage ! Chez Lotus, Boullier peut réduire sa dose de Prozac.
Comme nous sommes sur un circuit "à la Tilke", personne se dépasse. Pendant ce temps, Fébreau s'extasie sur le superbe dépassement de Raikkonen sur Mass... ah non attendez c'était un replay d'il y a 6 mois, ça arrive à tout le monde. A la mi-course, Grosjean est toujours devant, quand d'un coup, son KERS et DRS se grippent, ses rapports de boîte s'en vont et ne reviennent plus , son moteur explose et son châssis se casse en deux ! Coup dur pour le franco-suisse qui doit arrêter là. "C'est la faute à pas de chance" nous confiera-t-il plus tard. Notons que Webber a connu exactement le même problème une fois son dépassement sur Vettel parfaitement exécuté ! Quelques spectateurs se réveillent. Vettel a désormais le champ libre, et colle 8 secondes au tour à son dauphin Alonso. De son côté, Lewis Hamilton écope d'une pénalité parce qu'il est noir.
A la fin de ce 10e tour sur les 85 à faire, les positions ne changeront plus. Vettel gagne avec deux Grands Prix d'avance sur Alonso, suivent Rosberg, Hamilton et ta mère. Après cette superbe victoire, qui ne s'est joué à rien, l'allemand a 172 points d'avance sur le deuxième, Kimi Raikkonen. Vettel déclarera à la presse "vouloir envahir la Pologne et annexer l'Autriche".
60 ans qu'on se tape des siestes sur le canap' Château d'Ax du salon, payé à l'aide d'un crédit Cofidis sur 15 ans, et tout ça pour quoi ? Pour voir 24 glands payés des millions d'€uros pour tourner un volant ? Je fais aussi bien qu'eux ma Two O Five GTI, bordel.
Comme le titre l'indique, je vais vous décrire l'historique, que dis-je ? L'évolution de la F1, de 1950 à nos jours.
- Vu que cette partie risque d'être longue, je conseille à ceux qui aiment pas se taper des lignes et des lignes que je fais pas d'articles sur-mesure moi, non mais oh.
Le début du XXe siècle, le début du commencement.
D'après les historiens, le premier Grand Prix de F1 de l'Hisoire date du 16 juillet 1901, disputé en Corse, à Borgo (Haute-Corse, le meilleur département du Monde, bien meilleur que le département de ces enculés de Sudistes) dans le champ de Doumé. Lors de ce Grand Prix, le Marseillais Marcel Patulacci (25/04/1872 - 16/07/1901) s'imposera devant les corses "Antò" Agostini et Ange Ubinacciu, avant d'accidentellement se plâtrer les pieds, après s'être administré une dizaine de balles de fusil un peu partout dans son organisme, puis de se noyer dans le port de Bastia, caché dans un sac poubelle. La police corse penchera pour la thèse de l'accident et classera l'affaire.
Dans les années 30, le jeune moustachu Adolf Hitler veut donner une bonne image des automobiles allemandes (Déjà qu'avec une Trabant 601, c'est pas gagné), et les constructeurs Mercedes et Taudi (Auto Union à l'époque) rejoignent les rangs de la F1, composée déjà des Maserati et des Alfa Romeo de Benito, les allemandes domineront la concurrence jusqu'en 39, parce qu'après c'est la guerre donc bon.
Après la guerre, les GP de F1 reviennent petit à petit et le premier Chapionnat du Monde est créé en 1950, pile quand le meilleur pilote du Monde de l'époque, un Français en plus, pour une fois qu'on gagne des trucs, Jean-Pierre Wimille, se tue après avoir voulu éviter des glands ses fidèles supporters, campant alors sur la piste même.
1950 - 1959 : 10 ans déjà, et des Championnats dominés par des ritals et un rosbeef
En 1950, le premier Championnat est donc créé et c'est l'italien Giuseppe Farina qui remportera la mise, avec ses talents de pilotage, une Alfa vieille de presque 20 ans et un Magnum 44. L'année suivante, c'est son équipier argentin Juan Manuel Fangio qui s'impose, toujours avec la même voiture. Par ailleurs, Alfa Romeo se retirera en fin de saison, lorsque les organisateurs ont commencés à se demander d'où venaient ces meurtes de pilotes et ces clous un peu partout sur les circuits. Les deux années suivantes, c'est Ferrari et l'italien Alberto Ascari qui remporteront les deux titres avant de voir revenir l'armada Mercedes et ses monstres à roues qui archi-domineront les Championnats 1954 et 1955, avec Fangio aux commandes. Lors des 24 heures du Mans 1955, un français se tue après qu'un angliche l'ai envoyé dans le décor, tuant au passage 80 spectateurs. Mercedes se retire de toute compétition totomobile du coup. En 1956 et 1957, Fangio s'impose de nouveau à bord d'une Ferrari, puis d'une Maserati avant de se retirer début 1958, n'oublions pas de préciser que le type avait déjà 47 ans en 1950. Fangio et ses 5 sacres partis, la concurrence peut sourire car elle a enfin une chance de gagner. Mike Hawthorn remportera le Championnat du Monde 1958, après avoir enfreint le règlement mais le Champion, alors virtuel, Moss, prendra sa défense, ce qui est pas malin puisqu'en le défendant, il perd son titre mais bon, s'il veut pas gagner, il veut pas gagner ma foi, faut pas chercher à comprendre... En 1959, l'australien Jack Daniel's Brabham remporte le titre avec sa Cooper à moteur arrière, une révolution pour l'époque.
1960 - 1969 : 20 ans, le début d'une révolution technologique, mais aucun français gagne, comme d'hab'
Brabham remettra ça une fois de plus en 1960, condamnant définitivement les F1 à moteur avant tout pas beau. Un an plus tard, Graham Hill remporte le titre. En fait, de 1961 à 1965, ce ne sont que des anglais qui vont remporter le Championnat, alors que les Français se font éclater comme des daubes, mais on va se venger, vous verrez bande de cons.
L'année suivant le sacre de Surtees le Smartees en 1965, Brabham devient le premier pilote à remporter le Championnat sur sa propre voiture, à savoir sur une Brabham. C'est le summum de la classe ça n'empêche.
En 1967, le pote de Brabham, Hulme le Nouveau, Zélandien, Zélandais Nouveau, Beaujolais Nouveau, Néo-Zélandais démonte Brabham et la concurrence en éxécutant le célèbre Ha-Ka au début de chaque Grands Prix pour dire aux autres qu'il faut pas le chercher, que c'est un fou dangereux. En 1968, Clark se tue en percutant Panpan, le pote de Bambi. Cette dernière sombrera dans l'alcool et la drogue à la suite de la perte de cet être cher à ses yeux. Hill en profite et il décroche une deuxième couronne alors que les cigarettiers peuvent enfin sponsoriser les voitures et des ailerons laids apparaitront à l'arrière des voitures.
En 1969, annéy éwotique selon Jane Birkin, l'écossais Jackie Stewart s'impose à bord d'une Matra Rancho préparation sobre. Suspensions hydroalcooliques, sono de 135db, cockpit couleur orange fluo et des dÉs en mousse installés sur les rétros.
1970 - 1979 : 20 + 10, soit 30. Maths Sup, vous pouvez pas test
En 1970, l'autrichien Jochen Rindt devient le deuxième champion à titre posthume, après Marcel Patulacci. L'année suivante, Stewart remporte un deuxième titre, puis un troisième en 1973. Le Brésilien Fittipaldi remporta le titre en 1972 et 1974. Tout ça dans la joie et l'allégresse puisque Cevert et Koenigg se tuent à Watkins Glen, les deux se décapitant par la même occasion.
Dès 1975, Ferrari retrouve son niveau d'antan et s'empare du titre avec l'autrichien Niki Lauda, parti pour un deuxième titre en 1976, mais en vacances en Allemagne, en faisant une Zauziße Barty, Lauda est gravement brûlé après avoir voulu sauver ses merguez trop cuites. L'anglais James Hunt, spécialiste de la boisson, malheureusement non compatible avec le pilotage d'une F1 est sacré Champion, même s'il a failli frapper son directeur sportif lors de la dernière manche, les vapeurs de Zubro lui faisant penser qu'il avait perdu. Après avoir été ceinturé par 15 commissaires de piste, il déclarera : "Bon, on va se boire une 'tite mousse pour fêter ça ?. Deux journalistes et un commissaire de piste feront un coma éthylique et on retrouvera James, en suivant le vomi, nu dans un arbre, chantant du Charles Aznavour. Lauda remportera les doigts dans ce qui lui reste de pif le Championnat 1977. La même année, Renault rejoint le Championnat avec une voiture à moteur Turbo, un véritable succès qui poussera les anglais à surnommer la Renault "The Yellow Tea Pot". L'année suivante, l'américain Andretti atomise la concurrence avec une Lotus équipée de jupes, arme redoutable s'il en est puisque le public et les organisateurs ne pouvaient pas venir à cause de la trique monstre qu'ils avaient. De ce fait, les membres du team Lotus pouvaient casser les genoux des autres pilotes. En 1979, le sud-africain Jody Le Taxi Scheckter, à bord d'une Ferrari 312 T4, décroche le titre face à son équipier Gilles Villeneuve, qui a fait carrière dans la pub également.
1980 - 1989 : L'époque des turbos. Le "c'était mieux avant" des vieux, c'est là
En 1980, Ferrari pond une 312 T5 complètement daubée et Scheckter doit se battre durant toute la saison avec Bruno Giacomelli pour la 16e place, tandis que l'australien Allan Jones et sa Williams filent vers le titre. L'année suivante, le team lui somme d'aider son équipier Reutemann pour le titre, mais l'homme s'en cogne les testicules contre un cactus et de ce fait, Reutemann perd le titre pour un point lors de la manche finale à Las Vegas (si si) face au Brésilien Nelson Piquet, connu pour avoir un fils du même niveau que Mimmo Schiattarella. Vous ne savez pas qui est cet homme ? Normal, on appelle ça la mémoire sélective. Bref, en 1982, Gilles Villeneuve et le français Pironi, tous les deux sur Ferrari, se battent pour le titre mondial, hélas dirais-je, Villeneuve se tue en Belgique, Pironi est pas loin d'être amputé après un accident en Allemagne, le directeur sportif de la Scuderia a eu un PV pour stationnement gênant, une année à oublier donc. Rosberg profite de l'élimination des prétendants au titre et s'empare de celui-ci avec une seule victoire au compteur. En 1983, le français Alain Prost et sa Renault sont dans le coup pour remporter le titre mais Brabham triche en utilisant du mazout au lieu du SP95 règlementaire, parce qu'un diesel, ça consomme que dalle et Piquet ne pouvait donc pas effectuer son arrêt aux stands. Renault, victime du syndrome Moss, n'a même pas déposé une plainte, bande de cons, on aurait gagné si vous l'aviez fait ! De 1984 à 1986, Prost, parti chez McLaren, et son équipier, le revenant Lauda, remportent les Championnats. Celui de 1984 est pour Lauda, qui gagne avec 0.5 point d'avance sur Prost, assez tendu du string me direz-vous. Prost s'empare des couronnes 1985 & 1986, en la mettant profond à Lauda en 1985. En 1987, l'anglais Mansell et son équipier chez Williams, Piquet se battent pour le titre. Mansell, aussi chanceux que... euh.. qu'un type qui marche dans la merde du pied droit (J'ai pas trouvé meilleure métaphore), domine son équipier durant toute la saison mais il se crashe comme une daube lors de l'avant-dernier GP, offrant le titre à un Piquet qu'il ne pouvait pas saquer. D'ailleurs, personne ne pouvait saquer cette tête de con. McLaren frappe fort en 1988 en embauchant aux côtés de Prost le fameux Ayrton Senna. McLaren remporte 15 GP sur 16 et Senna baise Prost en s'emparant du titre, mais Prost réplique en 1989 en accrochant Senna lors du dernier GP de la saison. Mais Senna repart et serra déclassé car il n'a pas mis son clignotant en dépassant Naninni pour le gain de la première place.
1990 - 1999 : Un demi-siècle marqué par la naissance des Formulix
Prost parti chez Ferrari, Senna est tranquille chez McLaren puisqu'il est aux côtés de l'autrichien Berger, un poil moins bon que son compatriote Lauda. Un gros poil dirons-nous. Lors de la manche finale, à Suzuka (comme l'an passé), Senna se venge et accroche Prost dès le premier virage, GP plié, Senna champion. Berger prend la tête, met la race à Mansell dans les 10 premiers tours, abandonne sur casse moteur, comme d'hab', et Mansell prend la tête. Aux stands, ce bourrin a alors accéléré comme un malade mental et la transmission casse, forcément. Du coup, c'est Piquet qui gagne devant le chauve Moreno.
Un an plus tard, Prost s'est trompé et conduit le camion qui sert à transporter les F1 Ferrari alors que Senna fonce vers son troisième titre. Mais en 1992, Mansell prend sa revanche sur tout le monde en remportant le titre (après 3 échecs) au volant d'une Williams bardée d'aides et d'innovations techniques. En 1993, Prost fait son retour sur Williams en prenant la place de Mansell, viré comme une merde et parti bouffer des Big Mac aux States entre deux courses de CART. Prost donc s'impose devant Senna, et prend sa retraite après avoir serré la main d'Ayrton lors de la dernière manche, car au fond, ils sont copains comme cochon mais moi j'le savais dès l'début, on m'la fait pas à moi ! En 1994, Senna se tue au volant d'une Williams, triste année pour la F1 puisque Schumacher remporte le titre, en trichant bien évidemment. L'année suivante, Schumacher s'impose et Taki Inoue fait son apparition dans le monde de la F1. Oui, Taki Inoue, le premier japonais à être encore plus mauvais que Yuji Ide, si si, ça existe. Si on consulte son palamarès, Taki a eu une sacrée moule dans sa carrière. A Monaco, il s'explose au virage de la Piscine et à ce moment même, le conducteur de la Safety Car montrait au public comment il savait trop bien prendre des virages. Bref, accrochage, la F1 d'Inoue est à l'envers et la SC est défoncée. Plus tard dans l'année, en Hongrie, le moteur d'Inoue rend l'âme, jusque là, c'est digne d'un scénario d'un épisode de Derrick. Mais la voiture médicale arrive pour... euh, pour faire son boulot quoi. Mais attendez, attendez ! Bon, Taki court chercher un extincteur car sa caisse est en train de cramer, mais juste quand il court vers sa F1, la voiture médicale le renverse à une vitesse folle de 5 km/h ! Le brave Taki, sonné pour ce choc atroce, s'écroule par terre de douleur tellement ce brave homme souffre.
En 1996, Damon Hill est sacré World Champion, comme son pôpa Graham. Williams le remercie en le virant une fois son titre acquis. Un an plus tard, c'est Villeneuve fils qui est sacré, pas comme son pôpa déjà, et il a failli perdre à cause d'une manœuvre déloyale de Schumerde. Williams le garde cette fois, mais la voiture de l'année suivante était une véritable bouse. En 1998 et 1999, le finlandais Hakkinen démonte Schumacher puis c'est Schumacher qui se démontre lui-même à Silverst(erStall)one en 1999 et se brise les deux jambes.
- Les lecteurs se doivent de regarder ces vidéos. Ou montrez ça à vos gamins en leur disant que bien mal acquis ne profite jamais.
2000 - 2009 : 5 ans de sieste, 5 ans de pestacle, avec deux titres de Renault en plus
A l'aube de l'an 2000 et de la chute de la station Mir sur Paris comme l'avait prédit Paco Rabanne, Schumacher est sacré Champion du Monde sur Fiat, 21 ans après Scheckter. Le début de la période la plus sombre de la Formule 1 commence. 2001 sera du même acabit que la saison précédente. On bouffe ses sauts de cabri à la pelle un dimanche sur deux. Une saison tellement merdique que Coulthard a fini vice champion. 2002 sera le summum du supportable. Avec la retraite d'Hakkinen, la concurrence est inexistante. Schumacher est sacré à la mi-saison, à Magny-Cours, une première. 2002 est aussi célèbre pour le fameux "Let Michael pass for the Championship" de Jean Todt adressé à Pierre-Paul Rubens Barrichello, qui avait dominé pendant tout le week-end et qui courbe l'échine à 200 mètres de la ligne d'arrivée... Espèce de sans-couilles va !
On a failli avoir droit au miracle en 2003 en voyant le très calme et poli Montoya et le chaleureux Raikkonen lutter pour le titre face à Schumacher. Mais Schumacher est aidé par les commissaires de pistes en Allemagne, alors que c'est interdit à la base. Lors de la dernière manche, le moteur BM de Montoya est au top de sa forme puisqu'il explose alors que ce dernier menait la course. Le non-testiculaire Barrichello gagne, devant Raikkonen, du coup c'est Schumacher qui est sacré, monde de merde. 2004 sera le calque de 2002. Je peux pas vous raconter la saison en détail, je dormais. Mais à ce qu'il parait, Trulli a gagné, mais c'est juste une légende. En 2005, le règne de Schumacher prend enfin fin. Alonso que j'aime pas remporte le titre, devant un Raikkonen victime de la fiabilité désastreuse de son moteur teutonique. En 2006, Alonso remporte un second titre, privant d'un 8e sacre de Schumacher. Ce dernier exauce l'un des vœux d'un grand nombre de personnes en prenant sa retraite.
En 2007, Raikkonen est passé chez Ferrari et Alonso chez McLaren. Il sera confronté à Hamilton, qui nous permettra de revoir, selon certains, l'ambiance de malade qui régnait entre Prost et Senna chez McLaren. Bref, lors du dernier Grand Prix, Alonso est largué, Hamilton craque et c'est Raikkonen qui remporte le Championnat, rejoignant Mansell dans la liste des pilotes qui ont pas de moule mais qui sont sacrés on ne sait trop comment. En 2008, le jeune Massa tente à son tour d'inscrire son nom au palmarès de la F1, mais il échoue, chez lui, au Brésil, devant sa famille médusée qui pensait qu'il était champion. Or, elle a omit le dépassement d'Hamilton sur Glock, faisant de lui (d'Hamilton, pas de Glock) le 5e à finir le GP, il est donc sacré. Ah, si vous aussi vous avez eu la chance d'assister au show de Malbranque, nous cassant les oreilles pour cette finale mythique...
Pour 2009, la FIA change le règlement. Les F1 doivent être les plus moches possible, en effet, elles doivent ressembler à des moissonneuses-batteuses. Jenson Button est sacré champion, sur un missile sol-sol et comme Malbranque un an plus tôt, dans un élan de partage, il nous pètera les couilles fera profiter de sa voix mélodieuse en interprétant à sa façon le titre de Queen, "We are the Champions".
Analyse et présentation Klasse des forces en présence
Nous n'allons pas parler des forces rouge, jaune ou bleue de Bioman mais des équipes présentes actuellement. Cette analyse sera tout à fait objective comme vous pourrez le constater.
Taureau Rouge
Fin 2004, Jaguar est au fond du trou et tente un coup de poker en se renommant Cougar. Malheureusement, cette stratègie n'attira pas le gros portefeuille des GMILF et c'est le boss de la boisson super cool des d'jeun's avec de vrais morceaux de taureau dedans, Dietrich Matesctritchtitz (carton au scrabble ça) qui racheta l'équipe. Dietrich emmena avec lui son pote "HelmutOn Se Barre" Marko, patron du Junior Team de RedBull. (Notez ce subtil jeu de mots.) Côté pilotes, on retrouve Sebastian Vettel, Champion du Monde en titre, mais c'est surtout grâce à la caisse qu'il a gagné. En n°2, voici Mark Webber, pilote d'Airbus à temps plein, tout d'abord avec une CLK-GTR en 1999 et une RB6 en 2010.
- Webber en action :
McGyver
Dirigée d'une main de maître par Ron Dennis depuis 20 ans, Mclaren change de direction en 2009, après un petit soupçon d'espionnage sur Ferrari qui a valu à McLaren le retrait de tous les points constructeur, 100 000 000 $ d'amende (mais juste 100 000 pour Ferrari après les consignes d'équipes) et la perte du titre pilote pour un point face à Raikkonen. Martin Withmarsh prend la tête de Mclaren et garde Kovalainen pour une saison supplémentaire. Une fois Kovalabrêle viré, Mclaren engage le Champion du Montre en titre de l'époque, Jenson Button. Lewis Hamilton a un contrat à vie je vous rappelle. Button et Hamilton échoueront dans la course au titre mais 2011 rend Hamilton confiant, et il a raison : il envoit Maldonado dans le mur à Monaco, mais se rattrape en disant devant le micro de TF1 un superbe "Je t'aime la France" du plus bel effet. Il est en couple avec la salo chanteuse du groupe Pussy Cat Dolls, Nicole Schwerzrzinger.
Ferraillerie
Propriété de la Ferraille Italienne Assemblée A Turin (F.I.A.T. pour les intimes), Ferrari a l'heureuse chance d'être perpétuellement aidée par la FIA(t), la Ferrari International Assistance, dirigée par Jean Todt, ancien directeur de la Scuderia Ferrari... J'dis ça, j'dis rien, vous connaissez ma célèbre impartialité. Côté pilotes, la Scuderia a fait fort (ou pas) en engageant le double Champion du Monde Fernandel AlsoSlow et le Brésilien Felipe Massachusetts, le fameux "ou pas". Massa était célèbre avant 2010 pour l'Epic Fail de sa famille en 2008. Depuis 2010, il est célèbre pour sa perte de testicules lors du Grand Prix d'Allemagne. menant la course, il s'est fait gentiment rappelé à l'ordre par son team pour laisser passer Melonso, pas capable de le doubler et qui pleurait depuis 3 tours.
Mère Cédès
En 2008, Honda se retire de la F1 parce que c'est la crise. Ayant embauché un bon designer, Honda regardera devant sa télé sa monoplace, renommée Brawn Grand Prix, dominer le Championnat 2009. Le taux de Hara-Kiri a explosé. Fin 2009, Mercedes décide de faire son retour en F1 et rachète Brawn GP. Malheureusement pour eux, ils se font fister à grand coup de dixièmes de seconde au tour par Mclaren, qui utilise des blocs Mercedes. Pour les pilotes, Mercedes débauche le papy Schumacher, qui n'a subitement plus mal au cou, et le jeune Nico Rosberg, fils de Keijo, Champion en 1982 avec une seule victoire au compteur. Schumacher s'est fait atomiser par Rosberg pendant toute la saison 2010, lui qui pensait "au moins gagner un ou deux Grands Prix". Pire encore, début 2011, Madame Irma Schumi sort sa boule de cristal et prévoit une lutte acharnée pour le titre Constructeur où il verrait Mercedes sortir vainqueur. Au moins, il arrive à être plus drôle que Liane Foly... ce qui n'est pas vraiment compliqué tout compte fait.
Lotus JPS
En 2009, ING se barre après la révalation du SauPiquey-gate. Gérard Lopez, patron de Genii Capital (une société d'investissement planquée au Luxembourg pour le blanchiment d'argent) en profite et devient actionnaire majoritaire de l'équipe. Et en 2010, Renault cartonne tout, un coup de Genii d'avoir racheté l'équipe. Finalement, Lopez revend ses parts à Danny Bahar, associé à Proton (qui a lâchement lâché Lotus au passage) et Renault devient Lotus. On se retrouve donc avec deux teams Lotus, Genii comprend plus rien. Ren.. euh Lotus.. enfin l'autre Lotus quoi, a pour projet de réveiller les séniles de la maison de retraite en copiant, en mal bien entendu, la livrée "John Player Special" des Lotus-Renault Turbo dans les années 1980. Senna n'existant plus et son neveu encore plus mauvais qu'un Fisichella des bons jours, Lotus2 garde les mêmes pilotes de 2010, à savoir Petrolette, l'homme qui valait 15 millions, et Kubica, le polonais qui ressemble de profil au bateau d'Eric Tabarly. Mais coup de théâtre, Kubica se bousille la moitié des ligaments de la main et du bras droit en janvier, en pensant qu'une Skoda Fabia, c'était à la pointe de la sécurité. Le team engagea donc Heidfeld, une vaste blague encore plus mauvais que SennaJR.
Force Curry
En 2008, Vijay Mallya, un indien friqué, rachète les ruines de Spyker, anciennement Midland, anciennement Jordan. Vijay, qui est très comique, pensait pouvoir gagner des GP avec une Spyker. Encore plus fort, il engage l'inexpérimenté Sutil et le vieux Fisichella, trois victoires entre 1996 et 2009 (n'oublions pas de préciser qu'il a piloté pour le champion constructeur 2005-2006, Renault). La saison 2008 fût pitoyable, mais les deux pilotes prolonge pour un an, le côté Sado-Masochiste sûrement. La saison 2009 est encore plus mauvaise que celle de 2008, jusqu'au GP de Belgique. Lors de ce GP, l'équipe a du faire des réglages à l'aveugle, la saison était morte pour eux de toutes façons, et là, oh miracle ! Fisichella, sorti de nulle part nous sort une Pôle Position et décroche une belle seconde place en course ! Mieux encore pour l'italien, Ferrari s'est décidé à virer le clown Badoer et engage Fisichella au côté de Raikkonen ! Bien évidemment, Raikkonen dominera bien comme il se doit le vieux Giancarlo. L'équipe signe un autre coup d'éclat à Monza en terminant 4e avec Sutil. Depuis, plus rien.
Sauberk
Présente depuis 1993, Sauber est à l'agonie financièrement parlant fin 2005, marrant pour une équipe suisse. BMW rachète les restes et monte la "BMW-Sauber F1 Team" avec Kubica et Heidfeld. En 2009, Béhème se retire, c'est la crise je vous rappelle. Sauber a tout le mal du monde a racheter BMW mais il y parvient on ne sait trop comment. Peter Sauber engage le japonais Kamui Kobayashi, "le parigot" comme Malbranque aime le surnommer, car Koba habite dans le 16e. Son équipier est le.. euh.. le pilote d'essai (mouais) Mclaren, Pedro de la Rosa. En 2010, Pierre de la Rose est si mauvais qu'il se fait remplacer par un autre mauvais, Heidfeld, qui sera lui aussi dominé par Kobayashi.
Elephanto Rosso
Après la première saison de Red Bull en 2005, Dietrich rachète Minardi, présente depuis 1985 en F1. Le palmarès de Minardi est plutôt bien fourni :
- Meilleure place en course : 4e, arrivé seulement trois fois grâce aux conditions climatiques hein, c'est pas grâce au talent des pilotes en tout cas (Christian Fittipaldi et Pierlugi Martini x2).
- Meilleure place en qualifs : 2e, arrivé qu'une seule fois sur un circuit tellement absurde (Phoenix) qu'une Minardi s'est qualifiée deuxième et qu'Alesi a failli gagner.
- Meilleure place au Championnat Constructeur : 7e
Voilà, tout est dit. Pour rapeller à tout le monde les origines italiennes de l'équipe, Dietrich renomme Minardi en "Toro Rosso", c'est-à-dire "Red Bull", mais dit en italien. On sent que le type s'est bien creusé la tête. L'équipe a d'ailleurs la chance d'avoir le même chassis que l'équipe A, jusqu'à ce que cela soit interdit par la FIA, en 2009, l'année où Red Bull a commencée à gagner... c'est con hein ? Toutefois, Toro Rosso a eu le privilège de gagner avant Red Bull à Monza, terre de Minardi en plus, si ça s'est pas classe, et encore plus classe, c'est grâce à la pluie qu'ils ont gagnés, comme pour le meilleur résultat de Minardi, double clin d'oeil. Côté pilotes, Tozst, le pote de Dietrich, n'a pas eu le nez creux mais la tête creuse en virant comme une merde mi 2009 Bourdais (Que tout le monde suce parce qu'il est français), alors que c'est lui qui a aidé l'équipe à progresser. On sent bien la reconnaissance de la part du petit Franz Tozst. Pour le remplacer, il est allé choisir une tanche du Junior Team de Marko, Jaime Alguersuari, DJ entre deux Grands Prix, le pire c'est que j'invente rien. Buemi est quant à lui l'équipier de Jaime, qui est au même niveau que ce dernier.
Williams Aurin
Williams, présente en F1 depuis 1975, n'a plus rien gagné depuis 2004. L'équipe continue a être sur la mauvaise pente en embauchant le vieillissant Barrichello et l'inexpérimenté Hulkenberg pour la saison 2010. Cette saison sera aussi mauvaise que la saison 2009, sans Rosberg, ça devient plus compliqué même si le départ de Nakajima a été hautement bénéfique. Barrichello a passé le cap des 300 Grands Prix et à mit la race à Schumacher lors du Grand prix de Hongrie. Hulkenberg a signé une pôle position au Brésil, exploit s'il en est, mais a été remercié pour faire place au pilote payant vénézuelien Ronaldo McDonaldo.
- Rubens après trois cachetons de Viagra :
Lotus Green & Yellow Submarine
Pour 2010, la FIA ouvre les portes de la F1 à des projets complètement loufoques pour combler le départ de BM, Honda et Toyota. Tony Fernandes est le patron de la compagnie aérienne Air Asia et souhaite que Chapman se retourne dans sa tombe faire revivre la prestigieuse écurie de Colin Chapman, après avoir racheté Team Lotus. Soutenu par Proton, la FIA juge ce projet assez serieux, candidature acceptée donc. Hélas, le châssis est complétement daubé, et la paire de pilotes également. A ma droite, Heikki Kovalainen, atomisé par Hamilton en 2008-2009 et à ma gauche, Jarno Trulli, viticulteur et pilote de F1 depuis 1997. On le surnomme d'ailleurs l'Attila de la F1 car là où il passe, les écuries disparaissent (Minardi, Prost, Jordan, Renault, Toyota). Cela ne servira à rien mais je souhaite longue vie au Team Lotus de Fernandes.
Hispendront Racing Team
Comme pour le Team Lotus de Fernandes, Campos Meta souhaite passer du GP2 à la F1. Candidature acceptée, soyons fou. Mais Adrian Campos a oublié une chose, contrairement à GP2, en F1, il faut construire son propre châssis et le moteur n'est pas le même pour tout le monde. Campos fait donc appel au carrossier Dallara, célèbre pour avoir construit les châssis de la Scuderia Italia dans les années 1990, qui a un palmarès encore plus mauvais que celui de Minardi. Mais Campos est sans le sou, la construction prend du retard et le premier GP de la saison approche. José Ramon Carabante, un inconnu friqué, décide de racheter Campos et renomme tout ça en Hispania Racing Team (HRT). Mais il s'y est pris trop tard ce con, et lors du premier GP, une seule monoplace sur deux était assemblée complètement. Pire encore, Bruno Senna, neveu d'Ayrton et l'indien Karun Chandhok, le sosie officiel du monosourcil d'Emmanuel Chain ont été engagés. A mi-saison, Chandhok est viré alors qu'il dominait Senna et il est remplacé par le japonais Sakon Yamamoto, puis Christian Klien lorsque Sakon Yamabanquequirefusedepayer.
Mavodka
Comme pour Lotus et HRT, Manor souhaite passer de la F3 à la F1. Candidature acceptée, pourquoi pas. Manor GP engage Nick Wirth, concepteur des célèbres Simtek pour la F1 et Acura en LMP1. Nick aime les paris et a pour projet de concevoir une F1 100% par ordinateur, sans tests en soufflerie pour vérifier les pièces donc. Ça attaque pas mal la colle quand même. Pour les pilotes, Glock rejoint l'équipe car il a foi en ce projet, ben faut être aveugle pour avoir foi en ça... et le friqué Di Grassi. Comme prévu, l'équipe se mange bien comme il faut, et pire encore, Nick se rend compte qu'il s'est trompé dans ses calculs et le réservoir est trop petit pour tenir un GP en entier. Il est con, il aurait du prendre un diesel. Bref, entre temps, Marussia, un constructeur russe rachète l'équipe pour la saison 2011 et vire Nick Wirth dans la foulée. Côté pilotes, Glock prolonge et Di Grassi et remplacé par un autre pilote payant, le belge Jérôme d'Ambrosio.
Les trois branlos de TF1
Les trois branlos de TF1 sont trois branlos qui "commentent" les Grands Prix de F1 les dimanches sur TF1.
- Le premier est JacLafuite, un vieux pilote qui aime particulièrement nous faire profiter de quelques anecdotes croustillantes de la F1 des années 70-80 comme quand il s'était fait doubler comme une daube par Reutemann en 1978 (voir quote du dessus).
- Le deuxième est Christophe Malbranlé, remplaçant du Belge Pierre Van Vliet une fois, remercié fin 2002 par TF1 pour avoir osé donné son avis concernant une énième tricherie de la part du duo FIA-Ferrari. Christophe a la fâcheuse manie de gueuler tout le temps, même pour le pilote en vingt-quatrième position qui double le vingt-troisième qui est dans les stands.
- Et en dernier, nous retrouvons Jean-Louis MonSaitPasGrandChose, journaliste à Auto Plus. Il est le spécialiste des news foireuses, d'une source toujours sûre comme l'oncle de la mère de tel ou tel pilote. Ainsi, nous avons pu apprendre lors du GP de Turquie 2005 que d'après le grand-père du frère de la tante de l'oncle du fils du frère de Bernie Ecclestone, le champion MotoGP Valentino Rossi allait signer chez Ferrari en 2007.
Les trois branlos de Canal -
Les trois branlos de Canal - sont trois branlos qui ont remplacés les trois branlos de TF1 en 2013. Retrouvons Fébreau, commentateur, qui est bien gentil et qui aime bien confondre les replays avec la vraie course. C'est à peu près tout ce qu'on peut dire sur lui car on a pas trop envie d'en savoir plus. Ensuite vient Jacques VieilleVille, le fameux champion 97. Aujourd'hui chauve et aigri, ce bon vieux québécois ne mâche pas ses mots et en fout plein la gueule à Gutierrez, l'asperge du Mexique avec un mono-sourcil à faire pâlir un vendeur de roses pakistanais. Enfin, le consultant de Canal +, j'ai nommé Franck Montagny ! Ancien pilote, ce brave Francky ne manque pas de bien représenter la Phronsse sur chaque circuits en filmant pépère les ptites astuces des caisses dont tout le monde se fout, sans dire bonjour ou merde à personne.
Le Formulix
- Le Formulix est un kévin. Il est donc né à la fin des années 1990. Comme le Footix, il supporte TOUJOURS celui qui gagne. Supporter de Schumacher jusqu'en 2005 (voire Schumix si le sujet continue à le supporter), d'Alonso en 2005-2006, de Kimi Raïkkonnard et de Lewis Hamilton en 2007-2008, de Button en 2009, enfin vous m'avez compris quoi.
- Il n'a auncun argument et pour justifier le résultat pitoyable de son chouchou, il sort un superbe TG!! TU CONN2 R1 A LA F1!!, Feu Maitre Capello aurait apprécié l'orthographe au passage.
Le Schumix
Le kévin continue à supporter le voleur qui sert aryen ? Ne cherchez plus, c'est un Schumix.
- Schumix, du latin Shumis : "tricheur", "manipulateur" ou encore "dépourvu de talent".
- Le Schumix carbure probablement au LSD, car lors de son retour en 2010, j'ai pu lire des ramassis de conneries de certains Schumix qui affirmaient que leur idole en carton-pâte allait signer moult victoires et allait dominer la tanche Rosberg. Il n'en fût rien hein, Schumacher s'est ramssé la gueule cette saison-là, Rosberg faisant même plusieurs podiums et ayant deux fois plus de points que l'autre.
- Ah, j'allais oublier, le Schumix ne jure que par les stats. Schumi, c'est 91 victoires certes, mais faut regarder le gueule de la concurrence à l'aube de l'an 2000...
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