1634 en santé et médecine
Apparence
Chronologies
1631 1632 1633 1634 1635 1636 1637 Décennies : 1600 1610 1620 1630 1640 1650 1660 Siècles : XVe XVIe XVIIe XVIIIe XIXe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Architecture, Arts plastiques (Dessin, Gravure, Peinture et Sculpture), (), (), Littérature (), Musique (Classique) et Théâtre |
Années de la santé et de la médecine : 1631 - 1632 - 1633 - 1634 - 1635 - 1636 - 1637 | |
Décennies de la santé et de la médecine : 1600 - 1610 - 1620 - 1630 - 1640 - 1650 - 1660 |
Cet article présente les faits marquants de l'année 1634 en santé et médecine.
Divers
[modifier | modifier le code]- : le médecin et alchimiste Jean-Baptiste Van Helmont (-) est arrêté par l'Inquisition pour hérésie, blasphème, impiété et magie, accusations liées à sa défense du traitement magnétique des blessures par l'« onguent des armes[1] ».
- : à son élection pour cinq ans à la chaire de médecine théorique et pratique de l'université de Bologne, Giorgio Scarpes Scotto se voit attribuer mille écus d'honoraires annuels, somme la plus élevée jamais allouée à un professeur éminent[2].
- Selon Tranquille de Saint-Rémi, « plus de cinquante médecins » sont consultés lors de l'affaire des possédées de Loudun[3].
- Le roi Louis XIII prend « des dispositions malthusiennes à l'encontre des praticiens illégaux de la barberie[4],[5] ».
- Un « bulletin hebdomadaire de mortalité » (Weekly Bill of Mortality) est établi à Londres[6].
- Vers 1634 : l'apothicaire Frédéric Greiff réalise à Tübingen la préparation de la « thériaque céleste », selon la formule publiée par Joseph du Chesne (-) dans sa Pharmacopoea dogmaticorum restituta parue en [7],[8].
- -1634 : le roi Louis XIII, grand amateur des eaux de Forges, ayant accordé au bourg divers privilèges, « cette thérapie rencontre une forte hostilité de la faculté de médecine de Paris[9] ».
Fondations
[modifier | modifier le code]- :
- Fondation, à la faculté de médecine de Paris, d'une première chaire de chirurgie, d'abord occupée par Antoine Charpentier[10].
- Le cardinal de La Rochefoucauld signe le contrat de construction de l'hospice des incurables de Paris, qui recevra ses premiers malades en mai , et qui est à l'origine de l'actuel hôpital Laennec[11].
- Ouverture de l'université de Sassari, en Sardaigne, dont l'acte de fondation s'étend à l'enseignement de la médecine et au droit de conférer les grades dans cette discipline[12].
- À Nuits-Saint-Georges, en Bourgogne, Guillaume Labre donne « une maison destinée à abriter quelques lits de malades », acte qui peut être tenu pour fondateur de l'hôpital de la ville, auquel le roi Louis XIV accordera ses lettres patentes en [13].
- À Versailles, le roi Louis XIII fonde une maison de charité qui deviendra Hôpital royal puis hôpital Richaud, et restera en fonction jusqu'en [14].
- Vers 1634 : à Verdun, en Lorraine, construction d'une maladrerie près de la basilique Saint-Pierre et Saint-Paul[15].
- -1634 : à Hennebont, en Bretagne, construction de l'hôpital Saint-Louis[16].
Publications
[modifier | modifier le code]- Pietro Castelli (c. -), médecin, botaniste et chimiste, publie son traité De vomitu et vomitoriis (« Du vomissement et des vomitifs »), qui suit les doctrines d'Hippocrate, Galien et Paracelse, sans négliger l'expérience propre de l'auteur[2],[17].
- Le médecin napolitain Nicolo Angelo Eliseo publie un essai sur « le traitement des fièvres causées par l'éruption du Vésuve », ouvrage dont la première partie est perdue[18].
- Parution, à la suite de la deuxième édition de la Praxis chimiatrica de Johann Hartmann (de), du « Traité sur la distillation » (De oleis variis arte chymica destillatis) de Johann Ernst Burggrav († ), alchimiste, médecin de la ville de Simmern[19].
- Sous le titre de Les Anciens et Renommés Auteurs de la médecine et chirurgie, parution de la traduction française de la Chirurgia e Graeco in Latinum conversa (), elle-même traduction du grec en latin, par Guido Guidi (-), d'une collection de textes d'Hippocrate, Galien et Oribase[20].
- Wolfgang Hoefer publie son essai sur « le moyen de prévenir et de guérir la peste » (Methodus praecavendae curandaeque pestis[21]).
- Peter Lauremberg (en) († ), médecin, reçu docteur à Rostock, fait imprimer à Leipzig un traité qu'il intitule Pasicompse nova, id est Delineatio pulchritudinis[22],[23].
- Fortunio Liceti (-), philosophe et médecin italien, alors professeur à Padoue, fait paraître quatre essais[24],[22], dont une Pyronarcha[2],[25] dans laquelle, à travers les phénomènes de la foudre et des fièvres, il traite des correspondances entre macrocosme et microcosme.
- Publication posthume des Opera medica (« Œuvres médicales ») du médecin italien Alessandro Massaria (-[26]).
- Théodore de Mayerne (-) édite le Theatrum insectorum de Thomas Muffet (-), ouvrage composé vers [27].
- Ovidio Montalbani (-), professeur bolonais de philosophie, de mathématiques et de médecine, donne son traité sur la pierre de Bologne[28],[22].
- Jean-Baptiste Morin (-), astrologue et médecin, fait publier à Paris les six premiers livres de sa Longitudinum terrestrium et coelestium scientia[29],[22].
- Giovanni Nardi (it) (-), praticien à Florence et médecin de Ferdinand II de Médicis, grand-duc de Toscane, fait paraître son traité sur le lait (Lactis physica analysis[2],[30]).
- Première édition anglaise des œuvres complètes d'Ambroise Paré (-), dans la traduction de Thomas Johnson[31].
- Claude Pons, médecin lyonnais, fait paraître chez Scipion Jasserme « une réponse aux arguments allégués par Louis de La Grive contre les quatre paradoxes de son Traité de la thériaque [ou Parallèle des vipères et herbes lyonnaises, avec les romaines et candiotes], dans lequel il accorde la préférence à la thériaque de Rome et de Venise sur celle de Lyon[32],[22] ».
- Parution de la Pharmacopoea Blaesensis (« Pharmacopée blésoise »), de Michel de Reneaulme (-[33]).
- Francesco Rondinelli fait paraître un « rapport sur la peste de 1630-1633 à Florence, avec une brève description de l'image miraculeuse de la Madone de l'Impruneta[34] ».
- Michel Angelo Rota publie son essai sur la peste de 1630 à Venise[35].
- Dans la Responsio ad Staticomasticen qu'il joint à la nouvelle édition de sa Medicina statica[36], Santorio Santorio répond tardivement[37] au Staticomastix () d'Ippolito Obizzi[38].
- Publication des onze premières des quinze « disputations » tirées de la Méthode de traitement, de Galien (Disputationes ex libris Galeni de methodo medendi depromptae[39]), soutenues par Eckard Leichner (de) (1612-1690), originaire de Salzungen, Johann Albrecht Sebitz[40] (1614-1685), de Strasbourg, Andreas Gerner von Lilienstein, de Wimpfen, Achatz Christopher Enckelmann, d'Ansbach, Gregor Hilling (1614-1680), d'Elbogen, Alexander Verbez, d'Ulm, Johann Reinhardt Widt, de Strasbourg, Johann Nikolaus Stupanus[41], de Strasbourg, Johann Wilhelm Zachmann, de Durlach, Johanne Guilhelmo Stephani, de Gleiberg, et Adam Gerner von Lilienstein, de Wimpfen, sous la présidence de Melchior Sebitz le Jeune (en) (1578-1674) au collège de médecine de Strasbourg.
- Au cours d'un débat sur les Positiones variae medicae, Sylvius (1614-1672) défend la thèse de la circulation pulmonaire[42].
- Adrian Toll († ), édite à Leyde la Praxis aurea, de Johann Stocker († [43],[44]).
Personnalité
[modifier | modifier le code]- Fl. Bodier, apothicaire français, au service du sultan Moulay al-Walid au moment de la visite d'Antoine Cabiron, chargé par le roi Louis XIII d'une ambassade à la cour marocaine[45].
Naissances
[modifier | modifier le code]- : Pierre-Martin de La Martinière (mort vers ), explorateur, médecin et alchimiste français[46].
- : Jean-Christian Macki (mort en ), médecin franconien, fils d'André († ), reçu docteur à Strasbourg, établi à Schneeberg en Misnie[22].
- : Andreas Cleyer (en) (mort en ), médecin, pharmacien, botaniste, commerçant et japoniste allemand[47].
- (bapt.) : Louis Pinard (mort en ), maître chirurgien, chirurgien-major au fort des Trois-Rivières, en Nouvelle-France[48].
- : Johann Daniel Major (de) (mort en ), médecin, naturaliste et polymathe allemand[49].
- : Matthias Tiling (de) (mort en ), médecin allemand, praticien à Emden et Brême, professeur à l'université de Rinteln, membre de la Léopoldine[50].
- : Christophe Lipstorp (mort en ), médecin allemand, reçu docteur à Padoue, pensionné par la ville de Stade, établi ensuite à Hambourg[22].
- Denis Dodart (mort en ), médecin et botaniste français[51].
- Jean-Nicolas Pfitzer (mort en ), reçu docteur en médecine à Strasbourg, auteur d'ouvrages sur le traitement des plaies, sur les maladies des femmes et celles des enfants[22].
- Giuseppe Pompeo Sacco (mort en ), professeur de médecine parmesan[2].
Décès
[modifier | modifier le code]- 14 février : Wilhelm Fabricius Hildanus (né en ), chirurgien allemand[52].
- : Richard Napier (en) (né en ), astrologue médical anglais[53].
- : Nicolas Ager (né en ), médecin et botaniste alsacien[54],[55].
- : Henry Blackwood ou Blacuod (né en ), médecin français d'origine écossaise, professeur au Collège royal, médecin et familier du pape Urbain VIII[56],[57].
- : William Paddy (en) (né en ), médecin anglais, membre du Collège royal de médecine[58].
- John Collins (né vers ), professeur d'anatomie et de médecine à Cambridge[59].
- Jean Gunther (né vers ), apothicaire au Marché-aux-Pots de Sélestat, en Alsace[60].
- Melchiorre Zoppio (né en ), médecin et homme de lettres italien[61].
- 1633 ou 1634 : Giovanni Battista Cortesi (it) (né en ou ), professeur de chirurgie et d'anatomie à Messine et Bologne[62],[63].
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Pauline Bellier et al., « Apprentissage de chirurgien, 9 janvier 1634 », dans Notaires : Une histoire en actes, 2015[64].— Présentation du contrat par lequel Roger de Clermont fait donner « à un serviteur orphelin une éducation et un métier chez un chirurgien réputé de la ville d'Auxerre ».
- (en) Dmitri Levitin, « Made Up From Many Experimentall Notions », J. Hist. Med. Allied Sci., 2015[65].-- Cet article examine un ensemble de conférences données en 1634 à la Société des apothicaires (en) de Londres par quatre de ses membres.
Références
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- Olivier Lafont, Apothicaires et pharmaciens : L'Histoire d'une conquête scientifique, Arcueil, John Libbey Eurotext, (ISBN 978-2-7420-1693-8, lire en ligne), p. 192.
- Ernest Wickersheimer, « La Thériaque céleste dite de « Strasbourg » », Bulletin de la Société d'histoire de la pharmacie volume=8, no 25, (lire en ligne).
- Jean-Jacques Loisel, « Charles Bouvard (1572-1658), Premier médecin du roi Louis XIII », Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, , p. 104-105 (lire en ligne).
- Jean Baptiste Thomas Martinenq, Troisieme memoire pour les doyen et docteurs-régens de la faculté de médecine en l'université de Paris, contre le sieur Pichaut de la Martinière, Premier chirurgien du roy et les prevôts et communauté des maîtres chirurgiens-jurés de Paris, Paris, G. F. Quillau, , 131 p. (lire en ligne), p. 25.
- Patrice Bourée, « Heurs et malheurs de l'hospice des incurables », Histoire des sciences médicales, vol. 8, no 3, , p. 535-539 (lire en ligne).
- (it) Giovanni Siotto Pintor (it), Storia letteraria di Sardegna, vol. 1, Cagliari, tipografia Timon, (lire en ligne), p. 80, n. 1.
- Marguerite Nguyen-Laissard, « Note sur la pharmacie de l'hopital de Nuits-Saint-Georges », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 68, no 244, , p. 15 (lire en ligne).
- La Grande Histoire de l'hôpital, épisode 3, Fédération hospitalière de France, (lire en ligne).
- Jules Simon, Histoire de la ville de Verdun, t. 1 : Des origines à la Révolution, Cressé, Éditions des régionalismes, (ISBN 978-2-8240-0547-8, lire en ligne), p. 106.
- Rémy Paurion et Maud Sallansonnet, Archives de l'hôpital d'Hennebont (archives antérieures à 1790), Vannes, archives départementales du Morbihan, (lire en ligne), « Présentation du producteur », p. 2.
- (la) Pietro Castelli, Emetica Petri Castelli medici Romani et professoris publici, in qua agitur de vomitu et vomitoriis, opus medicis omnibus utile et necessarium ad curandos omnes morbos, cum Hippocraticam doctrinam sequentibus, tum Galenicam, Paracelsicam et empiricam [etc.], Romae [à Rome], ex typographia Iacobi Mascardi [sur les presses de Jacopo Mascardi], m.dc.xxxiv [1634] (lire en ligne).
- (la) Nicolo Angelo Eliseo, Rationalis methodus curandi febres flagrante Vaesevo subortas, ad futuri saeculi memoriam, miserandi Vesuvii casus accessit e narratio, auctore Nicolao Angelo Eliseo, philosopho et medico Neapolitano, pars secunda, Neapoli [à Naples], apud Aegidium Longum [chez Egidio Longo], , in-16 (présentation en ligne).
- (la) Johann Ernst Burggrav, Tractatus Joannis Ernesti [Burgravi], doctoris medici, de oleis variis arte chymica destillatis, Francofurti [à Francfort], apud Casparum Rötelium [chez Caspar Rötel], anno 1634 [l'an 1634] (lire en ligne).
- Hippocrate, Galien, Oribase et Guido Guidi, Les Anciens et Renommés Autheurs de la medecine et chirurgie [...], le tout traduit fidelement du grec et du latin en françois par un docteur en medecine et illustré de figures par lesquelles la chose est au vif representée [etc.], Paris, Eustache d'Aubin, (lire en ligne).
- (la) Wolfgang Hoefer, Methodus praecavendae curandaeque pestis, olim in Academia Ingolstadiana ad disputandum proposita nunc denuo recognita, a Wolfgango Hoevero, medico doctore et professore ordinario, ad usum academicum et politicum, Ingolstadii [à Ingolstadt], ex typographeo Gregorii Haenlini [des presses de Gregor Hänlin], anno m.dc.xxxiv [l'an 1634] (lire en ligne).
- Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 3 : L-P, Mons, Henri Hoyois, , 648 p. (lire en ligne), « Lauremberg », p. 27, « Liceti », p. 71, « Montalbani », p. 323, « Morin » p. 346, « Pons », p. 604, « Macki », p. 125, « Lipstrop », p. 87 et « Psitzer », p. 640.
- (la) Pierre Lauremberg, Petri Laurembergii Rostochiensis Pasicompse nova id est Accurata et curiosa delineatio pulchritudinis qua tanquam in speculo ostenduntur notae et characteres, exactam pulchritudinem et formae elegantiam cujusq[ue] membri in humano corpore comitantes [etc.], Lipsiae [à Leipzig], ex bibliopolio Hallervordiano, typis Ritzschianis [Hallervorden, libraire, Ritzschianis, imprimeur], , in-8° (lire en ligne).
- De rationalis animae varia propensione ad corpus, Padoue ; De natura primo movente, Udine ; De propriorum operum historia, Padoue, et Pyronarcha, ibid.
- Fortunio Liceti, Pyronarcha sive De fulminum natura deque febrium origine libri duo, in quibus, et fulminum in mundo magno, et febrium in mundo parvo caussae naturales omnes, modus originis, idea, proprietates, differentiae ac effectus admirabiles accurate tractantur [...] ; Fortunius Licetus Genvensis, in Pat[avino] Lyceo physiologus ord[inarius], [etc.], Patavii [à Padoue], apud [Julium] Crivellarium [chez Julio Crivellari], m.dc.xxxiv [1634] (lire en ligne).
- (la) Alessandro Massaria, Alexandri Massariae Vicentini, antiq[ui] et celeb[ris] Gymnasii Patavini doctoris primarii, Opera medica, quibus methodus ac ratio cognoscendi curandi totius humani corporis morbos [etc.], Lugduni [à Lyon], sumptibus Ioannis-Amati Candy [pour le compte de Jean-Aimé Candy], m.dc.xxxiv [l'an 1634] (lire en ligne).
- (la) Thomas Muffet, Insectorum sive Minimorum animalium theatrum, olim ab Edoardo Wottno, Conrado Gesnero Thomaque Pennio inchoatum, tandem Tho[masi] Moufeti Londinatis opera sumptibusq[ue], maximis concinnatum, auctum, perfectum, et ad vivum expressis iconibus supra quingentis illustratum, Londini [à Londres], ex officina typographica Thom. Cotes [sur les presses de Thomas Cotes], (lire en ligne).
- (la) Ovidio Montalbani, Epistolae variae de rebus in Bononiensi tractu indigenis, et speciatim de illuminabili lapide Bononisensi, Bononiae [à Bologne], , in-4°.
- (la) Jean-Baptiste Morin, Longitudinum terrestrium necnon coelestium nova et hactenus optata scientia, authore Ioanne Baptista Morino, Parisiis [à Paris], apud authorem, tum apud Ioannem Libert [chez l'auteur, et chez Jean Libert], , in-4°.
- (la) Giovanni Nardi (it), Lactis physica analysis auctore Ioanne Nardio philosopho [et] medico Florentino, Florentiae [à Florence], typis Petri Nestrii [sur les presses de Pietro Nestri], (lire en ligne).
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- (la) Claude Pons, Sycophantie theriacale descouverte dans l'apologie du parallele des viperes et herbes lyonnoises, avec les romaines et candiotes, illustrée de quatre nouveaux paradoxes : du vin, du miel, de la squille et du temps auquel la theriaque doit estre composée, avec une exacte méthode d'user d'icelle, contre l'ignorance, l'envie et la calomnie, à Lyon, chés Scipion Jasserme, (lire en ligne).
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- (la) Santorio Santorio, Ars Sanctorii Sanctorii [...] De statica medicina et De responsione ad Staticomasticem aphorismorum sectionibus septem comprehensa, Venetiis [à Venise], apud Marcum Antonium Brogiollum [chez Marco Antonio Brogiolli], m.dc.xxxiv [1634] (lire en ligne).
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- Fils de Melchior (en).
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