Robert Byerley
Membre du Parlement d'Angleterre | |
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Membre du Parlement anglais de 1698-1700 | |
Membre du Parlement anglais de 1695-98 | |
Membre du Parlement anglais de 1701 | |
Membre du Parlement anglais de 1701-1702 | |
Membre du Parlement anglais de 1702-1705 | |
Membre du Parlement anglais de 1689-1690 | |
Membre du 4e Parlement de Grande-Bretagne (d) 4e Parlement de Grande-Bretagne (en) | |
Membre du premier parlement de Grande-Bretagne Parlement britannique de 1707 | |
Membre du Parlement anglais de 1685-1687 | |
Membre du 2e Parlement de Grande-Bretagne (d) 2e Parlement de Grande-Bretagne (en) | |
Membre du 3e Parlement de Grande-Bretagne (d) 3e Parlement de Grande-Bretagne (en) | |
Membre du Parlement anglais de 1705-1707 |
Naissance | |
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Décès | |
Activités |
Robert Byerley (1660 - 1714) est un militaire et homme politique britannique, député des comtés de Durham et de Knaresborough[1],[2] propriétaire du célèbre étalon Byerley Turk, considéré comme l’un des trois principaux étalons à l'origine du pur-sang, la fameuse race de chevaux de courses[3].
Biographie
[modifier | modifier le code]Il est le fils de Anthony Byerley, originaire de Middridge Grange, à Heighington dans le comté de Durham. Il étudie au Queen's College à Oxford.
En 1685, il lève une unité de cavalerie privée comme cela est alors fréquemment pratiqué, pour aller combattre les Turcs qui menacent l'empire d'Autriche. Il participe à la bataille de Buda en 1686 sous les ordres du duc de Lorraine. Il y capture l'étalon Byerley Turk[4]. Il rejoint de 1685 à 1687 le Queen Dowager's Horse (devenu le 6th Dragoon Guards). Il est promu lieutenant-colonel en 1689 et colonel en 1692. Il combat à la bataille de la Boyne en 1690 sous les ordres de Guillaume d'Orange, montant Byerley Turk.
Il est élu député du comté de Durham en 1685 et en 1689, puis de Knaresborough en 1695, 1698, février et , 1702, 1705, 1708, 1710 et 1713[1].
Byerley résidait à Goldsborough Hall, près de Knaresborough dans le Yorkshire, dont il avait hérité du père de sa femme[5]. Il avait épousé sa cousine Mary, fille et héritière de Sir Philip Wharton, préfet de la Monnaie (Warden of the Mint) de 1680 à 1685, qui était originaire d'Edlington dans le Yorkshire, et l'épouse divorcée de James Campbell de Burnbank dans Lanarkshire. Ils ont deux fils et trois filles.
Références
[modifier | modifier le code]- (en) « BYERLEY, Robert », sur historyofparliamentonline.org.
- (en) Thomas Hansard, « Cobbett's Parliamentary history of England, from the Norman Conquest in 1066 to the year 1803 », Londres, .
- (en) « Thoroughbred Bloodlines - Byerley Turk », sur bloodlines.net.
- André Champsaur, Le guide de l'art équestre en Europe, Lyon, La Manufacture, 4e trimestre 1993, 214 p. (ISBN 9-782737-703324), p. 196.
- Goldsborough Hall history « https://web.archive.org/web/20090131152654/http://goldsboroughhall.com/history.htm »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), .
Liens externes
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- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :