Peggy Sage
| Peggy Sage | |
| Création | 1925
13 avril 1994 : immatriculation société actuelle |
|---|---|
| Dates clés | 1995 Rachat par la famille Collomb |
| Fondateurs | Peggy Sage |
| Forme juridique | Société par actions simplifiée à associé unique |
| Slogan | Professionnel jusqu’au bout des ongles |
| Siège social | Bonneville, Haute-Savoie France
|
| Direction | Cosmetic Universe |
| Activité | Fabrication de produits cosmétiques et de produits pour la toilette
APE 2042Z |
| Produits | cosmétiques |
| Société mère | Cosmetic Universe |
| SIREN | 400597654 |
| Site web | http://www.peggysage.com |
| Fonds propres | 31 789 500 € fin 2018 |
| Chiffre d'affaires | 44 599 700 €en 2018 |
| Résultat net | 6 260 500 € en 2018 |
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Peggy Sage est une entreprise française de cosmétique commercialisant des produits de manucure, de maquillage et de soins. Elle a été fondée aux États-Unis en 1925 par Mrs Peggy Sage. Depuis 2000, son siège est basé à Bonneville en Haute-Savoie, France[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Mrs Peggy Sage fonde son entreprise en 1925. Elle fournit des services de manucure aux femmes d'ambassadeurs lors de réunions privées avant d'ouvrir des salons aux États-Unis[2].
L'entreprise poursuit ensuite son développement à l'international. Elle ouvre des succursales à Paris, à New-York et à Londres. En 1950, elle est rachetée par le groupe anglais Unilever[3], qui, en 1995, la revend à la famille haut-savoyarde Collomb, spécialiste des produits et mobiliers à destination des grossistes en coiffure.
En 2000, la famille installe son siège social à Bonneville, en Haute-Savoie. En 2008, elle se dote d'un centre de formation dédié à la force de vente des distributeurs de la marque. En 2010, elle ouvre son premier Concept Store Peggy Sage à Lyon[4], un espace qui regroupe un centre de formation et une boutique de vente directe.
En 2013, la marque développe une gamme de trois couleurs de vernis en hommage à l'actrice américaine Faye Dunaway[5] et une gamme de cire à épiler professionnelle "Waxshop".
Ensuite, elle enrichit son activité avec deux gammes de vernis semi-permanents : la gamme "I-LAK" (lancement en 2013) et la gamme "1-LAK" (lancement en 2017). Des nouveautés sont aussi ajoutées à la collection des vernis classiques : le mini format (5ml) est lancé en 2014 tandis qu'un vernis hybride et longue tenue "Forever LAK" sort en 2016.
Activités
[modifier | modifier le code]La société Peggy Sage est organisée autour de quatre métiers :
- la manucurie,
- Vernis semi-permanents I-Lak / 1-Lak
- Technigel
- Prothésie ongulaire
- Nail art
- les soins visage et corps,
- le maquillage,
- la formation.
La marque propose des références de produits techniques à destinations des professionnels et des produits de revente à l'attention du grand public.
Circuits de distribution
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La marque est distribuée via un réseau sélectif mondial de distributeurs agrées. Elle développe également en France et en Suisse, un réseau de Boutique Stores et de Concept Stores en nom propre [6], à destination des professionnels et du grand public.
En Espagne, ils n'ont actuellement pas de Boutique Stores ils ont un magasin en tant que distributeur officiel de matériel esthétique,
Controverses
[modifier | modifier le code]Le , l'UFC Que choisir dénonce la présence d'un « cocktail détonant » de perturbateurs endocriniens dans un produit de la marque, la BB crème, et déconseille son utilisation aux enfants, aux adolescents et aux femmes enceintes[7],[8].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « identité », sur www.societe.com (consulté le )
- « Produit culte : Le Vernis à ongles n° 800 de Peggy Sage », Marie Claire, (lire en ligne, consulté le )
- « Peggy Sage - Trenditude.fr », sur Trenditude.fr (consulté le )
- Beauté : PEGGY SAGE ouvre son premier point de vente à Lyon, Les Échos de la franchise, 5 mars 2010
- « Les vernis Peggy Sage rendent hommage à Faye Dunaway - Beauté - Plurielles.fr », Plurielles.fr, (lire en ligne, consulté le )
- [1], texte additionnel.
- « L’UFC-Que Choisir met en garde contre 1 000 produits cosmétiques, dont 23 « hors la loi » », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- « Ingrédients indésirables dans les cosmétiques – Trois familles à bannir des rayons », UFC Que Choisir, (lire en ligne, consulté le ).
