Sainte-Alvère
Sainte-Alvère | |||||
Les ruines du château de Lostanges, à Sainte-Alvère. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Le Grand Périgueux | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Marie-Christine Bencharel 2017-2020 |
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Code postal | 24510 | ||||
Code commune | 24P07 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Alvèrois | ||||
Population | 774 hab. (2021) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 56′ 49″ nord, 0° 48′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 105 m Max. 251 m |
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Superficie | 32,42 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Périgord central | ||||
Historique | |||||
Fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons, puis Val de Louyre et Caudeau | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Sainte-Alvère, anciennement orthographiée Saint-Alvère, est une ancienne commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Dordogne en région Nouvelle-Aquitaine, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons, puis au une commune déléguée de la commune nouvelle de Val de Louyre et Caudeau.
De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de Sainte-Alvère.
Géographie
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]En 2015, année précédant la création de la commune nouvelle de Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons, Sainte-Alvère était limitrophe de sept autres communes.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Villages, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Outre le bourg de Sainte-Alvère proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[1] :
- les Arcies
- les Banes
- les Barrières
- les Bois de Banes
- Bois de Borde
- les Bois de Longas
- Au Bois de Saint-Amour
- Bois des Granges
- Bonnefille
- la Borie Neuve
- les Bories
- Au Bos des Tuilières
- le Bousquet
- Bouyguel
- la Bouzonnie
- la Boyne
- les Brandes
- la Brugueyrie
- le Cabanat
- le Caillou
- les Candouilles
- Cantelaube
- Carbonnière
- la Cavalerie
- Au Cessonnel
- les Chauffours
- Au Claux
- au Clocher
- les Clous
- la Combe Blanche
- A la Combe de Bio
- la Combe Delmas
- Combe del Trau
- Combel
- Combe Nègre
- Costeraste
- les Coteaux d'Arriers
- la Courdelle
- la Courdie
- les Coustilles
- la Couzière
- la Crémaillère
- le Cros de la Bille
- Au Cros du Reygnier
- Daillac
- le Falgueyret
- Fompudié
- Font Caunac
- la Font du Maigre
- les Fontenelles
- Font-Grand
- Fromprigonde
- la Gafferie
- les Gours
- le Grand Bois
- le Grand Plateau
- le Grand-Pré
- la Grange
- les Granges
- le Lac Redon
- Lagarde
- Lamouthe
- les Landettes
- Laulurie
- les Lavandes
- Lentignac
- Lescot
- Lestole
- les Lidriers
- Limousinat
- le Lionnet
- le Maine
- Maison-Blanche
- Maison Neuve
- Malegagne
- les Marais
- les Marroux
- les Massus
- la Maurénie
- le Mayne de Gaye
- les Mèmes
- les Mirabeaux
- le Moulin de la Grange
- Moulin de Monbauvard
- le Moulin de la Sourderie
- le Moulin Latour
- les Nards
- les Ormeaux
- A la Paladouyre
- le Parc
- les Pauvrettes
- les Paysses
- Péchaunou
- Pech Auriol
- Pédoumen
- Pellugue
- Pémelou
- les Peroutis
- Peyboulet
- Peyredon
- Peytestier
- Picarie
- les Places
- la Plumardie
- la Plumardie Basse
- Pomme Pied
- le Porre
- le Pouget
- Pradelle
- la Queyrie
- Ramière
- Ratevoul
- les Raysses
- le Reclaud
- le Repaire
- Rocquebrune
- les Rouquettes
- les Sadrots
- Septfonts
- le Signal
- Solle
- la Sourderie
- Au Terme de la Soula
- Terre de Bandare
- Terre de Lignac
- les Terres
- le Tertre de Lespinasse
- la Trente Monzie
- les Trois Bornes
- Aux Trois Cantons
- les Troulettes
- les Truffières
- la Tuilière
- Tuilières
- les Tustels
- Au Valat
- les Valayres
- le Valeyroux
- Varneuil
- la Vergne
- la Verrerie
- la Veyssière
- le Vignal
- Aux Vittes.
Toponymie
[modifier | modifier le code]En occitan, la commune porte le nom de Senta Alvèra[2].
Histoire
[modifier | modifier le code]Alvéréna, devenue Sainte Alvère, vécut au IXe siècle ; son histoire s'est perdue au fil du temps. Plusieurs légendes racontent son histoire, la plus réaliste étant que cette jeune fille aurait été trucidée par les Normands lors du sac du monastère de Paunat en 849. Un reliquaire du XIIIe siècle représentant un buste féminin fut découvert dans l'église avec à l'intérieur des débris de crâne d'une jeune femme, enveloppés dans une toile. Cette sainte faisait l'objet d'une vénération dans la région : le 9 mars était un jour de grande fête processionnelle, les pèlerins venant de loin.
Dès le XIe siècle les historiens signalent un château féodal primitif, en fait un village entouré de remparts dominé par une tour défensive. Au cours des siècles ce château sera puissamment aménagé, principalement aux XIVe et XVe siècles. Par l'absence d'archives et de documents, il est difficile d'en retracer l'histoire.
Au XVIIIe siècle, le château de Sainte-Alvère était l'un des plus beaux du Périgord. Détruit lors de la Révolution, sa démolition fut ordonnée par Lakanal. Il reste une haute tour circulaire du XIIIe siècle découronnée avec des voûtes curieuses, l'enceinte à plusieurs tours qui entourait le village est encore déchiffrable, une porte monumentale et deux tours y subsistent.
La seigneurie de Sainte-Alvère fut acquise en 1448 par la Maison de Lostanges, qui en garda le titre seigneurial jusqu'en 1927, date de la mort du dernier du nom. À cette famille, appartient Mgr de Lostanges, évêque de Périgueux au début du XIXe siècle.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, la commune a apporté son aide à la Résistance locale dès 1942, et a participé aux combats pour la libération du département[3], ce qui a lui a valu d'être décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[4].
Au , Sainte-Alvère fusionne avec Saint-Laurent-des-Bâtons pour former la commune nouvelle de Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons dont la création a été entérinée par l'arrêté du 22 octobre 2015, entraînant la transformation des deux anciennes communes en communes déléguées[5].
Au , Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons fusionne avec Cendrieux pour former la commune nouvelle de Val de Louyre et Caudeau dont Sainte-Alvère devient une commune déléguée[6].
Liste des seigneurs puis marquis de Sainte-Alvère
[modifier | modifier le code]La seigneurie de Sainte-Alvère faisait partie de la châtellenie de Limeuil et a dû être démembrée au profit d'un cadet de l'ancienne famille de Limeuil, dont le premier connu est[7] :
- vers 1240-1284 Pierre de Limeuil,
- vers 1270-après 1338 Bérard de Limeuil,
- vers 1305-vers 1367 Corborand de Limeuil,
- vers 1338-vers 1397 Déodat ou Dorde de Limeuil marié vers 1361 avec Gaillarde de La Pradelle (vers 1340-vers 1379), sœur de Bertrand de La Pradelle, seigneur de La Couze,
- vers 1365- ? Philippa de Limeuil mariée vers 1382 avec Guillaume-Arramond de Veyrines, fils de Bernard de Veyrines, seigneur de La Barde, près du Bugue,
- Jean de Veyrines, seigneur de Sainte-Alvère, son fils,
- Antoinette de Veyrines (†1491), dame de Sainte-Alvère, sa fille, mariée en 1448 à Jean II Adhémar de Lostanges, mort des suites de blessures faites par Hélie Gaillard et son frère Thomas en 1466. Le 8 février 1482, elle transmet à son fils aîné Guy de Lostanges tous les droits qu'elle avait sur la châtellenie de Sainte-Alvère et Cendrieux,
- 1466-1507 Guy de Lostanges (+1507), son fils, seigneur de Sainte-Alvère à partir du ,
- 1507-v.1515 Anne de Lostanges (+v.1515), sa fille
- v.1515-1518 Jean III de Lostanges (+1518), son oncle
- 1518-v.1544 Bertrand de Lostanges (+v.1544), son fils
- v.1544-1613 Hugues de Lostanges (+1613), son fils
- 1613-1625 Jean-Louis de Lostanges (+1625), baron de Sainte-Alvère, son fils
- 1625-1679 Emmanuel-Galiot de Lostanges (v.1613-1679), 1er marquis de Sainte-Alvère, son fils. Il a épousé le Claude-Simone d'Ébrard de Saint-Sulpice-Pellegri, dame du Vigan, la Mothe, Cassel, Saint-Sauveur, Saint-Cirq, Senaillac, Ussel, Nadaillac, veuve de Guyon de Clermont-Touchebœuf, comte de Clermont,
- 1679-1706 Louis-Emmanuel de Lostanges (1654-1706), 2e marquis, son fils. Il a perdu un œil à la bataille de Seneffe. Il est nommé sénéchal de Quercy et gouverneur pour le roi en 1655. Il se noie le en passant la Dordogne. Il s'est marié par contrat du avec Catherine-Rose de Cadrieu, fille de Arnaud-Louis de Cadrieu, marquis de Cadrieu, baron de Courrières, de Cazelles, etc. et d'Isabeau de Senecterre, lui ayant apporté une dot de 80 000 livres, dont il a eu,
- 1706-1778 Arnaud-Louis-Claude-Simon de Lostanges (1700-1778), 3e marquis, son fils, marié par contrat du avec Françoise-Marie de Larmandie, demoiselle de Longa,
- 1778-1807 : Henri de Lostanges (1755-1807), 4e marquis de Sainte-Alvère, de Montpezat, de Cadrieu, de Saint-Projet, de Reillac, baron du Vigan, des Près, de la Bouffie et de Longa, seigneur de Cendrieux, Pressignac, Grand-Castang, Larue, Gardonne et Cazelles, colonel du régiment Royal-Picardie cavalerie en 1788, son petit-fils, fils d'Arnaud-Louis-Marie-Stanislas de Lostanges, mort du vivant de son père, le , et de Élisabeth-Charlotte-Pauline de Gallucio de L'Hôpital, fille de Paul de Gallucio de L'Hôpital-Vitry, marquis de L'Hôpital et de Châteauneuf. Il s'est marié par contrat le avec Adélaïde-Pauline-Constantine de Vintimille, des comtes de Marseille du Luc, fille de Charles Emmanuel Marie Madelon de Vintimille, comte du Luc (†1814), colonel propriétaire du régiment de Vintimille, et de Marie-Marguerite-Madelaine-Adélaïde de Castellane (†1770). La famille de Lostanges a émigré en septembre 1791 et n'est revenue en France qu'en 1801. Toutes ses propriétés lui avaient été enlevées et morcelées pendant la Révolution. Le château de Sainte-Alvère, un des plus vastes de la province, n'est plus qu'une ruine. Il est mort à Londres le .
- 1807-1848 Arnaud-Joseph de Lostanges (1787-1848), 5e marquis, son fils
- 1848-1890 Henri-Adhémar de Lostanges (1831-1890), 6e marquis, son fils
- 1890-1906 Henri-Gaston de Lostanges (1877-1906), 7e marquis, son fils
- 1906-1927 François-Gabriel de Lostanges (1837-1927), 8e et dernier marquis de Sainte-Alvère, son oncle
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Dès 1790, la commune de Saint-Alvère, puis Sainte-Alvère, a été rattachée au canton de Limeuil qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est le chef-lieu du nouveau canton de Saint-Alvère (devenu canton de Sainte-Alvère en 1972), dépendant de l'arrondissement de Bergerac[8].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[9]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Périgord central dont le bureau centralisateur est fixé à Vergt.
En 2017, Saint-Alvère, en tant que commune déléguée de Val de Louyre et Caudeau, est rattachée à l'arrondissement de Périgueux[10],[11].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Fin 2001, Sainte-Alvère intègre dès sa création la communauté de communes du Terroir de la truffe dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute le et remplacée au par la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe dont le siège est à Vergt. Elle est elle-même dissoute le et la plupart de ses communes, dont Sainte-Alvère en tant que commune déléguée, sont intégrées à la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux le .
Administration municipale
[modifier | modifier le code]La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2011, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2014[12],[13]. Ceux-ci sont membres d'office du conseil municipal de la commune nouvelle de Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020[5].
Liste des maires puis des maires délégués
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]En avril 2010, la commune de Sainte-Alvère est la première collectivité de Dordogne à avoir vu validé son Agenda 21 par le ministère de l'Écologie[19].
Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[20].
Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de Sainte-Alvère se nomment les Alvèrois[21].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Sainte-Alvère depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2007 et 2012 pour Sainte-Alvère[22]). Depuis 2006, les autres dates correspondent à des estimations légales. En 2015, dernière année en tant que commune indépendante, Sainte-Alvère comptait 821 habitants.
Au , la commune déléguée de Sainte-Alvère compte 774 habitants[23].
Économie
[modifier | modifier le code]Les données économiques de Sainte-Alvère sont incluses dans celles de la commune nouvelle de Val de Louyre et Caudeau.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Vestiges de la tour du château de Sainte-Alvère, du XIIIe siècle, inscrits au titre des monuments historiques le [25]. Restauré en 1780, le château, ayant appartenu à la famille de Lostanges, fut ensuite incendié par Joseph Lakanal en 1792[25].
- Église Saint-Pierre-ès-Liens, du XVIIIe siècle, restaurée aux XIXe et XXe siècles, inscrite au titre des monuments historiques le [26].
- Croix du XVIIIe siècle située devant l'église, inscrite au titre des monuments historiques le [27].
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Au nord, la vallée du Caudeau et le marais du Petit Mas font partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I où deux espèces déterminantes ont été recensées en 2008, une libellule l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et une plante l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora)[28],[29]. Lors d'un précédent recensement en 1982, le site était fréquenté par la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola)[28].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jules Claretie (1840 - 1913), écrivain
- Alain Carrier (1924-2020), affichiste et illustrateur
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D’argent au lion de gueules lampassé, armé, et couronné d’azur, accompagné de cinq étoiles du même ordonnées en orle. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des anciennes communes de la Dordogne
- Liste des châteaux et demeures de la Dordogne
- Pays des bastides et cités médiévales
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Sainte-Alvère sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- « Sainte-Alvère » sur Géoportail (consulté le 2 novembre 2015).
- Le nom occitan des communes du Périgord - Senta Alvèra sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Benoît Martin, « Sainte-Alvère reçoit sa croix de guerre 1939-1945 », Sud Ouest édition Dordogne, 8 mai 2019, p. 13.
- [PDF] Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945, Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), p. 14-15.
- « Arrêté n° PREF/DDL/2015/0153 portant création de la commune nouvelle de Sainte-Alvère-Saint-Laurent, Les Bâtons », Recueil des actes administratifs de la Dordogne, , p. 28-30 (lire en ligne [PDF]).
- « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Val de Louyre et Caudeau », sur Préfecture de la Dordogne (recueil des actes administratifs), (consulté le ), p. 139-143.
- Nicolas Viton de Saint-Allais, « De Lostanges, seigneurs de Sainte-Alvère, en Périgord », dans Nobiliaire universel de France, t. 14 Première partie, Paris, (lire en ligne), p. 277-299
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
- [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 30 novembre 2014.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 30 novembre 2014.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 27 août 2014.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 22.
- Astrid Martin-Auberdon, « Nouveaux élus pour nouvelle commune », Sud Ouest, 16 janvier 2016.
- « Philippe Ducène quitte ses fonctions de maire délégué », Sud Ouest édition Dordogne, 27 avril 2017, p.|12.
- [PDF] Compte-rendu du conseil municipal, Commune de Val de Louyre et Caudeau, 24 mai 2020, p. 2, consulté le 18 août 2020.
- Adrien Vergnolle, Le village « écolo », Sud Ouest édition Périgueux du 23 avril 2010
- Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 25 novembre 2016.
- « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
- [PDF] Populations légales 2021 à compter du - Fichier Dordogne, p. 24-16 sur le site de l'Insee, consulté le .
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 .
- « Restes de la tour de Saint-Alvere », notice no PA00082791, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 20 septembre 2016.
- « Eglise Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00135170, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 20 septembre 2016.
- « Croix », notice no PA00135169, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 20 septembre 2016.
- [PDF] Marais du Petit Mas, vallée amont du Caudeau, DREAL Aquitaine, consulté le 12 février 2019.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 720012836, DREAL Aquitaine, consulté le 12 février 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».