Saint-Cybardeaux
Saint-Cybardeaux | |||||
Le théâtre gallo-romain des Bouchauds | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Rouillacais | ||||
Maire Mandat |
Francis Jean Roy 2020-2026 |
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Code postal | 16170 | ||||
Code commune | 16312 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Éparciens | ||||
Population municipale |
822 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 39 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 46′ 10″ nord, 0° 01′ 40″ ouest | ||||
Altitude | Min. 74 m Max. 164 m |
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Superficie | 21,00 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Val de Nouère | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.stcybardeaux.fr | ||||
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Saint-Cybardeaux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Éparciens et les Éparciennes[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation et accès
[modifier | modifier le code]Le bourg important de Saint-Cybardeaux est situé à 3 km à l'est de Rouillac, et 20 km au nord-ouest d'Angoulême.
Saint-Cybardeaux est aussi à 11 km au nord d'Hiersac, 12 km à l'ouest de Vars, 25 km au nord-est de Cognac, 43 km de Saint-Jean-d'Angély[2].
Située à un carrefour historique, la principale voie de communication est aujourd'hui la D.939 d'Angoulême à La Rochelle par Saint-Jean-d'Angély, qui traverse le bourg et la commune d'est en ouest avant la déviation construite en 1990. La D 14, route de Rouillac à Hiersac et Châteauneuf, limite la commune au sud-ouest[3].
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Les hameaux sont nombreux ; parmi les plus importants, se trouvent :
- les Bouchauds, au pied du mamelon portant l'ancien théâtre gallo-romain ;
- Dorgeville, près de la voie romaine ;
- Grosville à la limite de la commune de Rouillac ;
- les Rochereaux, sur la D 939 ;
- Cougoussac, près des Bouchauds ;
- Dauves et les Bruns, au nord de la commune, sur la route de Gourville ;
- Sainte-Catherine, dont une partie appartient à la commune d'Échallat ;
- Brelinge ;
- la Bergerie ;
- Chez Proullaud[3]...
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune occupe un plateau calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien sur une grande moitié nord-est et Portlandien au sud-ouest). La vallée de la Nouère est occupée par des alluvions du Quaternaire[4],[5],[6].
La partie centrale de la commune de Saint-Cybardeaux, de l'est à l'ouest, est occupée par la vallée de la Nouère. De chaque côté de cette vallée, s’élèvent des plateaux mamelonnés, dont certains sommets atteignent des cotes élevées, notamment 146 m dans l'est de la commune, et 144 m au bois des Bouchauds.
Le point culminant de la commune est à une altitude de 164 m, situé en limite nord près de Grosville. Le point le plus bas est à 74 m, situé le long de la Nouère en limite sud-est près de Bois Raymond. Le bourg est à 88 m d'altitude[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Nouère, le ruisseau le mosnac, et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La commune est arrosée par la Nouère, affluent en rive droite de la Charente, qui baigne le pied de l'église du bourg et dont la source est dans la commune voisine de Rouillac.
Un ruisseau de 2 km rejoint la Nouère sur sa rive gauche au bourg, alimenté par la Font de Grosville et la Font Franchaud[3].
Gestion des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
[modifier | modifier le code]Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Cybardeaux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50 %), zones agricoles hétérogènes (19,5 %), cultures permanentes (15,1 %), forêts (11,1 %), prairies (2,6 %), zones urbanisées (1,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Saint-Cybardeaux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 46,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 421 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 233 sont en aléa moyen ou fort, soit 55 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Les formes anciennes sont Ilice, Illice, Sanctus Eparchius de Ylice en 1200, Sanctus Eparchius de Hylice en 1293[21], Sanctus Eparchius de Aquis, olim de Ilice[22], S. Eparchii de Ilicibus peu avant 1139, Sainct Cybard d'Elz[23].
Le nom de Saint-Cybardeaux signifie donc « Saint-Cybard de l'Yeuse », formé sur saint Cybard (Eparchius, ermite du VIe siècle vénéré à Angoulême et en Aquitaine) et du latin ilex, chêne vert, appelé "yeuse" localement. Saint-Cybardeaux s'est aussi appelé « Saint-Cybard des Eaux », et il est difficile de savoir si cette seconde forme dérive de la première[23],[Note 2]. Le gentilé Éparcien est formé sur le nom latin de Cybard.
Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Cibardeaux-sur-Nouère (ou Cybardeaux), en frimaire de l'an 2[24].
Histoire
[modifier | modifier le code]Époque romaine
[modifier | modifier le code]L'ancienne voie romaine de Saintes à Lyon, la voie d'Agrippa traverse la commune d'ouest en est.
Au sommet du mamelon élevé qui porte le bois des Bouchauds, se dressent des ruines importantes, très longtemps appelées dans le pays « château des Fades », et qui passèrent longtemps pour avoir appartenu à un château féodal. En réalité, se trouve là le site du théâtre gallo-romain des Bouchauds, daté du Haut Empire romain[25].
Moyen Âge et Ancien Régime
[modifier | modifier le code]Il a existé, au village des Bouchauds, un fief relevant de la baronnie de Montignac. À la fin du XVe siècle, ce fief appartient à Benoît Geoffroy. La famille Geoffroy le conserve jusque dans la première moitié du XVIIIe siècle. En 1735, Jean Geoffroy, descendant de Benoît Geoffroy, vend à Pierre Boisnier, sieur de Crèvecœur, la terre des Bouchauds, qui est rachetée, en 1775, par Charles Green de Saint-Marsault, baron de Châtelaillon. La Révolution dépossède ce dernier, et la terre des Bouchauds est vendue comme bien national, le .
Deux autres fiefs étaient Puyromain et Andreville; comme le fief des Bouchauds, ces deux fiefs relèvent de la baronnie de Montignac.
Jusqu'au XVIIIe siècle, le fief de Puyromain demeure la possession de la famille de Marcossaine, famille remarquable qui paraît être venue d'Angleterre pendant la guerre de Cent Ans. Le , a lieu le mariage de Marie de Marcossaine, fille de Pierre de Marcossaine, seigneur de Puyromain, avec Pierre de Massougnes, écuyer, seigneur de Charenton. La famille de Marcossaine est éteinte depuis le XVIIIe siècle.
Les premiers possesseurs nettement connus du fief d'Andreville sont les Martin, longtemps appelés Martin de la Pile, et plus tard, Martin de Bourgon. Cette famille est issue au XVIe siècle de l'échevinage d'Angoulême. En 1573 et 1574, « Noble Maistre Mathurin Martin, conseiller du Roy et garde des sceaulx en la sénéchaussée et siège présidial d'Engoulmoys, maire et capitaine de la ville d'Engoulesme », est dit sieur d'Andreville.
Par adjudication du , la seigneurie d'Andreville est acquise par Antoine Lebesgue, sieur de La Pinotte, maître de la poste à Saint-Cybardeaux et, le , Judth Lebesgue épouse François de Massougnes, seigneur de Saint-Romain[26].
Route de la Poste
[modifier | modifier le code]Saint-Cybardeaux était aussi situé avant le XVIIIe siècle sur l'ancienne route de la Poste entre Paris et Bordeaux, directe entre Chaunay et Barbezieux par Villefagnan, Aigre, Moulidars et Châteauneuf, avant que celle-ci ne soit déviée pour desservir Angoulême par Turgot, intendant de la généralité de Limoges[27],[28],[29].
La bringue
[modifier | modifier le code]Un jeu traditionnel a perduré jusqu'au milieu du XIXe siècle. S'apparentant au football actuel, il s'agissait de se rendre maître d'une boule en bois, qui était lancée le jour de Noël dans un pré le long de la Nouère, et d'aller frapper cette boule trois fois dans un mur désigné d'avance. Le nombre de joueurs venant des alentours était assez considérable ce jour-là[26].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la ligne d'Angoulême à Matha, petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer départementaux appelée le Petit Rouillac[26]. Son tracé a été repris dans les années 1980 par la déviation de la route d'Angoulême à Saint-Jean-d'Angély.
Administration
[modifier | modifier le code]Fiscalité
[modifier | modifier le code]La fiscalité est d'un taux de 19,72 % sur le bâti, 43,55 % sur le non bâti, et 9,28 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).
La communauté de communes de Rouillac prélève 10,80 % de taxe professionnelle.
Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2021, la commune comptait 822 habitants[Note 3], en évolution de −2,38 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 403 hommes pour 419 femmes, soit un taux de 50,97 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].
Équipements, services et vie locale
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Saint-Cybardeaux possède une école primaire publique comprenant quatre classes, dont une de maternelle. Le secteur du collège est Rouillac[37].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]Église Saint-Cybard, cure de l'abbaye Saint-Cybard d'Angoulême, dès le règne de Charlemagne. L'église qui ne possède plus rien de cette époque, mais peut-être des restes du XIe siècle à la base de son clocher, a été remaniée dans toutes ses parties. Sa nef comporte un bas-côté du XVIe siècle; le chœur est du XVIIe siècle, la façade est romane avec un bas-côté du XVIe siècle. Le clocher, carré et nu, a quatre baies brisées et un toit bas à quatre pans[38].
Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]Le théâtre gallo-romain occupe un site naturel, la colline des Bouchauds, située près du croisement de deux voies romaines, offrant une importante étape. Il est accompagné d'un sanctuaire.
-
Pigeonniers à l'entrée du stade
-
Lavoir
-
2elavoir
Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]-
Écluse sur
-
La Nouère
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement :
Écartelé : au 1er et au 4e d’azur aux deux chevrons d’or, au 2e et au 3e d’argent aux trois fasces de gueules, au filet en croix d’argent brochant sur l’écartelé[39].
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Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Saint Cybard a aussi donné son nom aux communes de Saint-Cibard (Gironde), Saint-Cybard (Charente), Saint-Ybard (Corrèze), Saint-Ybars (Ariège).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Cybardeaux » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Saint-Cybardeaux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angoulême », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Cybardeaux », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Cybardeaux », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 130,284
- Jean Nanglard, « Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. I », dans Bulletin et mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, t. II-IV, Angoulême, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne), p. 478Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 592.
- Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
- « Théâtre gallo-romain des Bouchauds », notice no PA00104497, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 325-326
- Atlas de Trudaine - 1745 ; généralité de La Rochelle - vol. II, base Mistral, Ministère de la Culture
- Georges Reverdy, Histoire des routes de France du Moyen Âge à la Révolution, Presses de l'École nationale des ponts et chaussées, , 271 p. (ISBN 285978280X, lire en ligne), p. 231
- Société archéologique et historique de la Charente, Documents historiques sur l'Angoumois, Aubry, (lire en ligne), p. 236-237
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Cybardeaux (16312) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., et t.IV
- Jean-Paul de Gassowski, « OLDJP - La banque du blason 2 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Catillus Carol, « Saint-Cybardeaux », (consulté le )