Niobé fille de Phoronée
Apparence
Dans la mythologie grecque, Niobé est parfois citée comme la fille de Phoronée[1] et de la nymphe Télédicé — selon d’autres sources, de Cerdo ou Péitho.
Mythe
[modifier | modifier le code]Elle est la première mortelle à laquelle se soit uni Zeus. Avec lui, elle engendre Argos et Pélasgos.
Selon Strabon, qui cite un passage perdu d'Hésiode, Hécatéros uni à la fille de Phoronée — donc probablement Niobé, la seule fille qu'on lui connaisse — en eut cinq filles. Celles-ci engendrèrent par la suite les Oréades (nymphes des montagnes), les Satyres et les Curètes.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Luc Brisson (dir.) (trad. du grec ancien), Platon, Œuvres complètes, Paris, Éditions Flammarion, (1re éd. 2006), 2204 p. (ISBN 978-2-08-121810-9), p. 2179.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Platon 2008, p. 2179.
Sources
[modifier | modifier le code]- Pseudo-Apollodore, Bibliothèque [détail des éditions] [lire en ligne] (II, 1, 1).
- Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines [détail des éditions] [lire en ligne] (I, 11).
- Hygin, Fables [détail des éditions] [(la) lire en ligne] (CXLV).
- Pausanias, Description de la Grèce [détail des éditions] [lire en ligne] (II, 21–22).
- Strabon, Géographie [détail des éditions] [lire en ligne] (X, 3, 19).