Aller au contenu

Malbosc

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Malbosc
Malbosc
Vue du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Largentière
Intercommunalité Communauté de communes Pays des Vans en Cévennes
Maire
Mandat
Christian Manifacier
2020-2026
Code postal 07140
Code commune 07148
Démographie
Gentilé Malbossards
Population
municipale
145 hab. (2021 en évolution de +0,69 % par rapport à 2015)
Densité 6,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 20′ 48″ nord, 4° 04′ 25″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 907 m
Superficie 21,43 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Cévennes ardéchoises
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Malbosc
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Malbosc
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Voir sur la carte topographique de l'Ardèche
Malbosc
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Malbosc

Malbosc est une commune française située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Malbossards[1].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Situation et description

[modifier | modifier le code]

Malbosc est une petite commune à l'aspect essentiellement rural située dans la communauté de communes Pays des Vans en Cévennes dans la partie méridionale du département de l'Ardèche.

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est très riche en multiples cours d'eau, petits ou plus grands - à tel point que hormis pour environ 4 km de longueur, elle est entièrement ceinturée de différents cours d'eau, dont en limite sud deux affluents de la Cèze elle-même affluent du Rhône, et bordée pour le reste par des affluents de la Ganière elle-même affluent de la Cèze.

Au nord le ruisseau de Brousson, affluent de la Ganière, prend source sur le flanc est du sommet de la Croix d'Esparguet. Il coule vers l'est et sert de limite de commune avec Les Vans sur son parcours entier (1,8 km). Au sud-est du Brousson il conflue avec la Ganière, qui coule d'abord vers le sud-est en servant de limite de commune avec Les Vans sur 2,5 km, puis se tourne vers le sud et borde Banne sur 4,2 km jusqu'à la confluence de son affluent le ruisseau de Maubert venant du sud-ouest en rive droite. Le ruisseau de Maubert prend le relais comme limite de commune avec Bordezac pour les derniers 2,2 km de son parcours, jusqu'à la confluence de son petit affluent le ruisseau de Prat Peillard. Ce dernier sert de limite de commune avec Bordezac au sud-est sur son parcours entier (1,2 km), jusque sur le flanc nord-est de la Côte vers les ruines du Moutas où il prend naissance. Côté sud-ouest de cette crête, la limite de commune retrouve un cours d'eau avec la confluence du ruisseau des Costes et du ruisseau de la Doue : elle suit le ru formé par cette conjonction jusqu'à sa confluence avec la Cèze, ru qui sépare Malbosc de Bordezac pour la première moitié de son cours et de Chambon pour le reste.

Ce ru rejoint la Cèze à 360 m en aval du barrage de Sénéchas.Sur les 350 m environ entre le barrage et cette confluence, la Cèze sert de limite de commune avec Peyremale - le barrage de Sénéchas est partagé entre Malbosc et Peyremale, mais pas sur Sénéchas.

Le lac formé par le barrage est divisé en deux branches, celle du sud-ouest occupant une partie de la vallée de l'Homol affluent de la Cèze, la branche nord-ouest s'allongeant dans la vallée de la Cèze. La limite de commune avec Sénéchas, qui mesure environ 2,3 km, commence à moins de 100 m en amont du barrage, sur la rive gauche (côté nord) de la branche nord-ouest du lac - la branche de la Cèze. Malbosc inclut toute la longueur de cette berge mais n'inclut pas l'eau du lac, qui pour cette branche est entièrement sur Sénéchas.

Un peu plus de 2 km en amont du barrage, la Cèze reçoit en rive gauche le ruisseau des Amarosses. La limite de commune avec Aujac suit ce ruisseau vers le nord sur 1,5 km. Elle le quitte pour continuer vers le nord et vers le sommet du Bartras. Sur le flanc nord du Bartras elle rejoint le ruisseau du Térond, qu'elle suit jusqu'à la confluence de ce dernier avec le ruisseau d'Abeau. Elle suit ensuite le ruisseau d'Abeau sur 380 m en aval, jusqu'à la confluence en rive gauche du valat de Balizac.

Les 2,2 km du ruisseau de Balizac complètent presque le tour de la commune, servant de limite de commune avec Bonnevaux ; il ne manque que 400 m de plus vers le nord pour atteindre le sommet du Font de L'Aille, point culminant de la commune. Deux kilomètres à l'est, commence le ruisseau de Brousson.

En sus de ces déjà nombreux cours d'eau, à peu près chaque pli de montagne recèle un ru, saisonnier pour la plupart.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Malbosc est limitrophe de huit communes, dont deux se trouvent en Ardèche : Banne et Les Vans ; et six dans le Gard : Aujac, Bonnevaux, Bordezac, Chambon, Peyremale et Sénéchas[2] :

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Malbosc abrite un petit gisement d'antimoine, présent sous la forme de stibine. L'extraction de celle-ci se faisait par simple chauffage des roches, la matte s'écoulant des stériles dès que la température s'approche de 600 °C[3]. Mais la stibine, incluse dans des filons quartzeux orientés NO-SE, y est disséminée, soit en mouches rayonnées, soit en veines très irrégulières ayant, au plus, 0,20 à 0,10 m d'épaisseur. L'allure de ces veines est très variable : tantôt elles se portent au toit, tantôt au mur du filon quartzeux ; parfois elles se divisent où se perdent complètement. En 1893, l'exploitation, gênée par cette irrégularité avait depuis longtemps été abandonnée[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 381 mm, avec 7,9 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Vans-Sa », sur la commune des Vans à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 251,0 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communication

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par la route départementale 51 (RD51).

Lieux-dits, hameaux et écarts

[modifier | modifier le code]

Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée.

A

  • Abeau, Route d'Abeau
  • Aubrias, D51

B

  • Bontier, D216
  • Le Barre*, D216
  • La Borie, D216

C

  • Chabannes*, Rte de Chabannes
  • Chambonas*, Route d'Abeau (vers la Serre des Abeillards)
  • Le Chastelas, D216
  • La Chaze*, Rte de Chabannes
  • Combe Chalde*, D216
  • Les Combres*, D216
  • Cruvelou*, Rte de Sabuscles (de la D216)

D

  • La Draille, D216

E

  • L'Eyrole*, D216
  • Escoussous*, D216
  • L'Estevenet*, Rte de Sabuscles (de la D216)

F

  • Fabre*, Rte de Sabuscles (de la D216)
  • Fourniel*, D216

G

  • Gorge*, Rte de Sabuscles (de la D216)
  • Gournier, D216
  • Grignole, D216

H

  • Habitarelle, D310

L

  • La Lauzière*, D52
  • Légal*, D216
  • La Loubatière, D310

M

  • Malbosquet*, D216
  • Le Mas*, près de Malbosc
  • La Mazade*, D52
  • Mourèdes, D52
  • Meynier*, D216

N

  • La Nouzette, Rte de Chabannes

P

  • Padrigalet*, Rte de Chabannes
  • La Pause*, D216
  • Pigeyroles*, Route d'Abeau
  • Prat Peillard*, D216 (près de Combe Chalde)

S

  • Sabuscles, Rte de Sabuscles (de la D216)
  • Safrenière*, Rte de Sabuscles (de la D216)
  • Le Serre*, près de la Nouzette
  • Le Serret*, près de Chabannes

T

  • La Tuilière*, D216

V

  • Vernédas, D51

Au , Malbosc est catégorisée commune rurale à "habitat très dispersé", selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (85,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), eaux continentales[Note 1] (0,5 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Risques sismiques

[modifier | modifier le code]

Selon son PLU[16], l'ensemble du territoire de la commune est situé en zone de sismicité no 2 (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes situées sur le plateau et la montagne ardéchoise, mais en bordure occidentale de la zone no 3[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 2 Sismicité faible accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

[modifier | modifier le code]

De l'occitan bosc, bos ou bost, « bois », qui était un « mauvais bois ». Mais le nom de Malbosc viendrait de la famille De Malbosc, seigneurs du village originaire du Gévaudan (Les Bondons) qui s'y établit au XIIe siècle et lui donna son nom.

Du XIIIe siècle au XVIIIe siècle, la seigneurie appartient à la maison de Malbosc, très bien implantée dans la région, qui a formé les plus nobles alliances, notamment avec les de Borne d'Altier, de Gabriac, des Porcellets, de Ginestous, de Grimoard, de Beauvoir, de Villaret.

La révolte des Masques qui touche plusieurs cantons dont ceux des Vans et de Saint-Ambroix à la fin de l'ancien régime est conduite par le procureur fiscal de Malbosc, Antoine de La Billerie. Cette bande compte plusieurs dizaines de révoltés qui se barbouillent le visage de suie ou portent une étoffe devant leur visage pour ne pas être reconnus. Cette révolte, causée par la misère qui règne dans la région, dure plusieurs années. Elle est dirigée contre les hommes de loi et les collecteurs d'impôts. L'argent qu'on leur dérobe est redistribué aux pauvres, mais aucun des notables menacés ne perd la vie. Cette révolte cesse avec l'arrestation de La Billerie à Malbosc. Il est jugé puis pendu aux Vans en 1783, et deux de ses complices sont étranglés puis roués.

Liste des enfants dévorés par bête du Vivarais de 1812 à 1815, commune de Malbosc.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1870 avant 1873 Camille Maïstre    
avant 1873   Joseph Louis Garidel    
juin 1995 mars 2008 Alice Icard    
mars 2008 mai 2020 Michel Pialet[19]   Retraité de l'enseignement
mai 2020 en cours Christian Manifacier[20] SE Cadre de la fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 145 habitants[Note 2], en évolution de +0,69 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9068677269621 0369801 0251 0541 087
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 016986895783774707690728694
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
672681598522480418354297251
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
229171157165146169156155151
2015 2020 2021 - - - - - -
144146145------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas et d'Aubenas.

L'église Saint-Jean-Baptiste (propriété de la commune) et la communauté catholique de Malbosc sont rattachées à la paroisse Saints Pierre et Paul de Païolive, elle-même rattachée au diocèse de Viviers[25].

Environnement

[modifier | modifier le code]

La commune est comprise dans trois zones de protection environnementales[26] :

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église du XIXe siècle Saint-Jean-Baptiste de Malbosc et derrière cette dernière l'église romane citée dans la bulle d’Innocent III du 12 novembre 1208.
  • Château du XIIe siècle dont il ne reste que six corps de bâtiments, au lieu-dit du Chastellas et la chapelle Saint-Blaise.
  • Chapelle du cimetière de Malbosc.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Félix de Malbosc de Miral de Cabrières (1726-1753) page du roi Louis XV et colonel de cavalerie dernier des Malbosc.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Malbosc (07140) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
  2. Commune de Malbosc sur geoportail.fr.
  3. (en) Robert Hunt, A supplement to Ure's Dictionary of Arts, Manufactures, and Mines, containing a clear exposition of their principles and practice., New York, Appleton and Company, (lire en ligne), p. 106
  4. Edmond Fuchs et Louis de Launay, Traité des gîtes minéraux et métallifères : recherche, étude et conditions d'exploitation des minéraux utiles, description des principales mines connues, usages et statistique des métaux : cours de géologie appliquée de l'École supérieur des mines, t. 2, Librairie polytechnique Baudry et Cie éditeur (lire en ligne [PDF]), p. 199
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Malbosc et Les Vans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Les Vans-Sa », sur la commune des Vans - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Les Vans-Sa », sur la commune des Vans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Site plu-cadastre.fr pager sur la commune de Malbosc.
  17. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  19. Répertoire national des élus (RNE) - version de juillet 2020, consulté le 3 juillet 2020
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version octobre 2021 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse de Saints Pierre et Paul de Païolive.
  26. Liste des espaces protégés et gérés sur la commune de Malbosc. Fiche Natura 2000.
  27. Parc national des Cévennes - FR3400004. Fiche Natura 2000.
  28. Parc naturel régional des Monts d'Ardèche - FR8000041. Fiche Natura 2000.
  29. Réserve de biosphère des Cévennes. Fiche Natura 2000.