Laurence Vincent-Lapointe
Contexte général | |||||||||||||||||||||
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Sport | Canoë-kayak de vitesse | ||||||||||||||||||||
Biographie | |||||||||||||||||||||
Nationalité sportive | Canada | ||||||||||||||||||||
Nationalité | Canada | ||||||||||||||||||||
Naissance | |||||||||||||||||||||
Lieu de naissance | Shawinigan-Sud (Canada) | ||||||||||||||||||||
Taille | 1,81 m | ||||||||||||||||||||
Poids de forme | 80 kg | ||||||||||||||||||||
Club | Club de Canoë-Kayak de Trois-Rivières | ||||||||||||||||||||
Entraîneur | Mathieu Pelletier, Mark Granger | ||||||||||||||||||||
Palmarès | |||||||||||||||||||||
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Laurence Vincent-Lapointe, née le , est une céiste canadienne pratiquant la course en ligne.
Carrière
[modifier | modifier le code]Laurence Vincent-Lapointe est une céiste féminine de vitesse. Elle est détentrice du record du monde C1 200 m en 44 s 504 établi à Szeged en [réf. nécessaire].
Elle commence sa carrière au Club de Canoë-kayak de Trois-Rivières en 2004 avec comme entraîneur Mathieu Pelletier[réf. nécessaire].
Elle arrive sur la scène internationale en 2010 et remporte deux médailles d'or aux Championnats du monde cette même année. Elle a remporté à nouveau des médailles en 2011, 2013 et 2014. Elle est aussi championne des Mondiaux dans la catégorie U23 en 2013. En bateau 2 places (C2), elle a été championne du monde à quatre reprises (Mallorie Nicholson (2010, 2011 et 2012) et Sara-Jane Caumartin (2013)[réf. nécessaire].
Depuis 2009 au niveau national, elle a battu de nombreux records canadiens avec 36 médailles d'or.
Laurence Vincent-Lapointe participe aux Championnats du monde de course en ligne 2010 à Poznań et remporte la médaille d'or en canoë monoplace (C-1) 200 m. Elle terminera aussi première de l'épreuve de canoë biplace (C-2) 500 m, alors en démonstration[1].
Aux Championnats du monde 2011 en Hongrie, elle est sacrée championne du monde en C-1 200 mètres et en C-2 500 mètres[2].
Lors d'un contrôle antidopage fin , l'athlète est provisoirement suspendue dans l'attente de la conclusion de cette affaire. En juillet 2020, l'ICF l'acquitte de toutes les charges après qu'elle ait prouvée qu'elle fut victime d'une contamination croisée par fluides corporelles de par son ancien copain alors athlète, qui avait ingéré la substance interdite[3].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Laurence Vincent-Lapointe, double médaillée d'or aux mondiaux de canoë-kayak », sur cyberpresse.ca, (consulté le ).
- « Deux fois l'or aux Mondiaux pour Laurence Vincent-Lapointe », sur cyberpresse.ca, (consulté le ).
- « Dopage : Une athlète blanchie et soulagée par sa fédération ».
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives au sport :