Bullecourt
Bullecourt | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Sud-Artois | ||||
Maire Mandat |
Éric Bianchin 2020-2026 |
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Code postal | 62128 | ||||
Code commune | 62185 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bullecourtois | ||||
Population municipale |
227 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 11′ 35″ nord, 2° 55′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 74 m Max. 104 m |
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Superficie | 6,43 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bapaume | ||||
Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Bullecourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Bullecourtois.
La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 059 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située à 19 kilomètres au sud-est d'Arras (chef-lieu d'arrondissement et aire d'attraction)[1]. et dans le triangle entre l'autoroute A1, la route D 930 et la D 939.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 6,43 km2 ; son altitude varie de 74 à 104 m[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[3],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[10]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bullecourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,8 %), zones urbanisées (4,2 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la route départementale D 956[17].
Transport ferroviaire
[modifier | modifier le code]La commune se trouve à 18 km de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[18].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Bullecortis (1096) ; Builicurt (1142) ; Bulecult (vers 1154) ; Bulicourt (vers 1154) ; Buillicurt (1154-1159) ; Bulicurt (XIIe siècle) ; Builcourt (1215) ; Builecort (1237) ; Bulecourt (1238) ; Bulecort (1266) ; Buillencourt (1290) ; Bulecourt (1301) ; Burlecourt (1319) ; Bullescourt (1429) ; Buillecourt, Bullecourt (1435)[19], Bulcourt (1793) et Bullecourt depuis 1801[2].
Histoire
[modifier | modifier le code]L'histoire de la commune est consultable dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873 [20].
Avant la Révolution française, Bullecourt est le siège d'une seigneurie, longtemps possédée par des membres de la famille de Beauffort.
Carte de Cassini
[modifier | modifier le code]La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Bullecourt était une paroisse située sur le Grand Chemin de Bapaume à Douai, aujourd'hui la D 986. Au sud-est, un moulin à vent en bois, aujourd'hui disparu, était en activité à cette époque de l'autre côté de la route.
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le , les Allemands s'emparent du village de Bullecourt et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en . Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à la limite de Bullecourt.
Pendant la bataille d'Arras, il y avait deux batailles de Bullecourt :
- Première bataille de Bullecourt[21]. Le , deux brigades australiennes attaquent Bullecourt, appuyées par douze tanks mais sans soutien d'artillerie. Pris sous un feu d'enfilade, les Australiens doivent se replier. Les pertes de la 4th Brigade s'élèvent à 2 258 sur un effectif de 3 000 hommes. Les Allemands capturent 27 officiers et 1 137 hommes et n'ont que 750 tués.
- Seconde bataille de Bullecourt[22]. Moins d'un mois plus tard, le , une deuxième attaque est menée par les 62e et 2e division australienne sur les deux flancs du village. Les ruines du village sont reprises reprise mais la percée de la ligne Hindenburg n'a pas eu lieu. Au total, les pertes britanniques et australiennes s'élèvent à 14 000 hommes[23],[24].
Jean Letaille (maire de 1977 à 1995) a rassemblé différents objets dans un musée relatif à cette période[25].
La ligne Hindenburg qui comprend un important réseau de barbelés, de bunkers, de postes de mitailleuses et qui s'appuie sur les constructions non détruites des villages à l'arrière, résistera aux assauts incessants des alliés jusqu'au 2 septembre 1918, date du percement de la ligne Hindenburg entre Drocourt et Quéant par la première Division canadienne[26].
Evacué de ses habitants dès 1917, le village est complètement détruit.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la croix de guerre 1914-1918 le [27].
Ensuite commença une longue période de reconstruction de l'église, de la mairie, des routes et des habitations grâce aux dommages de guerre.
-
Photo d'un poste allemand de tranchées, pris en 1917 sur le secteur Croisilles - Bullecourt. -
Tranchée australiennes à Bullecourt le 8 mai 1917. -
Carte de la Ligne Hindenburg en 1917. -
En avril 1917, Bullecourt reste en zone allemande sur la Ligne Hindenburg. -
Article de l'armée allemande mentionnant que les ruines de Bullecourt ont été laissées aux mains des Anglais. -
La carte des régions dévastées montre que le village de Bullecourt est complètement détruit à la fin de la guerre.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[2].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton de Croisilles de 1801[2] à 2014, puis, depuis 2015 au canton de Bapaume.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[32], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).
Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[33].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Bullecourtois[34].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2021, la commune comptait 227 habitants[Note 4], en évolution de −6,97 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 122 hommes pour 112 femmes, soit un taux de 52,14 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Vaast.
- Dans la mairie, un tableau du peintre James Scott représentant la mort du Major P. Black qui conduisit ses hommes à travers le réseau de barbelés intacts. Son bataillon captura la première puis la seconde ligne allemande. Le Major Black fut retrouvé mort sur les barbelés
Lieux de mémoire de la guerre
[modifier | modifier le code]- Le monument aux morts[40].
- Devant l'église, le monument du Souvenir français qui commémore l'engagement des troupes britanniques et australiennes en 1917. À côté, est exposé un morceau de chenille du tank Mark IV du lieutenant Davies qui a participé à l'attaque d'avril 1917[40].
- La croix aux Disparus qui commémore les 2 423 soldats australiens qui n'ont pas de tombe connue et qui reposent encore dans le no man's land ou dans un cimetière avec la mention Known unto god.
- Le mémorial du Digger - statue de bronze de 2,4 m de haut, œuvre du sculpteur australien Peter Colett, érigée en 1993, qui a représenté le visage de son père qui a combattu à Bullecourt[40].
- Le Bullecourt 1917 - Musée Jean-et-Denise-Letaille.
-
Le monument aux forces australiennes.
-
Le monument aux britanniques et australiens.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Saint Vindicien, né à Bullecourt en 632.
- Antoine de Croix, dit Drumez, seigneur de Bullecourt est reconnu noble le 26 janvier 1580. Il a pour armes « D'argent à la croix d'azur »[41].
- Romain de Beauffort, (famille de Beauffort), chevalier, seigneur de Bullecourt, mort en 1562, a servi au couronnement du roi d'Espagne (Charles Quint) en tant que guidon de la compagnie d'ordonnance du seigneur de Bugnicourt et Montigny, est ensuite resté au service des rois Charles Quint et Philippe II, et a consumé au dit service une grande partie des anciennes terres de sa maison[42].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or à la fasce de gueules accompagnée de trois maillets de sable[43].
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Détails | Adopté par la municipalité le . |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Histoire militaire de l'Australie pendant la Première Guerre mondiale
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l'IGN, [lire en ligne][Note 5]
- « Bullecourt » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l'évolution de l'occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Bullecourt » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Distance entre la commune et Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Fiche communale de Bullecourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bullecourt et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bullecourt ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 76.
- « Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais. Tome 2 », sur Gallica, 1873-1883 (consulté le ).
- « La première bataille de Bullecourt », sur Archives - Pas-de-Calais le Département (consulté le ).
- « La deuxième bataille de Bullecourt », sur Archives - Pas-de-Calais le Département (consulté le ).
- Sur les traces des Australiens de Bapaume à Bullecourt par l'Association Souvenir, Sauvegarde et Histoire Militaire Régionale.
- voir aussi www.cheminsdememoire-nordpasdecalais.fr: Parc mémorial australien de Bullecourt
- Article dans la Voix du Nord du 09/08/2010] Consulté le 1er septembre 2010
- « Le percement de la ligne Drocourt-Quéant (2-3 septembre 1918) », sur Archives - Pas-de-Calais le Département (consulté le ).
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- Laurent Boucher, « Bilan du maire à Bullecourt : Jules Laude ne se représentera pas : Au conseil municipal depuis 1967 et maire depuis 1995, Jules Laude ne se représentera pas en mars prochain. À 75 ans, « il y a une limite, il faut savoir s'arrêter. » », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Huit «Village patrimoine» en Pays d'Artois | La Gazette Nord-Pas de Calais », sur gazettenpdc.fr (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bullecourt (62185) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, (lire en ligne), p. 4.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 35-36, lire en ligne.
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).