Bioussac
Bioussac | |||||
La mairie de Bioussac | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Val de Charente | ||||
Maire Mandat |
Pierre Poux 2020-2026 |
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Code postal | 16700 | ||||
Code commune | 16044 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bioussacois ou Bioussacais | ||||
Population municipale |
207 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 01′ 56″ nord, 0° 16′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 162 m |
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Superficie | 15,64 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Ruffec (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Charente-Nord | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Bioussac est une commune du sud-ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont appelés les Bioussacois ou les Bioussacais[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation et accès
[modifier | modifier le code]Bioussac est une commune située au nord du département de la Charente située à 6 km à l'est de Ruffec.
Bioussac est aussi à 5 km au nord-ouest de Nanteuil-en-Vallée, 11 km de Champagne-Mouton, 13 km de Civray, 31 km de Confolens. Angoulême, la préfecture, est à 43 km au sud[2].
La D.740 de Niort à Confolens par Chef-Boutonne et Ruffec passe à 1 km au sud du bourg. D'autres routes départementales de moindre importance traversent la commune et le bourg : la D 56, nord-sud vers Verteuil et Mansle, la D 176, du nord-ouest au sud-est, et la D 197 vers l'ouest et Ruffec. La N 10 de Poitiers à Angoulême et Bordeaux passe à Ruffec[3].
La gare la plus proche est celle de Ruffec, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Poitiers.
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Le bourg n'est pas plus important qu'un hameau.
À l'ouest on trouve Oyer, au sud-est le château de l'Abrègement et la Bayette, au sud Rimbert sur la route de Ruffec à Confolens et au nord Bois Régnier. On trouve aussi de nombreuses fermes[3].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Le Bathonien apparaît sur les flancs de la vallée de la Lizonne et de la Charente à l'ouest, ainsi qu'une petite zone de Callovien (ouest d'Oyer). Le plateau est toutefois recouvert en grande partie par des altérites sous forme d'argile à silex (appelée aussi argile rouge à châtaigniers). On trouve aussi une zone de sable argileux à galets à la Tuilerie. Des alluvions du Quaternaire occupent les vallées (Lizonne et Charente), dont les plus anciennes se sont accumulées en une terrasse au nord-ouest[4],[5],[6].
Le relief de la commune est celui d'un plateau assez irrégulier, d'une altitude moyenne de 130 m, bordé au nord-ouest par la vallée de la Charente et traversé en son centre par celle de la Lizonne.
Le point culminant de la commune est à une altitude de 162 m, situé dans le bois du Reclous sur la limite sud (borne IGN). Le point le plus bas est à 84 m, situé le long de la Charente sur la limite ouest. Le bourg, surplombant la vallée de la Lizonne sur sa rive sud, est à 120 m d'altitude[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charente, la Lizonne et un bras de la Charente, qui constituent un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La Charente, d'une longueur totale de 381,4 km, prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de Chéronnac, et se jette dans le Golfe de Gascogne, après avoir traversé 117 communes[9]. La Charente limite la commune au nord-ouest.
La Lizonne, petit affluent de la Charente en rive gauche, d'une longueur totale de 15,7 km, prend sa source dans la commune de Bouchage et se jette dans la Charente à Taizé-Aizie, après avoir traversé 4 communes[10].
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La Lizonne au pied du bourg.
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Réseaux hydrographique et routier de Bioussac.
Gestion des cours d'eau
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[11]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[12] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [13].
Climat
[modifier | modifier le code]Comme dans les trois quarts sud et ouest de la Charente, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé au nord du département.
Végétation
[modifier | modifier le code]La commune est riche en bois.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bioussac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ruffec, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[15]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,4 %), forêts (18 %), zones agricoles hétérogènes (16,4 %), prairies (10,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Bioussac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente et la Lizonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999[21],[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 157 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 157 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 2]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Les formes anciennes sont Buzaico en 1280, Biossaco en 1440[26].
L'origine du nom de Bioussac remonterait à un nom de personne gallo-roman Bituitius (ou gaulois Betuscius selon Dauzat), auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine de Bituitius »[27],[28].
Histoire
[modifier | modifier le code]La présence de vestiges préhistoriques et antiques signe l'ancienneté de l'occupation. Des photos aériennes montrent au Bois de la Croix des traces de constructions d'époque indéterminée[29].
Au XIe siècle, Bioussac, dans la province de l'Angoumois, dépendait sur le point de vue religieux du diocèse de Poitiers.
L'Abrègement était jusqu'au XVIIIe siècle la propriété de la famille de Massacré. C'était un fief dépendant de la baronnie de Verteuil. En 1750, l'Abrègement est passé par mariage à la famille d'Hémery, qui le possède encore[30].
Administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[31].
Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2021, la commune comptait 207 habitants[Note 3], en évolution de −10 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 111 hommes pour 110 femmes, soit un taux de 50,23 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Équipements, services et vie locale
[modifier | modifier le code]Vivre à Bioussac
[modifier | modifier le code]La fête patronale est pour la Saint-Pierre-les-Liens.
La fête communale a lieu le dernier dimanche de juin.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]L'église paroissiale Saint-Pierre date du XIXe siècle. Elle remplace l'ancienne, qui datait du XIe siècle et était dans l'ancien diocèse de Poitiers, et qui a été le siège d'un archiprêtré de 1655 à 1792. Elle fut démolie sur l'initiative du maire Jean Ferdinand Pol d'Hémery, aussi propriétaire du château de l'Abrègement, pour être reconstruite. Elle fut consacrée en 1864. En 1928, trois cloches furent baptisées[38].
Le petit logis, proche de l'église rectangulaire avec une tour d'escalier circulaire, date du XVe siècle[39].
Le logis d'Oyer daterait du XVIe siècle.
Le parc de l'Abrègement a été classé jardin remarquable, au nombre de quatre en Charente[40]. Le château a été reconstruit en grande partie au XVIIIe siècle et remanié au XIXe siècle[41]. Le domaine avec son château est inscrit monument historique depuis 2014[42].
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L'église Saint-Pierre surplombant la Lizonne.
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Façade de l'église.
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Le logis près de l'église.
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Le château de l'Abrègement.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Édouard de Montjou (1856-1942), homme politique, député de la Vienne sous la IIIe République de 1902 à 1906 et de 1910 à 1932, né à Bioussac.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Bioussac » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Bioussac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- Sandre, « la Charente »
- Sandre, « la Lizonne »
- « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027. », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ruffec », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Bioussac », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bioussac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 218
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 85.
- « Bois de la Croix », notice no 961609215ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 81
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bioussac (16044) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 72-73
- Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)
- Liste des jardins portant le label « jardin remarquable », au 31 décembre 2009
- Robert Dexant, Châteaux de Charente, Paris, Nouvelles Éditions latines, , 30 p., p. 3
- Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2014 (JORF n° 0146 du 26 juin 2015 page 10778) sur Légifrance, consulté le 11 juillet 2015.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Bioussac sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Catillus Carol, « Bioussac », (consulté le )