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Cluis

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Cluis
Cluis
La mairie en 2006.
Blason de Cluis
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement La Châtre
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Bouzanne
Maire
Mandat
Didier Fleury
2021-2026
Code postal 36340
Code commune 36056
Démographie
Gentilé Cluisiens
Population
municipale
978 hab. (2021 en évolution de −2,2 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 32′ 45″ nord, 1° 44′ 57″ est
Altitude Min. 188 m
Max. 340 m
Superficie 35,32 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Neuvy-Saint-Sépulchre
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Cluis
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Cluis
Liens
Site web www.cluis.fr

CluisÉcouter est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le sud[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.

Les communes limitrophes[1] sont : Mouhers (3 km), Gournay (5 km), Maillet (6 km), La Buxerette (6 km), Montchevrier (7 km), Orsennes (9 km) et Saint-Denis-de-Jouhet (10 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Neuvy-Saint-Sépulchre (8 km), La Châtre (19 km), Châteauroux (30 km), Issoudun (49 km) et Le Blanc (53 km).

Carte
Localisation de la commune de Cluis

Hameaux et lieux-dits

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Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : Le Montet, Laveau, Cluis-Dessous, les Robinets, les Oranges, Forges et Série. L'habitat dispersé dominait mais le bourg s'étend aujourd'hui grâce aux lotissements (les Valettes ou Ragon)[2].

Géologie et hydrographie

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La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le sol de la commune est très diversifié, une partie contenait des nodules ferreux, qui ont donné lieu à un travail du fer attesté dès l’époque moderne[4]. Cluis fait partie de l’ensemble paysager de la Vallée Noire décrit par George Sand avec ses collines et ses haies typiques.

Le territoire communal est arrosé par les rivières Bouzanne[2] (à l'est) et Auzon[2] (à l'ouest). Sur ces deux rivières étaient installés de nombreux moulins, comme le moulin du Mas sur l'Auzon et jusqu'à cinq moulins sur la Bouzanne, comme le moulin Garand ou le moulin de Cluis-Dessous.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 837 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jeu-les-Bois-Auto », sur la commune de Jeu-les-Bois à 15 km à vol d'oiseau[7], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communication et transports

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Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 38, 42, 54, 75, 123, 124 et 990[11].

La ligne d'Argenton-sur-Creuse à La Chaussée passait par le territoire communal, une gare desservait la commune. La gare ferroviaire la plus proche est la gare d'Argenton-sur-Creuse[11], à 21 km.

Cluis est desservie par les lignes H, I et J du Réseau de mobilité interurbaine[12].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[11], à 40 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 654[2].

Au , Cluis est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,1 %), terres arables (24,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,9 %), forêts (6,9 %), zones urbanisées (2,6 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013 2015
Nombre total de logements 753 763
Résidences principales 64,1 % 63,1 %
Résidences secondaires 15,2 % 15,6 %
Logements vacants 20,8 % 21,3 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 75,8 % 75,7 %

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Cluis est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cluis.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 83,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 698 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 581 sont en aléa moyen ou fort, soit 83 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Cluis est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].

Ses habitants sont appelés les Cluisiens[25].

Des fouilles archéologiques dans le centre du bourg ont révélé des traces d'habitat gallo-romain. Plusieurs villae gallo-romaines ont été repérées aux alentours du village qui devait se trouver un peu à l'écart des grandes voies romaines.

La première mention écrite date de 1001. Il s'agit du premier seigneur connu de Cluis, Giraud, « Cluensis Castri Dominus ». Peu après est cité Boson, « Vir illuster de Closis », seigneur de Cluis et cofondateur de l'église de Neuvy-Saint-Sépulchre.

Entre 1100 et 1150, Cluis est divisé par voie d'héritage en deux fiefs féodaux : Cluis-Dessus et Cluis-Dessous. Deux mottes féodales sont construites, une à proximité du village gallo-romain de Cluis et une deuxième plus au nord-est[26]. Plus tard, ceci entraîne la division en deux de la paroisse. Les deux châtellenies ont dès lors des histoires parallèles mais distinctes. Ainsi en 1152, le seigneur de Cluis-Dessous, Ebbes de Déols, brûle Cluis-Dessus en représailles des attaques du roi Louis VII contre ses terres. Le village et son église sont détruits, parce que leur seigneur avait suivi le roi de France.

Par mariage, la seigneurie de Cluis-Dessous passe entre les mains des Chauvigny à la fin du XIIe siècle. Cette famille s'éteint en 1508 et les biens passent aux Bourbons, par Louise, dernière épouse d'André de Chauvigny (comme Argenton). Après les Bourbon-Montpensier, la châtellenie est vendue avec les seigneuries d'Aigurande et de Sainte-Sévère en 1697 à Nicolas Léonor de Flexelles, marquis de Brégy, ambassadeur en Pologne et en Suède[27],[28]. La descendance mâle du marquis s'éteint en 1762.

En 1767, le seigneur de Cluis-Dessus, Gabriel de Montaignac, achète la châtellenie de Cluis-Dessous et réunit les deux paroisses. En 1818, la commune de Cluis est formée de la fusion des anciennes communes de Cluis-Dessus et Cluis-Dessous[29].

Les communautés cluisiennes sont en crise démographique au début du XVIIIe siècle, puisque celle de Cluis-Dessus passe de 232 feux en 1709 à 191 en 1726, et celle de Cluis-Dessous de 33 à 18 seulement dans le même temps[30]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[31].

Le XIXe siècle est moins agité, les activités agricoles sont nombreuses autour du chanvre et de la vigne. La population, malgré les crises de 1850 et 1870, augmente jusqu'à atteindre son maximum en 1901 avec 2 340 habitants.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Cluis devient un centre actif de la Résistance. Le lieutenant Albert Gouliard y réunit d'importants effectifs, qui vont constituer en 1944 la 7e compagnie du Groupe Indre-Est de l'Armée Secrète[32]. Le maquis de Cluis réussit le 9 août 1944 à arrêter le général Antoine Berlon, commandant du Premier régiment de France, arrestation qui entraîne le ralliement de cette unité vichyste à la Résistance[33].

Politique et administration

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La commune dépend de l'arrondissement de La Châtre, du canton de Neuvy-Saint-Sépulchre, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes du Val de Bouzanne[14].

Elle dispose d'un bureau de poste[34], d'un centre de première intervention et d'un syndicat d'initiative[35].

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Robert Blanchet ? ?
octobre 1947 1953 Jules Vove ? ?
avril 1953 1953 Roger Bonnême ? ?
avril 1953 1959 Marcel Douard PC ?
mars 1959 1965 Roger Péricat ? ?
mars 1965 1977 Armand Benech   Médecin
mars 1977 juin 1995 Hubert Pagnard ? ?
juin 1995[37] mars 2008 Jean-François Pion ? ?
mars 2008[38],[39] Michel Gorges PS Chef de production
mai 2015 juin 2020[40] Claude Minet PS[41] Infirmier libéral
juin 2020 janvier 2021 (démission) Hubert de Boisgrollier ? ?
mars 2021 En cours Didier Fleury[42] ? Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

En 2021, la commune comptait 978 habitants[Note 1], en évolution de −2,2 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4791 4351 4411 8201 9111 9331 9091 9302 085
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0142 0482 1722 1592 2682 1882 2442 2022 192
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 3402 2252 0791 8821 8131 7841 7071 6751 672
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 5941 5161 4481 3111 1961 0631 0431 0431 019
2014 2019 2021 - - - - - -
1 006984978------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dépend de la circonscription académique de La Châtre.

Manifestations culturelles et festivités

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Au niveau festivité, on peut pratiquer du saut à l'élastique depuis le viaduc de l'Auzon[49]. Le , il y a la « fête du Luma » (escargot en Berrichon) et tous les deux ans, l'association le Manteau d'Arlequin organise un « festival de théâtre », dans la forteresse de Cluis-Dessous.

Équipement culturel

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L'Association de Sauvegarde des Sites de Cluis, Arc-en-Ciel et le Manteau d'Arlequin organisent des animations culturelles régulièrement. La médiathèque François-Bailly est animée par des bénévoles. Elle est ouverte le mercredi de 10h-12h et 15h-17h et le samedi de 10h-12h, rue de la Croix-de-la-Mission.

Une maison médicale occupe le 15 rue de 19-Mars-1962. Une médecin, une dentiste et un kinésithérapeute y exercent. Une pharmacie se situe place du Marché-au-Blé.

La commune possède comme équipements[50] sportifs deux terrains de tennis (dont un en terre battue), deux terrains de football, un terrain de basket, un gymnase avec tracés de tennis, badminton et basket.

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

La commune de Cluis dépend de l'archidiocèse de Bourges, du doyenné du Boischaut Sud et de la paroisse de Neuvy-Saint-Sépulchre. Le lieu de culte est l'église Saint-Etienne et Saint-Paxent. La Chapelle Notre-Dame de la Trinité de Cluis accueille la messe lors des pèlerinages de la Trinité en juin et en août.

La commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de La Châtre[14].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[51].

Le village présente une offre de commerces diversifiés[52]. L’activité agricole est aussi très importante au cœur d’une région d’élevage particulièrement bovin où les cultures (céréales et oléagineux) n’occupent qu’un cinquième de la surface agricole.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Blason de Cluis Blason
D'hermine aux deux bars adossés de gueules.
Détails
C'est aussi le blason de la famille de Gaucourt, installée à Cluis dès 1462.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b c et d « Cluis » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. Paulette Bénéteau et Solange Mariotat, L’industrie du fer à Cluis : un passé industriel oublié, ASSC, .
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Cluis et Jeu-les-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Jeu-les-Bois-Auto », sur la commune de Jeu-les-Bois - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Jeu-les-Bois-Auto », sur la commune de Jeu-les-Bois - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. a b et c « Cluis », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  12. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  13. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  14. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune de Cluis ».
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Comparateur de territoire : Commune de Cluis (36056) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Cluis », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  24. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  25. « Nom des habitants des communes françaises, Châteauroux », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  26. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 11.
  27. François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, vol. 6, (lire en ligne), p. 145.
  28. Œuvres posthumes de Louis d'Hericourt, avocat au Parlement, Volume 3 contenant la suite de ses mémoires sur des questions de droits civils, p 416, "Mémoire XXXII" (à p. de page 411).
  29. Association pour la sauvegarde des sites de Cluis, consulté le 22 août 2012.
  30. Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (no 114), p. 168.
  31. Zeller, op. cit., p. 145 et 153.
  32. Michel Gorand, Le maquis de Cluis, 27p., Créteil 2019
  33. Jean-Paul Gires, "L'arrestation du général Berlon", p. 129-141, Revue de l'Académie du Centre, 2018 (ISSN 0243-8402).
  34. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
  35. Site de Berry Province, consulté le 5 février 2013.
  36. a et b Assemblée nationale, base de données historique des anciens députés.
  37. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  38. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  39. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
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  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
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  49. Site du Petit Patrimoine, consulté le 28 novembre 2009.
  50. Site de la commune de Cluis : Sportives, consulté le 28 novembre 2009.
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  52. Site de la commune de Cluis : Liste des commerçants, consulté le 28 novembre 2009.