Le vieux pays de mes pères m’est cher,
Terre de poètes et chanteurs, d’hommes illustres et éminents,
De braves guerriers, magnifiques patriotes,
Qui versèrent leur sang pour la liberté.
Patrie ! Patrie ! Je suis fidèle à ma patrie.
Tandis que les mers sont des murs, mon pays si immaculé,
Oh, puisse la Vieille Langue perdurer !
Vieux Pays de Galles montagnard, paradis du barde,
La vue de chaque vallée, chaque falaise m’est belle.
Par l’amour de mon pays, fascinant est le murmure
De ses fleuves et de ses rivières pour moi.
Patrie ! Patrie ! Je suis fidèle à ma patrie.
Tandis que les mers sont des murs, mon pays si immaculé,
Oh, puisse la Vieille Langue perdurer !
Même si l’ennemi foule mon pays de ses pas,
La vieille langue des Gallois reste vivante,
Le don poétique n’est pas entravé par la main hideuse du traître,
Ni la mélodieuse harpe de mon pays.
Patrie ! Patrie ! Je suis fidèle à ma patrie.
Tandis que les mers sont des murs, mon pays si immaculé,
Oh, puisse la Vieille Langue perdurer !