Champagnistan
NB:Ecrivez les plans de la révolutions, vous, fins stratèges.
Dernière maj mercredi 12 décembre 20:57 par Demonyak:
- Rajouts pour "L’Association Territoriale pour la Création d’un Champagnistan Libre " par Minibrioche
Le Champagnistan est un futur état situé en France métropolitaine qui regroupe quatre Départements anti-français : l'Aube, les Ardennes, la Haute-Marne et la Marne.
L’Association Territoriale pour la Création d’un Champagnistan Libre
L’Association Territoriale pour la Création d’un Champagnistan Libre est une assemblée de concitoyens unis dans le dur labeur du travail de la terre. Ces gens, malgré leurs apparences pittoresques sont fraternels dans leurs souffrances qu’eux seuls peuvent comprendre. L’appartenance à la «populasse supérieure » n’est pas ce qui caractérise ces autochtones campagnards. En effet ils considèrent faire partie d’une classe ayant des valeurs plus méritantes et plus gratifiantes.
Pour cela ils se battent, et déclarent mériter un Etat digne d’eux.
Ainsi indépendant, Le Champagnistan aspire(rait) à un avenir fructueux. Emmenée par son chef, Jo-Seb Hovey l’association s’engage(rait) à lutter contre son exploitation par l’Etat français. Leur but étant de rallier un maximum d’alliés à leur cause, un plan est en cours d’élaboration (voir ci-après)…
Précis d'histoire champardennaise :
La région Champagne-Ardenne a une histoire très riche depuis l'Antiquité : On peut néanmoins distinguer un axe auquel se raccrocher devant la complexité du tissage de l'histoire et du patrimoine, c'est la férocité avec laquelle les Champardennais ont lutté pour préserver leur identité, socle commun d'une culture à la richesse peu commune et à la profondeur déconcertante.
La Tromperie de Glovice: Naissance dans la douleur
Les premières traces d'une identité champardennaise remontent aux invasions Babares. Une querelle éclata en effet entre les meilleurs guerriers éléphants.
Une scission s'était faite entre:
- Ceux qui voulaient garder les cacahuètiers de cette florissante région intacte et en faire une enclave territoriale dotée d'un stock immensément grand de cacahuètes (pour en réalité amorcer la création d'un véritable Etat de droits: le droit de bouffe)
- Les éléphants à 2 trompes (ayant fait un petit séjour du coté de Nogens sur Seine, incroyablement belle ville doté d'une merveilleuse centrale Mégaturbonucléique) qui préféraient enclencher, par une brutale offensive de conquête, annexer la province romaine dont la capitale Durocortorum était un important point de transit commercial (Carrefour, Leclerc et Bricorama) et culturel (Cyber-K-fé et Allegra, dicothèque réunissant tous les plus grands intellectuels de la région).
Une lutte fratricide éclata, entre ceux qui croyaient avoir trouvé la terre promise, et les Babares sans foie ni loi.
Glovice , homme tempéré par excellence, décida après les premières effusions de sang, de faire un trompomis:
Il se fit sacrer à Durocortorum en 496 et donna ainsi un statut privilégié à la région. En contrepartie, il autorisa son pillage. Ulcérés par cette tromperie éléphantesque, les partisans de la sauvegarde de la Champagne restèrent dans l'ombre de l'Histoire, attendant leur heure.
La revanche champardennaise : La conspiration des Paroissiens
Les vaincus de la querelle de Provins ressurgirent vers l'An Mil, quand par un complot ourdi au Vatican, nommé par les historiens spécialisés La Conspiration des Paroissiens, ils réussirent à faire élire au sommet de la hiérarchie catholique un de leurs membres, le célèbre Archevêque de Reims Gerbert D'Aurillac devenu Pape sous le nom de Sylvestre II.
Fin manipulateur et homme sans pitié, il poursuivit toute sa vie le but des Pères Fondateurs :
Ce n'est pas grâce à lui que ce changement arriva, mais ses efforts eurent une conséquence énorme sur la lutte secrète des cacahuètes :
Sylvestre II resta dans l'Histoire du Guiness World officielle des vainqueurs en temps qu'homme ayant imposé Reims comme ville de sacre des rois, perpétuant l'héritage de Glovice.
Moins important encore, il rallia à sa cause de nombreux clercs (dont Leclerc Ier) et Othon III, empereur et excellent pêcheur à la cuillère (Othon II son père gagna à maintes reprises la trophée de la pêche à la truie pochée au beurre de cacahuètes vinifiées à la margarine).
De très nombreux partisans de la création de ce paradis second s'installèrent en Champagne pour en fait préparer une énorme insurrection en bonne et nue forme.
Le sang de la terre : l'an 1069.
Et quand la rumeur de la campagne se transforma en révolte ouverte, préfigurant la Grande Peur de la Révolution par sa forme et sa férocité, l'empire carolingien sur le déclin n'hésita pas à écraser ces vélléités séparatistes dans le sang. La bataille s'est déroulée en trois phases :
- Le 12 mai 1069, un seigneur franc est tué par des éléphants séparatistes qui décident de cesser le travail qu'ils jugent insultant dans un tel contexte délétère de soumission et d'espoirs brisés. L'étincelle met le feu au poudres, qui attendaient là depuis 5 siècles. Le 15 mai, c'est la marche sur Reims.
Loin de s'affaiblir, la tradition indépendantiste s'était étendue en sous main dans les couches inférieures de la population et les quelques unités militaires furent balayés par les fourches et les faux des éléphants en colère. Nondediou ! Reims est purgée de son bourgmestre, les hérauts sont pendus, les officiers de la garde doivent rallier l'armée de Champagne ou mourir. La ville est en liesse, et durant 6 jours 25 heures 2 mn et 3 secondes, une grande fête, mémorable, continue, eut lieu dans les murs de la ville sainte.
- Le 28 mai, commence la deuxième phase de la bataille :
Par surprise, les troupes du Roi de France envahissent Reims, tuant les indépendantistes au réveil, et s'enfonçant difficilement dans les faubourgs. Par un effort surhumain et incroyablement couteux en pain (ravitaillement tous les matins par le boulanger Gilbert Ier), les indépendantistes reprennent la ville.
Commence alors un très long siège (19*4 mètres) qui durera jusqu'au 19 Octobre.
Les rudesses de l'hiver qui se profilaient et l'état de fatigue des séparatistes eurent pour conséquence le laisser passer des troupes dans Reims. S'ensuit un massacre terrible, mais qui toucha surtout les plus modérés des séparatistes. Les Indépendantistes les plus extrémistes parvinrent à s'enfuir et furent impitoyablement chassés des villes, traqués comme des bêtes durant l'hiver.
La flammee ne s'éteignit cependant pas, et la troisième phase commence.
- Une guérilla s'installa début Novembre, et en un mois les résultats furent spectaculaires:
La forteresse de Langres tomba entre les mains des indépendantistes durant deux jours, les 27 et 28 novembre. Mais, épuisés, décimés, et délaissés par la population souffrante, ils ne purent résister malgrès leur surnombre de défenses (en ivoire) à l'offensive du 9 décembre 1069, et furent tous emprisonnés, puis exécutés pour haute trahison.
Villes champardennaises principales et origines
- Saint Amand sur Fion: Troisième guerre mondiale(ment) inconnue. Les fourmis envahissent les Ardennes. Une catastophe agricole se prépare, les paysans ne peuvent pas se laisser faire. Armés de leurs fourches, ils luttent avec acharnement contre l'ennemi qui progresse toujours plus, jusqu'à la noble ville de Saint Amand sur Marne. La, les quelques moines ploufistes invoquent en dernier recours leur Dieu, qui décide de se mesurer à la reine des fourmis dans un combat singulier de ploufploufextême. Et c'est par miracle qu'en cette date d'un calendrier oublié que le Dieu vaincut l'opposant à plat de couture, le repoussant jusque dans ses plus profonds retranchements, les quelques fourmillières ayant survécu au massacre impitoyable menés par les paysannes. Le Dieu, nommé commodément Fion par les riverains, donna par la suite son nom à cette ville aux mœurs particulières.
- Courdemanges: La légende de ce nom vient d'un fait divers survenu lors des Grandes Pluies du calendrier perdu, dans un coin perdu du Sud-Marne. Le petit village comptait alors 27 habitants et autant de cultivateurs, vivant d'eau fraiche, mais trop abondante. Un courageux Cul-terreux, répondant au doux nom de Jean-Joseph Charles-Maire Dutrou, sortit courageusement de chez lui pour nourrir les bêtes. Mais n'ayant reçut l'éducation des précepteurs de la ville, il ne pu calculer l'energie potentielle des fils de fer barbelés entourant le paturage. Ceux-ci se détachèrent, et dans leur élan, sectionnèrent le membre haut de Jean-Joseph Charles-Marie, qui se returna vivement et se fit du même coup amputer le second membre. C'est le lendemain qu'on le trouva, hagard, se baladant les moignons à l'air libre, et après quelques soins sommaire, il fut surnommé Joe Courtes-Manches. Par déformation et mauvaise articulation comme il est coutume dans le pays champetre, Courte-Manche finit par devenir Courdemanges.
- Charmont: Douce bourgade du Sub-Marne encore une fois, ce nom ci remonte à il y a fort longtemps, l'antiquité pour certains, d'autres plus pessimistes pensent au crétacé. Quoi qu'il en soit, il est dit que le chef de ce village décida un jour d'organiser un concours de poésie, pensant qu'il serait loué et couvert d'admiration par ses sujets. Mais aucun poème ne le satisfit et il entreprit donc de torturer tous les auteurs de poèmes libertins. Mais étant majoritaires, ces derniers rallièrent à leur cause le village entier et ensemble ils capturèrent le chef en fuite vers Varennes. Il décidèrent alors de l'interroger sur les complots qu'il organisait apparament avec le chef d'une autre tribu (ou bourgade). Il fut cons cloué sur un poteau, pour qu'il ne puisse s'échapper (certains historiens font remonter l'origine de la crucification du Christ à cette époque, NdlR). Une fois toutes les pulsions sanguinaires et l'appétit des villageois épanchés, il décidèrent de choisir un des poèmes comme la marque de leur triomphe. Ils élirent donc le poème suivant:
C'est pour ça que tu es charmante
Tu es si belle de dos
Que de face tu l'es encore plus
Tu ressembles à une pétale de rose
Tu parles beaucoup
poème communement appelé Charmant. Et c'est donc par la mauvaise articulation marnaise que Charmant devint le Charmont que nous connaissons bien.
- Colombey les deux Eglises: Autrefois, deux villages étaient séparés: Bourbix-l'Orgueuilleuse et Bourbix-l'Orgueuilleux. Un conflit séculaire sévissait entre les habitants des deux bourgades: Bourbix était-il masculin, ou féminin ? Ainsi, la plaine hébranchouillaque (relative à Bourbix, NdlR) fut le terain de batailles violentes de vieillards atrabillaires et de chiens galeux. Le Royaume était très préoccupé par la situation désepérée de cet antipathie fraternelle. Il envoya donc un chaman spe heal level 70 ayant été dans son temps full T2 réputé pour sa sagesse, ancien enseignant de biologie, arranger la situation. Et son idée fut lumineuse: pourquoi ne pas tout simplement changer le nom (d'ailleurs ridicule) des deux villages ? Cette poposition fut accueillie avec triomphe, et dans cet élan d'enthousiasme, les paysans décidèrent aussi de se regrouper sous la même muniscipalité, qui portera le nom de son sauveur, tout en concidérant la dualité du peuple l'habitant. Colombey-les-deux-Eglises était née.
Plan d'indépendance à l'usage des stratèges qualifiés luttant pour un Champagnistan libre
--Demonyak 11 décembre 2007 à 20:58 (UTC) + Se-esta-siendo + SerialRockeur + Minibrioche
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