300
ou les Spartiates dans la Grèce de Frank Miller
Ce calendrier des dieux du stade forgé avec maestria par Maître Miller a été récemment adapté au cinéma. Si la critique ne laissa rien transparaître (du moins hors de son pantalon), les conquis de la BD restèrent néanmoins sur leur faim, tant l'intrigue pouvait comporter de rebonds et de roulés-boulés subtilement incompréhensibles au premier visionnage... Il fallait donc qu'un qui l'adorât (?!) le décrypte plus avant. Et je vous assure, votre serviteur l'a adoré (miam miam).
Il pourrait paraître aberrant de vouloir voir ou lire à tout prix les épopées d'un Corbier haltérophile à moitié nu. Quand on est un homme en tout cas. Mais suivre 300 de ces abébés de pierre en tenu d'Adam-après-le-péché-de-Ève-la-garce, qu'on soit un homme ou pas, ça a de quoi attiser les passions, non ? Non ?
L'Église et tous les saints s'offusquent : | |
NON ! |
Bon.
Mais qui a pu entrevoir les claquements de chair huileuse de ces éphèbes au fessier galbé...
L'Église et tous les saints s'offusquent : | |
Vous vous égarez de nouveau..! |
Oh, pardon.
Je disais donc : qui a entrevu ces corps moussants s'entrechoquer : des cuisses, des pectoraux, des muscles, des fesses, un fouet, un enfant, une chèvre...
L'Église et tous les saints s'offusquent : | |
Mais l'auteur est gay...SATAN ! Vade retro ! ! ! |
L'auteur de cet article dit : | |
Mais bordel je ne suis pas gay ! |
Bref !
Qui a entrevu ce film pas gay et très viril se rendra subtilement compte herculera d'un poing testostéroné sa tapette de table en beuglant qu'un lyrique message de désespoir se cache que Frank Miller a éjaculé la société idéale dans son œuvre enfin immortalisée sur grand écran. Telle une chanson de Roland brave et patriote digue du cul tuning anti-bougnoules, la trame de fond apporte des précisions inédites sorties de l'ombre par l'auteur, dont les recherches ont permis une avancée historique pour les anthropologues étudiant les mœurs de Sparte et leur écosystème.
Les 300 Spartiates de la Grèce de Miller, menés d'une barre de fer par Leonidas, revisitent la cité idéale de laquelle s'est éloigné notre monde ni trop arbitraire, ni trop compatissant.
Jetons une larme à l'œil sur ce phalanstère à l'excessive originalité que furent Sparte et ses innovations majeures, cette société sans dessous en dessous[1].
L'éducation des enfants
Au commencement de l'éducation des enfants spartiates, celle qui était si révolutionnaire qu'elle méritait un nom différent d' école maternelle, était l'Agogée. À ce moment, placé très justement au tout début dans l'excellent documentaire de Zack Snyder, nous apprenons une première tradition qui serait certainement prohibée aujourd'hui par les conventions bien pensantes sur les droits de l'enfant.
Très tôt, les enfants sont enlevés à leur mère pour être confié à Damnathür, le Dieu bienfaiteur qui vous apprend à vous démerder tout seul dans la gentille forêt de Jinglostil.
Vous l'aurez compris, la joyeuse espièglerie de ces jeux de mots délurés n'est là que pour masquer le fait qu'ils en chiaient des bulles à l'époque, les gosses. Néanmoins cela leur apprenait effectivement à se démerder tout seul et au final, l'enfant spartiate étudiait la vie au pied levé, comme on ouvre une boîte de chocolat, ce qui pourrait avoir un intérêt par la suite. Les conditions étaient tellement dures que l'auteur de cet article va tenter d'enfoncer les portes ouvertes de la culture en disant que c'est de là que vient le sens moderne de l'adjectif spartiate : pro-châtiments corporels, stricte et d'une idiote frugalité d'esprit.
Après ces douces épreuves biens méritées, chaque Spartiate entame ensuite un dur repos pendant lequel on lui donne un femme bonne à tomber par terre et le devoir de forger ses abdos en se baladant en slip devant ses potes.
Constitution d'un Spartiate
Un bon Spartiate
Telles les stars du X, les Spartiates, en plus d'avoir des corps uniformes, doivent apprendre à bien prendre la lumière et à faire ressortir les abdominos qu'ils s'emploient à parfaire jusqu'à leur mort. C'est en quelque sorte un monde peuplé uniquement par des Monsieur Univers en quête de Perses à massacrer. L'adaptation cinématographique retranscrit parfaitement ce souci, et nous notons qu'un soleil au zénith leur permet d'arborer une sculpture du corps à faire mouiller une nonne.
Ils arborent tout de même une discrète mais coquette tresse de padawan, signe de leur appartenance à la Force, qu'ils s'émasculent virilement au moment où ils sentent leur fin arrivée au galop. Un peu comme les goebbelins tuent leurs enfant quand ils sentent des russes entrer dans leur terrier.
Un mauvais Spartiate
Un mauvais Spartiate n'existe pas, ou alors il a été jeté dans le puits du désespoir de cause[2] et n'existe donc plus.
Néanmoins, comme les malheurs semblent submerger les gentils Spartiates, un de ces nouveaux-nés indésirables a survécu et va dans le tumulte provoquer la défaite de Leo (on l'appelle Leo maintenant) et ses amis. Seul 300 dans l'Histoire a revisité cette éventualité honnie, ce qui lui confère une autorité scientifique supplémentaire.
Capacités physiques du Spartiate
Bien que la dystrophie de ses membres lui confèrent des aptitudes incroyables pour la chasse au loup-garou et l'escalade, la célébrité du Spartiate s'est faite par son pouvoir de couper tout membre d'un unique coup d'épée, mais d'un coup d'épée grosso merdo, donc pour la circoncision il faut repasser.
Sa légendaire habileté au combat à corps nu fait de lui une cible de choix pour les macho perses. Cependant, une nature généreuse lui permet de se venger en une vrille où, aidée par un dieu quelconque, l'épée du Spartiate regagne son fourreau après avoir tranché six gorges. De la même manière imaginaire, il peut surprendre ses adversaires en utilisant leurs 45 minutes quotidiennes de bullet time.
Négligeant d'un air moqueur ses blessures, le Spartiate ne s'arrête de courir qu'avec les 5 membres amputés (ne me demandez pas ce qu'est le cinquième je ne suis pas gay), fierté mal placée très critiquable.
Capacités intellectuelles du Spartiate
En gros
Euh...TAPER
Exemples significatifs
Comme vous l'aurez compris, le Spartiate crie AGROGRUM, qu'il soit content ou pas. En général, il n'est pas d'accord avec tout ce qui ouvre sa gueule et n'est pas en slip et signifie sa désapprobation en jetant l'objet de son opprobre dans un puits à proximité. Nonobstant, il est doux et câlin et n'hésite pas à dire des banalités gentilles à un ami qui meurt.
Si intellectuellement sa susceptibilité l'empêche d'approfondir les débats un peu trop en sa défaveur, en revanche, il obtient toujours le dernier mot (celui le plus fort c'est le sien en tout cas) ce qui lui vaut une autosatisfaction ainsi qu'une confiance démesurée en ses capacités. Il peut donc mettre un terme à n'importe quelle polémique houleuse sans violence de la part de l'opposant. Ce dernier repart l'esprit éparpillé par les arguments frappant du gentilhomme.
Caractère du Spartiate
Faites attention !
N'auront pas échappé au passionné transi cette mélopée d'amour entre les peuples chantée par Frank Miller : de la haine des noirs et des handicapés (lorsque le gentil Leo hercule le méchant golum tout imbécile heureux qui les suit partout – et qui va leur donner raison en les trahissant ce bâtard) à celle des homosexuels athéniens et des arabes perses, c'est une grande claque dans la gueule de tous nos préjugés. Tout le monde est désormais logé à la même enseigne dans la typologie Spartiate : on va leur péter la gueule.
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Les Spartiates n'ont pas de place pour la douceur et la tendresse, ça pique, alors ils guerroient. Leur inconscience les pousse donc, tout comme on l'a vu pour l'incompréhension et la susceptibilité, à briser le silence et les os de tout ce qui bougeait avant (et la peur d'être 300 contre 1 000 000 ne leur fait même pas friser le cigare à moustache).
Fins bretteurs, ils pratiquent à la sauvette le vol de bras. Résonnent encore dans nos esprits cette phrase de Michel Audiard, « Ce n'est plus ton bras maintenant ». Tous ces détails et répliques d'anthologie de Maître Miller nous fournissent là encore une précision supplémentaire : le Spartiate est taquin.
À sa charge, mentionnons cette propension pathologique du Spartiate au mensonge effronté. Du classique « Je ne peux pas m'agenouiller, Xerxes, j ai une crampe à la cuisse » au spécial « Marchons en rang pour notre liberté », Leo donne un bien mauvais exemple à ses grognards incultes.
Enfin, ce qui n'est pas non plus pour servir la réputation de nos adonis à moi, cette invective incessante contre les autres tribus n'est pas gégé, et très sérieusement ne les rend pas choux du tout.
Le Spartiate est un vilain garçon.
Enfin et à contre-cœur, notons que le Spartiate place les femmes au niveau des militaires, mais pour être fidèles à l'histoire, rappelons qu'incapables d'assumer quelque responsabilité que ce soit elles finissent par vendre leur cul et plomber l'ambiance.
Organisation sociale
Pyramide des classes
Comme un bon schéma vaut mieux qu'un long discours, en voici un tiens :
Hey, super blague, pour les derniers j'ai mis un bouc...
Bon ben si même Loana s'y met alors...
Permettons-nous de nouveau une petite remarque : en plus d'être d'une charité parité exemplaire qui autorise bêtement Loana à pouvoir ouvrir sa bouche à foutre, les Spartiates n'hésitent pas à passer outre les atermoiements des politiciens et les morbides accords de paix des émissaires de tous poils. Seuls les Ephors, ainsi surnommés car au contraire de Leo et ses copains, ils n'en font aucun pour leur haleine ou leurs carreaux de Nutella, inspirent le respect. Comme leur physique ingrat l'annonce, ils sont le symbole à Spartes du mauvais et du pas bien.
La corruption et le pas bien de partout
À la première décision capitale de l'histoire, le lecteur comprend que rien ne peut se faire à Sparte sans l'accord des Ephors, les chamanes-prêtres devin sans pythié. Ils se nourrissent des seins à l'étouffée de jeunes ingénues droguées au GHB. Notons pour le détail qu'elles doivent être au minimum mannequins pour Elite™, ce qui laisse à penser qu'on ne vient pas les voir souvent. Après cela, ils tirent sagement des conclusions de la taille du pot-de-vin perçu et disent ce que veulent entendre (ou pas) leurs questionneurs.
En ecclésiastes rabat-joie, sur cette saine base de divination, ils ont proclamé des interdictions telles que ne pas faire la guerre les jours de fête ou établi des traditions comme la prima nocte. Pas pour autant aimés du grand public malgré leurs...
Oh ta gueule maintenant !
Pas pour autant aimés du grand public malgré leurs tentatives pour amener l'amour, les Ephors apparaissent à la fin comme les iscariotes qu'ils sont. Corrompus par les perses et leur promesse de recevoir 1 000 vierges gratos (comme ils corrompront par la suite la voltigeuse équipe du 11 septembre 2001), ces énergumènes vont permettre une infiltration en profondeur de la société spartiate par les envahisseurs.
Leonidas à la postérité
Alors pourquoi Leonidas me direz-vous ? Pour ses tablettes de chocolat ? Parce qu'il nous fait fondre tellement il est noir dedans et craquant autour ? Pour l'exotisme de son amertume vis-à-vis de la vie des Perses ? À mon sens sûrement un peu des trois.
Mais d'après le service conso du groupe, c'est soi-disant parce que le créateur de ce chocolat belge s'appelait Leonidas Kestekides. Ils auraient pas pu trouver plus con.
Philosophisme spartiate
De part sa philosophie intrinsèque, le Spartiate se rapproche des Chinois et de leur immense respect pour la vie humaine.
Ainsi, dès sa naissance, il est élevé dans un culte jusqualamortiste (il y croit à mort) et un nousmarchamisme (il croit en la marche à pied) primaire. Sans doute par compulsion ou par soif de tripes, le Spartiate ne se sent socialement accompli qu'à travers ses remarques pointues et pénétrantes. Elles s'abattent telles des couperets sur le charisme exsangue du Perse ambiant.
Ces parfaits petits soldats, comme diraient les mauvaises langues, ont tous trouvé un but en servant jusqu'à leur mort prématurée la cause de ceux qui marchent bien tout droit. Nul n'est besoin de préciser que tant leur bulbe céphalo-rachitique que leur inaptitude à différencier un Perse d'un épluche-concombre les empêchent de se prêter à d'autres activités plus constructives.
L'ennemi juré du Spartiate : Le Perse
Les Perses sont ces artistes au goût douteux qui tout le long de notre histoire d'amour vont essayer d'empêcher les Spartiates d'être guerroiement heureux.
Enchaînant les performances, mettant en avant leur spécialité en décorations de sapin de Noël (cf. Photo ci-contre) et leurs mutilations esthétiques, ces saltimbanques de la bataille ne sont en fait que des m'as-tu-vu jaloux de l'humblité et de la bravitude des gentils Spartiates.
Un roi que pour de te soumettre
Dirigés par quelqu'un qui ne se prend pas pour la queue d'un Coréen, on sent dès leur apparition que les Perses ne seront pas aidés par leur monarque. Il a une voix caverneuse et l'assurance d'un gars qui sonne aux portiques des aéroports, et son obsession pour la soumission d'autrui paralyse toute avancée sociale. Cela en fait pour autant le premier dominateur sexuel. Il n'aime en outre pas qu'on lui vole son peigne.
En tant que plus gros jacky de l'Antiquité, Xerxes (c'est son nom et il ne rapporte que 14 points au Scrabble™[3]) ne se déplace qu'avec son roadster Lamborghini tiré par un moteur de 250 poneys-vapeurs, pour insuffler les bisous et les caresses à ceux qui se prosternent devant lui. Il écartèle les autres ou pire, leur prodigue des massages. Son look destroy aux piercings biens placés lui ont permis de diffuser le style Emo jusqu'à nos jours.
Un peuple que pour de faire la guerre en style
Le peuple perse c'est avant tout une armée immense, des rhinocéros et des éléphants de guerre, des grenades magiques et des hommes bien trop habillés pour être honnêtes (et je ne suis toujours pas gay). Ainsi s'introduit le point de départ de l'intrigue. À base de flagellations, de sodomies baobabiales et d'anneaux de soumission ultra-tendances, les Perses ont distendu étendu leur assise sur le Monde entier et ne rêvent désormais que d'une chose : jusquaubouter Leonidas et ses copains hors de leur camp retranché.
Leur arme master piece, c'est la corruption. Enfin, quand on met de coté le petit détail de leur armée d'un million de personnes. Soit dit en passant, c'est sûrement le résultat d'une surévaluation par un marseillais astigmate car ce n'est pas possible – voir ICI.
Les perses corrompent à tour de bras plus ou moins longs politiciens, Ephors et handicapés de Spartes, se contentant, à défaut d'en recruter les hommes, d'en ramasser les miettes (clin d'œil à cette salope de Loana[4]). C'est en tout cas le message qui passe, avec celui selon lequel ils ont tellement honte de leurs corps velus et bronzés qu'ils doivent les cacher sous des costumes de mardis gras. Histoire encore d'étaler leurs goûts douteux.
Pouah, qu'ils sont méchants et caca !
Et ils veulent à tout prix exterminer nos amis les Spartiates ? Peut-être ! ! ! Mais ceux-ci sont moins malins qu'il n'y paraît... (et bien plus forts par contre)
Les Spartiates et la politique internationale
Euh... là encore l'indigence de la Sparte de Miller ne nous permet pas de nous étaler davantage.
Les Spartiates et la guerre
Les Spartiates étaient de grands stratèges, ce qui explique qu'ils soient devenus les maîtres du monde jusqu'à nos jours et que nous parlions grec aujourd'hui. Ils avaient des techniques de combat très élaborées : provoque gratuite et, comme nous l'avons vu, assassinat de tous les émissaires possibles ; carapatage derrière des murs d'êtres humains, usage à outrance du bullet time... En défense comme en attaque, le Spartiate fait montre d'une ingéniosité qui dépasse... euh... pas.
Bon OK, le Spartiate n'est pas un très grand saigneur de guerre. Et Leo n'est d'ailleurs guère plus qu'un seigneur de gland. Mais son groupe a cette cohésion et cet esprit unique[5] qu'on retrouve uniquement aujourd'hui dans l' école de la vie, qui forge dans la fange l'enfance de nos angelureslots. Alors bons ou pas à la guerre, les fiers Spartiates y avancent gaiement tête haute comme le GF 38 en première division (…).
Autour du film
- « Je suis bon » est le leitmotiv de Xerxes, qui l'a piqué au commandeur des croyants Haroun El Poussah[6].
ndlr : les notes suivantes nous ont été gracieusement rapportées du tournage par notre envoyé spécial non-voyant.
- Le soir précédent le début du tournage vit un incident se produire : en effet, alors que l'équipe préparait un barbecue, un incendie se déclara dans le local où les caméras étaient entreposées, les verres alors fumés donnent au film ce ton sépia qui fait mal aux yeux pendant deux heures.
- La totalité des scènes en extérieur furent tournées devant un écran bleu sur lequel des élèves de CM1 ont dessiné des arbres, quant aux scènes en intérieur, elles prirent place devant un écran vert sur lequel des élèves de CE2 avaient dessiné des murs.
- Le mot le plus fréquent dans 300 est : « AGROGRUM »
reportage exclusif : en image un sujet polémique qui a bien failli couter la vie à ce magnifique projet pas gay :
Légère critique tout de même
Si le chef d'œuvre de Miller donne une vision éclairée d'une anti-société où tout est inversé et pourtant se déroule comme sur des roulettes, cet aspect est pourtant passé inaperçu auprès de l'élite intellectuelle. Pour chaque situation, les Spartiates ont pourtant plus d'une lance à enfiler, plus d'une corde à leurs arcs. Et comme le dirait Jacques Chirac s'il n'était pas gay du tout, la France se doigte à suivre l'exemple des bel cordes de ces messieurs.
L'Eglise, tous les saints et même ceux de Loana s'offusquent :
L'auteur de cette page refuse d'écouter la voix de la raison ! Il sucera des (bip...) en enfer !
Merci Xerxes. Merci Frank.
Références
- ↑ Ils étaient en effet nus sous la ficelle de leur string.
- ↑ Un peu comme les enfants portugais, jetés contre le mur à la naissance : s'ils restent collés ils deviendront maçon, s'ils tombent à terre carreleur.
- ↑ Ben oui parce qu'il faut une lettre blanche pour le second X abruti !
- ↑ Ne demandez pas à l'auteur comment il sait cela, mais la mère de Loana l'appelait miette. La honte le tsunamise...
- ↑ Oui, comme les 2be3
- ↑ Dans Iznogoud ignare
Crénom de nom, vous êtes tombés dans la matrice ! | ||
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