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Vendresse

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Vendresse
Vendresse
Ruines du château de la Cassine.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Ardennes
Arrondissement Charleville-Mézières
Intercommunalité Communauté de communes des crêtes préardennaises
Maire
Mandat
Marie-France Barbe
2020-2026
Code postal 08160
Code commune 08469
Démographie
Gentilé Vendressois[1]
Population
municipale
471 hab. (2021 en évolution de −9,94 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 17″ nord, 4° 47′ 41″ est
Altitude Min. 163 m
Max. 303 m
Superficie 43,22 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Charleville-Mézières
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nouvion-sur-Meuse
Législatives Première circonscription
Localisation
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Vendresse
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Vendresse
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Vendresse
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Vendresse

Vendresse est une commune française située dans le département des Ardennes en région Grand Est.

Dans le pays des crêtes préardennaises, elle est à mi-distance entre Villers-le-Tilleul (6,8 kilomètres) et Chémery-sur-Bar (5 kilomètres), à 20 kilomètres de Sedan et 25 km de Charleville-Mézières.

Entouré de bois, de champs et traversé par la Bar et le canal des Ardennes, le village est à orientation agricole. Par le passé, il abritait une grande fonderie (le haut-fourneau), que le XXe siècle a transformé en lieu résidentiel. Autour du haut-fourneau se dresse désormais le domaine de Vendresse qui, avec le couvent de la Cassine, fait partie des sites touristiques de la commune[2].

Géographie

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Localisation

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Vendresse est une commune agricole située sur la rive gauche de la Bar, à dix kilomètres de la Meuse, à Flize. La superficie de la commune est de 4 322 hectares. L'altitude moyenne du territoire est de 163 mètres. L'habitat est concentré en un bourg (celui de Vendresse) et différents hameaux. La commune est traversée par la D 12 Pont-à-Bar/Authe.

Géologie, relief et hydrographie

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Le canal et son écluse de La Cassine.

Vendresse s'étend sur 4 322 ha. 56 % du territoire est constitué de bois (soit 2 406 ha[3]). Elle s’établit au pied des forêts domaniales de Vendresse, d'Élan, du Mont Dieu, des Bois de La Cassine, Chagny et Omicourt. Elle est située dans la vallée de la Bar, dominée par la butte d'Omont (un des lieux les plus élevés du plateau formant les crêtes pré-ardennaises) et le Mont Joly (un autre sommet s'élevant à 301 mètres au cœur de la forêt[Quoi ?] Mazarin[4]).

La vallée de la Bar était le lieu de passage d'une ancienne grosse rivière qui récoltait les eaux de l'Aire.Elle a aujourd'hui laissé place à la petite rivière qu'est la Bar. De nos jours, la vallée accueille aussi le Canal des Ardennes qui longe cette rivière. Vendresse se trouvant en contrebas de la vallée, il n'est pas rare que la Bar déborde vers la fin de l'hiver, inondant tout ou partie des pâtures entre la ferme de la Morteau et Ambly-sur-Bar. De plus, le sol vendressois est composé d'argile mais aussi de grève, très utilisée dans l'industrie du Bâtiment et des travaux publics pour faire du béton. C'est pour cette raison que la commune est entourée d'un grand nombre d'étangs, d'anciennes gravières d'une douzaine de mètres de profondeur pour les plus récentes. Actuellement, deux sont utilisées dans la commune, sur d'anciennes pâtures.

Carte du canal de La Cassine à la Meuse de R. Vuillaume datant 1885.

La commune est également traversée par les ruisseaux des Petits étangs, de l'étang des Vivaubières, du Donjon, de la Fontaine Saint-Rémy, du Batardeau, des Aules et du prés de la Noue.

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Bar, le canal des Ardennes (versant Meuse), le ruisseau le Donjon, le ruisseau de la Fontaine St-Remy, le ruisseau des Aules et le ruisseau du Batardeau[5],[Carte 1].

La Bar, d'une longueur de 62 km, prend sa source dans la commune de Harricourt et se jette dans la Meuse à Dom-le-Mesnil, après avoir traversé 20 communes[6].

Le canal des Ardennes (versant Meuse), d'une longueur de 30 km, est un chenal et un cours d'eau naturel navigable qui a son origine dans la commune de Bairon et ses environs et se jette dans la Meuse à Dom-le-Mesnil, après avoir traversé dix communes[7].

Le ruisseau le Donjon, d'une longueur de 12 km, prend sa source dans la commune d'Omont et se jette dans la Bar à Chémery-Chéhéry, après avoir traversé trois communes[8]. Son lit a été déplacé pour que l'eau soit employée au haut-fourneau. Elle traverse d'ailleurs un étang, situé en face de la ferme de la Lobbe, servant autrefois à laver les minerais de fer. Le Donjon a, par le passé, repris temporairement son ancien cours.

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Vendresse.

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Vendresse (0,9 ha)[Carte 1],[9].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montagnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Lorraine, plateau de Langres, Morvan »[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 924 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douzy », sur la commune de Douzy à 19 km à vol d'oiseau[12], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 1],[13],[14].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[15]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Voies de communication et transports

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Réseau routier

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Ancienne gare de Vendresse.
Réseau ferré des Ardennes au début du XXe siècle

Historiquement, Vendresse s'est constitué autour de deux axes ; une route (aujourd'hui la départementale 12) allant de Pont-à-Bar à Authe et une route, aujourd'hui la départementale 333, qui relie la commune à Omont, ancien haut-lieu féodal.

Le chemin de la vierge amène vers le bois de la Vierge et l'allée de douglas centenaires importés de Vancouver et plantés au début du siècle dernier (1912) par Pol Bouin, qui donna son nom à la rue principale du village (la D 12)[17].

Transports interurbains et scolaires

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Les cars de la RDTA constituent le réseau interurbain des Ardennes. Pour permettre le déplacement de tous les habitants du département dans de bonnes conditions de transport, le conseil général a confié à la RDTA la mise en place d'un réseau de car traversant chaque commune, qui, à partir des 463 communes du département, permet d'atteindre les villes-correspondances du réseau[18]. La commune est donc desservie par les lignes : 3[19], 14[20], 16[21] et 17[22].

En plus, il existe des lignes gérées par la RDTA, assurant les déplacements scolaires sur l'ensemble des 93 communes de la communauté de communes.

Ancienne voie ferrée

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La Compagnie du chemin de fer départementaux des Ardennes exploite le réseau ferré des Ardennes notamment au début du XXe siècle comme le montre cette carte : les liaisons ferroviaires qui desservaient Vendresse sont Poix-Terron - Raucourt et Poix-Terron - Le Chesne - Buzancy. Trois arrêts ont lieu sur la commune : un premier au bourg de Vendresse, un second à Terron-lès-Vendresse et le troisième à La Cassine.

Transport fluvial et maritime

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Le canal des Ardennes est un canal navigable construit entre 1823 et 1831, possédant 44 écluses. Il relie l'Aisne à Vieux-lès-Asfeld à la Meuse à Pont-à-Bar (Dom-le-Mesnil). Sa voie d'eau est utilisée pour le transport de marchandise entre Le Havre embouchure de la Seine, confluent de l'Oise elle-même confluent de l'Aisne et Rotterdam, embouchure de la Meuse, ce qui en fait un des carrefours important du trafic fluvial européen. Il n'est cependant utilisé principalement que par les touristes sur des péniches. Car sur le plan économique il est en concurrence avec le canal du Nord.

Au , Vendresse est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charleville-Mézières, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,3 %), prairies (27 %), terres arables (13,9 %), zones urbanisées (0,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Les habitants de la commune sont dispersés en un gros bourg qui concentre la majorité de la population et de cinq hameaux issus de diverses fusions (par nombre d'habitants décroissant) : La Cassine, Terron-lès-Vendresse, Ambly-sur-Bar, la ferme de la Morteau et la ferme de la Lobbe.

Le nom de Vendresse vient de Vindonissa qui signifie en langue gauloise « ruisseau blanc »[24],[25]. En guise de comparaison, un autre Vendresse, dans l'Aisne, était encore appelé Vindonissa au Moyen Âge dans le Testament de Saint Rémi[26].

Ses habitants sont appelés les Vendressois[27].

Préhistoire et âge du fer

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L'exploitation intensive d'une gravière a permis aux archéologues de découvrir à Vendresse une zone fréquentée par l'homme durant la Préhistoire. Ce site a été habité de l'âge du fer (-800) jusqu'au début de l'époque gallo-romaine, sur les bords de la Bar. On a retrouvé les traces d'un enclos délimité par un fossé et de nombreux trous de poteau et quelques fosses, vestiges d'un habitat celte[28].

Construction de l'église

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La construction s'est déroulée en plusieurs étapes. Au XIIe siècle, le vaste territoire de Vendresse est boisé et fertile. Il est occupé par différentes seigneuries aux châteaux de la Lobbe, de la Morteau et d'Ambly qui ont apporté de nombreux dons pour la construction de l'église. Cette construction a débuté en 1155 par la nef et le chœur, puis la voûte des bas-côtés a été construite aux XVe et XVIe siècles, les gravures sur les clefs de voûte en font foi et indiquent les familles donatrices, la famille Laire de la Morteau par exemple. Ensuite, au XVIIe siècle, les meurtrières, toujours présentes de nos jours, sont creusées. Puis sous l'influence d'Hortense Mancini et son mari, fervents catholiques, les transepts sont agrandis avec des ouvertures plus importantes, le chœur remanié et surélevé pour accueillir le maitre-hôtel et l'orgue est installée par le facteur d'orgue de Sedan, M. Borrant.

Ensuite au XIXe siècle, lors de la Révolution, l'église est dégradée, avec notamment cette inscription robespierriste : « Le peuple français reconnait l’existence de l’être suprême et l’immortalité de l’âme » toujours visible au-dessus de la porte latérale. L'église est aussi dotée de fonts baptismaux en pierre bleue de Givet, d'un chemin de croix du XIXe siècle ainsi que de différentes tombes de notables et seigneurs de la région[29].

Époque moderne et contemporaine

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La bataille de Sedan

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Signature de la capitulation à Donchery.

Lors de la bataille de Sedan, le , les troupes françaises menées par Edme de Mac-Mahon combattent les troupes prussiennes et bavaroises menées par Helmuth von Moltke. Cette bataille signe la défaite française de la guerre franco-prussienne de 1870.

Elle se déroula dans les alentours de Sedan, le roi Guillaume de Prusse assiste avec son chancelier, Otto von Bismarck à la bataille depuis la colline de Frénois. Ces derniers séjournèrent sur la commune de Vendresse pendant la bataille, à la Villa La Roques pour Bismark, au château Hannonet (rue de la Halle) pour Guillaume Ier et le Kronprinz au château de la Cassine, aujourd'hui en ruines. C'est aussi dans le village que devaient se rencontrer les deux chefs d'État actuels (France et Allemagne) pour signer l'acte de reddition.

XXe siècle

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Lors de la bataille de France, les Allemands de la 1. Panzer-Division de Friedrich Kirchner franchissent le matin du le canal des Ardennes à Omicourt et Malmy et attaquent alors vers Vendresse, défendue en avant par la 5e division légère de cavalerie (général Chanoine), avec également divers éléments de la 3e brigade de spahis (2e marocains et 2e algériens) et du 66e groupe de reconnaissance de division d'infanterie[30],[31]. Les Stukas de la Luftwaffe interviennent alors et, selon les mots de l'auteur Jean-Yves Mary, « transforment la position en un terrain lunaire »[30]. Immédiatement, pour ne pas laisser le temps aux Français de se remettre du raid aérien, les Allemands de la Kampfgruppe Nedtwig (commandée par Johannes Nedtwig, c'est un groupement tactique de la 1. Panzer-Division) passent à l'attaque. Kirchner rend compte de « combats acharnés autour de Vendresse »[32] mais les défenseurs sont débordés par la force de l'assaut allemand, à 16h Chanoine fait replier les troupes vers le sud-ouest sous la couverture des véhicules du 5e régiment d'automitrailleuses, quelques isolés tiendront encore dans Vendresse avant de rejoindre les lignes la nuit[30].

En 1965 la commune fusionne avec la commune de Terron-lès-Vendresse[I 5], puis en 1970 avec la commune de La Cassine[I 5].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Lors de toutes les élections, hormis aux élections municipales où la seule liste se présente comme d'intérêt local, les électeurs de Vendresse se sont prononcés pour des candidats positionnés à droite de l'échiquier politique.

Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores
Élections régionales, résultats des seconds tours
Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours
Élections référendaires

Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1922 1940 Émile Gobert DVD  
1945 1947 Charles Demaugre SFIO Employé des postes
Conseiller général
1947 1952 Émile Gobert DVD  
1952 1964 Gabriel Tayot SE  
1964 2001 Jean Guillin SE  
mars 2001 fin mars 2014 André-Louis Salvi[43] SE  
mars 2014 juin 2019 (décès) Jean-Pierre Tayot[44] SE Exploitant agricole à la retraite
septembre 2019 En cours
(au 26 mai 2020)
Marie-France Barbe[45]   Professeur des écoles
Les données manquantes sont à compléter.

Instances Judiciaires et Administratives

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La commune appartient aux tribunaux de première instance et de grande instance de Charleville-Mézières ainsi qu'à la cour d'appel de Reims.

La commune de Vendresse n'est jumelée avec aucune autre commune.

Population et société

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Démographie

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Évolution de la population

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[47].

En 2021, la commune comptait 471 habitants[Note 4], en évolution de −9,94 % par rapport à 2015 (Ardennes : −3,2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7197918409771 1181 1541 1591 1501 124
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 0601 0621 032992895816784745732
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
745629633557537493427449473
1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021
469406402400465483519480471
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (32,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 29,2 % au niveau départemental.

En 2021, la commune comptait 236 hommes pour 235 femmes, soit un taux de 50,11 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,85 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2021 en pourcentage[I 6]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,5 
7,4 
75-89 ans
10,7 
16,1 
60-74 ans
16,3 
23,3 
45-59 ans
21,1 
18,0 
30-44 ans
18,3 
15,2 
15-29 ans
16,2 
20,0 
0-14 ans
16,9 
Pyramide des âges du département des Ardennes en 2021 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,9 
7,1 
75-89 ans
10,1 
19 
60-74 ans
19,5 
21 
45-59 ans
20,3 
17,5 
30-44 ans
17,3 
16,6 
15-29 ans
14,2 
18 
0-14 ans
16,6 

Niveaux de formation

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Au recensement de 2008, Vendresse comptait 353 habitants de 15 ans et plus (177 hommes et 176 femmes)[50] :

  • 22,7 % d'habitants sans diplôme (18,1 % d'hommes et 27,3 % de femmes) ;
  • 45,3 % avec un diplôme inférieur au baccalauréat ;
  • 14,7 % avec un niveau du baccalauréat (13,0 % d'hommes et 16,5 % de femmes) ;
  • 17,2 % (15,8 % d'hommes et 18,3 % de femmes) avec un diplôme de niveau supérieur au baccalauréat.

Enseignement

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L'école possède une école primaire, avec une cantine, les repas viennent du bar-restaurant le Mafate situé à proximité, ainsi qu'une garderie. L'école maternelle est assurée à Chémery-sur-Bar.

Manifestations culturelles et festivités

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  • La fête patronale a lieu le dernier dimanche de juillet, où sont présentes quelques attractions.
  • le marché paysan de la Cassine a lieu le troisième vendredi du mois de mars à décembre. Il a une nouvelle thématique à chaque édition. Il est organisé par une vingtaine de producteurs et fait découvrir les spécialités de la région et de la saison.
  • Le spectacle de la Cassine a lieu les samedis de juillet-août. C'est un spectacle unique en Europe car les spectateurs sont assis dans une tribune de 1 700 places, mobiles sur 300 mètres et cheminent, au fur et à mesure du spectacle, pour finir devant les ruines du château et assister à un feu d'artifice.
  • Le festival de la Cassine et un événement qui a lieu le dernier week-end de mai. C'est une demi-douzaine de concerts à prix abordables avec des artistes de renom (comme en 2010 Renan Luce, Sinsemilia ou encore Les Fatals Picards) [4]
  • Au cœur du village, le Domaine de Vendresse, à la fois parc de loisirs pour enfants et monument historique propose aux visiteurs des aires de jeux, une galerie d'aquariums d'eau douce, un son et lumière sur le haut-fourneau et de nombreuses animations estivales. Plus de 25 000 personnes y viennent chaque année.

Aucun professionnel de la santé n'est implanté dans la commune. Plusieurs médecins généralistes exercent dans la commune voisine du Chesne.

Suivant l'enquête annuelle de recensement de 2008, sur les 306 habitants de la commune âgés de 15 à 64 ans, il y a 234 actifs (76,5 %) dont 20 personnes inscrites au chômage (6,50 %). Sur les 72 non actifs, il y a 6,9 % de retraités ou préretraités et 6,2 % d'élèves, étudiants ou stagiaires non rémunérés[51].

En 2008, sur 214 personnes :

Ces 500 habitants sont répartis en 205 ménages.

Entreprises et commerces

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Activité agricole

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Photographie représentant une vache de race Prim Holsein.

De tous temps, Vendresse a eu une activité orientée vers le secteur primaire, la production agricole étant actuellement la seule activité économique notable de la commune. L'organisation urbaine de la commune est toujours à l'image éclatée de l'habitat rural.

Historiquement la production agricole était autarcique. Le développement de la production de bêtes de boucherie par la généralisation du couchage en herbe. Actuellement, la commune, situé dans une région de polyculture, produit aussi bien des bovins pour leur lait, avec la race Prim-Holstein par exemple, comme pour leur viande, les races Limousine, Charolaise ou encore Salers.

De plus, l'agriculture est aussi céréalière à Vendresse, avec notamment la production de maïs, blé, colza ou encore orge. Une des fermes de la commune produit également des asperges.

Photographie d'un champ de colza
Indication géographique protégée
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Deux indications géographiques protégées (IGP) sont présentes sur le territoire de Vendresse :

Activité herbagère

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En 1988, Vendresse compte vingt-deux exploitations agricoles. Au recensement agricole de 2000, il n'en reste plus que quinze, sur 1511 hectares (soit 35 % de la superficie de la commune) dont 954 sont toujours en herbe pour accueillir 2169 bovins don 733 vaches, le reste des terres étant travaillé en labours pour la culture céréalière. La population agricole s'élève à 30 personnes, 15 exploitants (chef d'exploitation et membres de la famille travaillant sur l'exploitation) et 3 salariés agricoles (en équivalence temps plein soit environ le double à temps partiel)[54]. À partir des années 2000, la population de Vendresse n'est plus à dominante agricole.

Autres activités

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Le secteur secondaire existe à Vendresse grâce à la présence d'une scierie aux abords du village.

Le secteur tertiaire non marchand n'est présent à Vendresse que par un bureau de Poste, où il n'y a aucun service public, à l'exception de la mairie et ce bureau de poste. Le secteur tertiaire marchand est peu présent avec une activité artisanale comprenant quelques représentants. Les activités de service sont peu représentées. Le village comporte quelques commerce de proximité : une épicerie générale, une boulangerie et un bar.

La commune dispose aussi d'une équipe de 14 pompiers volontaires avec un rattachement au SDIS qui assure la formation des pompiers et l'entretien du matériel.

Activités de loisirs

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Les activités qui peuvent se pratiquer sur le territoire de la commune sont toutes des activités de plein air.

La chasse est très pratiquée à Vendresse. Les bois de la Vierge accueille sangliers, cerf et autres gibier. Ces chasses se pratiquent uniquement au moyen de cartouches chargées avec des billes d'acier, les plombs étant interdits pour éviter la pollution des eaux. Elles ne sont ouvertes qu'à des périodes déterminées, par arrêté préfectoral, en fonction des différentes espèces autorisées à la chasse. Différentes pêches se pratiquent sur la commune de Vendresse. Un étang propose aux touristes de camper sur ses rives et d'y pêcher la carpe au kilogramme, le domaine de Vendresse propose cette même activité sur un de ces étangs. On peut aussi pêcher dans le canal des Ardennes

Aucun chemin de randonnée classé par la fédération française de la randonnée pédestre n'existe sur la commune de Vendresse. En revanche, il existe un chemin balisé dans l'arboretum du bois de la Vierge, ainsi qu'un chemin, l'ancienne voie de chemin de fer, qui relie la commune à La Cassine.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Martin de Vendresse.

Le domaine de Vendresse

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Le domaine de Vendresse[56] est le lieu touristique, il est composé de l'ancien Haut-fourneau de Vendresse abritant deux expositions et une brasserie ainsi qu'un parc avec trois étangs. Il y a deux expositions permanentes :

  • « Le Feu », pièce où se déroule un son et lumière retraçant l'histoire du Haut-fourneau qui coulait au XIXe siècle de la fonte et faisait la fierté de la commune.
  • « L'Eau », se déroule dans la mezzanine, où était stocké le charbon du Haut-fourneau, avec de nombreuses animations ludiques pour comprendre le système de l'eau. Au rez-de-chaussée, 14 aquariums d'eau douce présentent 33 espèces de poissons présents dans les Crêtes Préardennaises.

Au domaine de Vendresse, des activités en plein-air sont organisées : la pêche à la truite, la pêche en no-kill de carpes et d'esturgeons, la pêche au kilogramme, des jeux en bois pour les plus petits et des jeux liés à l'eau pour les plus grands, une flotte de bateaux télécommandés est à la disposition des touristes sur les différents étangs.

Personnalités liées à la commune

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  • Regnault d'Ambly (XIIIe siècle), connétable de Bourgogne, était seigneur de Vendresse.
  • Claude-Jean-Antoine d'Ambly, député lors des Etats généraux de 1789 et maréchal de camp.
  • Louis de Gonzague dit aussi Louis IV de Nevers (1539-1595), prince italien, un militaire et un homme politique français et sa femme Henriette de Nevers (1542-1601), fille aînée de François 1er. Ils décidèrent de construire le château de la Cassine en 1571, puis le couvent des cordeliers en 1579, où furent reçus entre autres Henri IV et Louis XIV[57].
  • Hortense Mancini (1646-1699), nièce du cardinal Mazarin.
  • Nicolas Diot (1744-1810), curé de Vendresse devint évêque constitutionnel de la Marne.
  • Jean-Remacle Lissoir (1766-1841), curé de Vendresse, fut élu évêque constitutionnel du département de Samaná.
  • Jean-Nicolas Gendarme (1769-1845), industriel français et maître de forge, propriétaire du haut-fourneau de Vendresse.
  • Jean-Louis Baudelot (1797-1881), inventeur et brasseur, est né à Vendresse et y a inventé le réfrigérant tubulaire Baudelot en 1856 (refroidisseur de moût de bière, premier pas vers la brasserie industrielle)[58],[59].
  • Otto von Bismarck (1815-1898), homme politique prussien puis allemand, séjourna à la villa La Roques pendant la bataille de Sedan[réf. nécessaire].
  • Jules Joseph Émile Baudelot[60],[61] né le à Vendresse, décédé le à Nancy. Professeur d’ichtyologie, il exerça comme professeur d'histoire naturelle à la Faculté des sciences de Strasbourg (1866) puis comme professeur de sciences à la Faculté de Nancy (jusqu'en 1868). Il occupa la chaire d'anatomie comparée et de zoologie à la Faculté de Nancy de 1871 à 1875. Neveu de Jean-Louis Baudelot.
  • Paul de Lapparent (1869-1946), artiste peintre descendant de Jean-Nicolas Gendarme, fréquenta Vendresse qui fut un thème de sa peinture de paysage. Il repose au cimetière de Vendresse.
  • Pol Bouin (1870-1962), biologiste, cytologiste et histologiste français, né à Vendresse.
  • Albert Doyen (1882-1935), musicien né dans la commune.

Héraldique, logotype et devise

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La commune ne dispose à ce jour d'aucun blason.

Vendresse est le patronyme du personnage principal de la nouvelle de Vercors « L'Imprimerie de Verdun » publiée en 1945.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Vendresse » sur Géoportail (consulté le 15 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  • Références au site de l'Insee :
  1. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Charleville-Mézières », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. a et b « Historique des communes des Ardennes entre 1965 et 1970 », sur Insee (consulté le ).
  6. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune de Vendresse (08469) », (consulté le ).
  7. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Ardennes (08) », (consulté le ).
  • Autres références :
  1. https://www.habitants.fr/ardennes-08
  2. « Domaine de Vendresse parc de loisirs dans les Ardennes », sur Domaine de Vendresse, (consulté le ).
  3. trésor des régions consulté le 7 juin 2012
  4. consulté le 7 juin 2012
  5. « Fiche communale de Vendresse », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  6. Sandre, « la Bar »
  7. Sandre, « le canal des Ardennes (versant Meuse) »
  8. Sandre, « le ruisseau le Donjon »
  9. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Vendresse et Douzy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Douzy », sur la commune de Douzy - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Douzy », sur la commune de Douzy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  17. [1], site de Balado, consulté le 27 mai 2012.
  18. horaire RDTA, site de la « RDTA », consulté de 28 mai 2012.
  19. horaire RDTA, site de la « RDTA », consulté de 28 mai 2012.
  20. horaire RDTA, site de la « RDTA », consulté de 28 mai 2012.
  21. horaire RDTA, site de la « RDTA », consulté de 28 mai 2012.
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  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. Ferdinand Lot, « Quelques notes de toponymie », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, Rennes, Presses universitaires de Rennes, vol. 38-3,‎ , p. 526-532 (ISSN 0399-0826, e-ISSN 2108-6443, lire en ligne)
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  29. [2] unimair08.free.fr consulté le 9 juin 2012
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  31. Thierry Moné, 15 mai 1940, le mercredi de La Horgne : de la mémoire à l’histoire. : La campagne de mai-juin 1940 de la 3e Brigade de Spahis (thèse de doctorat en Histoire), Université Paris 4 Paris-Sorbonne, (lire en ligne), « 2.4.2. La reconnaissance offensive du 14 mai vers Vendresse », p. 184-193
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  42. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 10 juin 2012.
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  45. Amélie Girard, « Municipales 2020 : Marie-France Barbe, réélue maire à Vendresse, poursuit les projets en cours », L'Ardennais (journal),‎ (lire en ligne)
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  48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. a b et c recensement général de la population 2008, consulté le 9 avril 2009.
  51. Insee vendresse 2008, consulté le 22 mai 2012.
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  54. recensement agricole 2000,site de l'INSEE, consulté le 27 mai 2012.
  55. Unimair08 Unimaire08 consulté le 8 juin 2012
  56. Domaine de Vendresse
  57. [3] JedécouvrelaFrance.com consulté le 8 juin 2012
  58. Alain Chapellier, "Jean-Louis Baudelot. Du barboteur au Baudelot.", in Terres ardennaises, revue d'histoire et géographie locales, n°102, mars 2008.
  59. "Le réfrigérant Baudelot" sur le blog de Dom.
  60. Alain Chapellier, "Jules Joseph Emile Baudelot, professeur d'ichtyologie", in Terres Ardennaises, revue d'histoire et de géographie locales, n°128, septembre 2014, Editions Terres Ardennaises.
  61. Françoise Huguet et Boris Noguès, "Les professeurs des facultés des lettres et des sciences en France au XIXe siècle (1808-1880)", juin 2011, en ligne.