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Tartigny

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Tartigny
Tartigny
Vue de la commune de Tartigny, avec la mairie et l'école (au premier plan à droite), l'église Saint-Martin au fond, et les premiers bâtiments du château à gauche.
Blason de Tartigny
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise picarde
Maire
Mandat
Pierre Masschelein
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60627
Démographie
Population
municipale
252 hab. (2021 en évolution de −10,32 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 05″ nord, 2° 21′ 41″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 149 m
Superficie 6,98 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Breteuil
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Tartigny
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Tartigny
Géolocalisation sur la carte : Oise
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Tartigny
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Tartigny

Tartigny est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

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À environ 5 km à l'est de Breteuil, le village est accessible par la route départementale 930.

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Tartigny[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 2 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-LES-MERLES (60) - alt : 94m, lat : 49°39'01"N, lon : 2°22'14"E
Records établis sur la période du 01-04-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,1 2,6 3,9 7,2 10 12 12 9,5 7,3 4,2 1,8 6,1
Température moyenne (°C) 3,9 4,4 7 9,5 12,9 16 18,2 18,2 15,1 11,5 7,2 4,4 10,7
Température maximale moyenne (°C) 6,6 7,7 11,5 15,2 18,6 21,9 24,5 24,5 20,6 15,6 10,3 7 15,3
Record de froid (°C)
date du record
−18,6
07.01.09
−12,9
07.02.12
−11,5
13.03.13
−6,6
07.04.21
−3,2
03.05.21
−2
05.06.1991
2,3
04.07.1990
2,1
08.08.1990
−1,3
30.09.18
−6,2
28.10.03
−10,8
24.11.1998
−17,2
18.12.10
−18,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
27.01.03
20
24.02.1990
24,3
31.03.21
27,1
19.04.18
30,8
27.05.05
36,4
18.06.22
41,5
25.07.19
39,7
06.08.03
34,7
08.09.23
29,2
01.10.11
20,1
01.11.14
17
07.12.00
41,5
2019
Précipitations (mm) 52,4 42,9 46,1 43,2 57,4 54,2 59,7 58,1 49,1 57,8 57,2 69,8 647,9
Source : « Fiche 60555002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Tartigny est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Breteuil, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[8]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,6 %), forêts (19,7 %), zones urbanisées (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2023, par les lignes 624, 6122 et 6140 du réseau interurbain de l'Oise[12].

La commune s'est appelée « Tertiniagum » en 766[réf. nécessaire].

La nécropole gauloise de Tartigny a été découverte par prospection aérienne lors de la sécheresse de [13] et a été fouillée à la fin de l'été 1983[14]. Elle est datée, par les experts, de 25 000 avant Jésus-Christ. La partie fouillée comprend quatre enclos fossoyés quadrangulaires : un premier grand fossé de 18,70 m de côté renfermait en son milieu une sépulture bouleversée par des pillages, avec une dizaine de vases et un petit objet en tôle de bronze. Un deuxième enclos, plutôt légèrement trapézoïdal est accolé au côté ouest du premier.

Il avait en son centre une sépulture à incinération contenue dans une fosse quadrangulaire de 2,80 m sur 2,95 m. Neuf vases à offrandes étaient disposés au nord, ainsi qu'une pince à épiler trouvée au pied d'un autre vase. Deux petits fossés quadrangulaires de 6,20 m de côté, ne contenant pas de sépulture, étaient placés de part et d'autre des deux premiers enclos. Trois sépultures en fosse ont été étudiées autour des enclos. Il s'agit de petites sépultures à incinération qui contenaient aussi de nombreux vases et du matériel métallique. Trois des sépultures étaient entourées de quatre trous de poteaux, partiellement discernables sur la photo aérienne. Ils devaient supporter une structure bâtie que l'on suppose être des maisons funéraires en bois. On peut penser que ces édicules, parfois beaucoup plus complexes, dressés sur les tombes de personnages importants qui deviennent des "héros", sont peut-être à l'origine de sanctuaires indigènes.

Le mobilier métallique est remarquable : les pièces métalliques en fer ornent un seau en bois avec anse, cerclage, crochets et charnières ; 3 forces, 6 couteaux, 2 couteaux-rasoirs-précelles, 1 bassin en tôle de bronze, 1 anneau de bronze, 3 fibules et 1 anneau d'ambre. On note l'absence d'armes dans le rituel funéraire, alors qu'elles sont abondantes dans les sanctuaires de la même région, comme à Gournay-sur-Aronde. L'ensemble des 5 sépultures de Tartigny est daté de la phase moyenne de la période gauloise, dite de La Tène II. Les spécialistes pensent que les individus incinérés dans le secteur fouillé appartiendraient à une ou à plusieurs familles de l'aristocratie bellovaque. Tout laisse penser que, à Tartigny, certaines tombes riches pourraient être celles de druides.

La commune, instituée lors de la Révolution française, a été fugacement rattachée de 1825 à 1833 à celle de Rouvroy-les-Merles[15].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Breteuil[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[16], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[17], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[18].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[19], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [20].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Antoine Cavé d'Haudicourt[22] Majorité ministérielle Député de l'Oise (1824 → 1827)
avant 1945   Fernand Moreau    
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 1996 René Leroy    
avant 1996 2001 Claude Crinon   Chef d'entreprise
mars 2001 2008 Paul Thoma   Agriculteur
2008[23] En cours
(au 19 octobre 2014)
Pierre Masschelein   Agriculteur
Réélu pour le mandat 2014-2020[24]

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 252 habitants[Note 3], en évolution de −10,32 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
275274312287430302304322316
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
306294271270241257245232249
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
251226215259240242254297238
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
264298276209202229242237258
2014 2019 2021 - - - - - -
281259252------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 130 hommes pour 136 femmes, soit un taux de 51,13 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,8 
8,7 
75-89 ans
11,4 
16,5 
60-74 ans
18,2 
19,7 
45-59 ans
16,7 
18,1 
30-44 ans
17,4 
17,3 
15-29 ans
17,4 
18,9 
0-14 ans
18,2 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Enseignement

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Les enfants de la commune sont scolarisés depuis 2016 à Bacouël, au sein du regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les communes de Bacouël, Tartigny, le Mesnil-Saint-Firmin, Rocquencourt, Sérivillers, Broyes et Plainville.

Ce RPI qui comptait quatre classes à Bacouël (maternelle moyenne et grande section, CP, CM1, CM2), une classe à Broyes (CE2, CM1), une classe à Plainville (CE1, CE2) et une classe à Tartigny (maternelle petite section) se transforme à la rentrée 2018-2019 en regroupement pédagogique concentré, grâce à la construction à Bacouël de nouveaux locaux où tous les enfants seront accueillis. Cette école, dite « La Malvina[Note 4] » de sept classes comprend également une restauration scolaire. Le coût de cette extension du bâtiment existant s'est élevé à 1,7 million d'euros, dont 1 M€ financé par l'Etat, 216 000  de la région et 377 000  du département. Un transport scolaire est assuré matin et soir vers chaque commune. Un accueil périscolaire à partir de h 30 et jusqu'à 18 h 30[30],[31].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Château de Tartigny
Château de Tartigny

*Ce château est le décor d'un son et lumière produit par l'Association Culture et Co et mis en scène par Léo Dany. Ce son et lumière s'intitule Du feu à la Lumière et raconte l'histoire de France à travers celle de Tartigny et de l'Oise en partant de la préhistoire à l'ère Néolithique jusqu'à la libération de 1945, village libéré par les anglais. Joué par 80 figurants et d'une durée de 90 minutes, il est clôturé par un feu d'artifice. La première édition, le , a rassemblé plus de 800 spectateurs. Une seconde édition était programmée sur deux dates les 17 et ,mais l'association a annulé cette nouvelle édition à cause de la pandémie liée à la crise COVID. La prochaine édition est programmée le 2 juillet 2022.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
De gueules à la foi d'argent issant de deux nuées du même mouvant des flancs, soutenant trois épis de blé d'or, deux passées en sautoir et le troisième posé en pal.

Bibliographie

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  • Jean Luc Massy, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Étude des structures », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1,‎ , p. 13-22 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1491).
  • Étienne Mantel, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Catalogue du mobilier », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1,‎ , p. 23-36 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1492).
  • Patrice Meniel, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Étude des offrandes animales », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1,‎ , p. 37-39 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1493).
  • André Rapin, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Étude de la céramique », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1,‎ , p. 41-57 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1494).
  • André Rapin, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Étude du mobilier métallique », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1,‎ , p. 59-78 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1495).
  • Luc Massy Jean, « La nécropole gauloise de Tartigny (Oise)  : Interprétation des structures et conclusion générale », Revue archéologique de Picardie, vol. 3, no 1,‎ , p. 79-81 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.1986.1496).

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. La Malvina est le nom d'une ancienne rivière qui coulait à Bacouël
  1. « Réseau hydrographique de Tartigny » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Tartigny et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Tartigny ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Breteuil », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Transports en commun à Tartigny », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  13. Agache 1978, fig. 33[réf. incomplète].
  14. Massy et alii 1986, p. 13-81[réf. incomplète].
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  17. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  18. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  19. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d'agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  20. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  21. « Les maires de Tartigny », sur francegenweb.org (consulté le ).
  22. « Antoine, Claude, Jean Cavé d'Haudicourt (1781 - 1839) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  23. « Pierre Masschelein repart », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Tartigny », Cartes de France (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tartigny (60627) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. S.G., « Bacouël : les enfants vont découvrir leur nouvelle école », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3409,‎ , p. 24.
  31. « La Malvina a été inaugirée - L'école accueille les enfants de six communes : Bacouël : le regroupement pédagogique concentré a été inauguré le 9 juin. La nouvelle structure accueille 160 écoliers dans des conditions optimales », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3503,‎ , p. 20.
  32. « Château », notice no PA60000010, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Sylvie Godin, « Le parc et le potager du château s'offrent à vous : Ce 3 juillet le parc et le potager du château de Tartigny s'ouvrent gratuitement au public. L'occasion de découvrir un site atypique », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3400,‎ , p. 17.