Aller au contenu

Saintry-sur-Seine

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saintry-sur-Seine
Saintry-sur-Seine
L’hôtel de ville.
Blason de Saintry-sur-Seine
Blason
Saintry-sur-Seine
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Évry
Intercommunalité CA Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart
Maire
Mandat
Patrick Rauscher
2020-2024
Code postal 91250
Code commune 91577
Démographie
Gentilé Saintryens
Population
municipale
5 829 hab. (2021 en évolution de +3,1 % par rapport à 2015)
Densité 1 772 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 46″ nord, 2° 29′ 35″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 92 m
Superficie 3,29 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Épinay-sous-Sénart
Législatives 9e circonscription de l'Essonne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saintry-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saintry-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Voir sur la carte topographique de l'Essonne
Saintry-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Saintry-sur-Seine
Liens
Site web http://www.saintry-sur-seine.fr/

Saintry-sur-Seine est une commune française située dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Position de Saintry-sur-Seine en Essonne.

Saintry-sur-Seine, qui est séparée de Corbeil-Essonnes par la Seine, est une ville périurbaine située à 30 km à vol d'oiseau au sud-est de Paris, à 26 km au nord-ouest de Fontainebleau, 30 km au nord-est d'Étampes, 18 km à l'est d'Arpajon et 6 km au sud-est d'Évry-Courcouronnes.

Elle se trouve dans l'aire urbaine de Paris, que dans l'unité urbaine de Paris et dans le bassin de vie de la capitale, ainsi que dans la zone d'emploi d'Évry[I 1].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Saint-Pierre-du-Perray, Corbeil-Essonnes et Morsang-sur-Seine.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 3,29 km2 ; son altitude varie de 32 à 192 mètres[1].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte hydrographique et des infrastructures de transport de la commune.

Le territoire communal est limité à l'ouest par le lit du fleuve la Seine.

Une passerelle piétonnière reliant le plan d’eau dit de la fouille Loury et la Seine a été posée en 2020 pour remplacer un ouvrage vétuste[2],[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 664 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Seine-Port à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 673,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Les berges de la Seine et la forêt de Rougeau au sud du territoire ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[10],[2].

Au , Saintry-sur-Seine est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[13]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Occupation des sols.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 45,4 % 150,31
Espace urbain non construit 19,2 % 63,57
Espace rural 35,4 % 117,33
Source : Iaurif-MOS 2008[16]

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 2 460, alors qu'il était de 2 300 en 2016 et de 2 016 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 91 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 8,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 77,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 21,5 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saintry-sur-Seine en 2021 en comparaison avec celle de l'Essonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) par rapport au département (1,9 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Saintry-sur-Seine en 2021.
Typologie Saintry-sur-Seine[I 3] Essonne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91 91 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 1,9 9,7
Logements vacants (en %) 8,3 7,2 8,1

La commune ne respecte pas les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de la loi SRU de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales constituées de logements sociaux et est classée comme commune carrencée, avec ses 203 logements sociaux en 2019.

Elle est donc astreinte au paiement d'une pénalité financière, qui s'est élevée à 50 878 € en 2020[17].

Attestée sous le nom Sintreium, Sintrium en 1029, Sainteriacum, Saineteriacum, Santraicum, Sintry, Sentri au XIIIe siècle, Centeriacum au XVe siècle, Saintery en 1538[18].

La commune est instituée par la Révolution française en 1793 sous le simple nom de Saintry, la mention du fleuve la Seine est ajoutée en 1949[1].

La naissance de Saintry-sur-Seine a lieu au Xe siècle sur les ruines du village de Mory, détruit par les Vikings.[réf. nécessaire]

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[19], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement d'Évry[I 1] après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie de 1793 à 1975 du canton de Corbeil-Essonnes de Seine-et-Oise puis de l'Essonne. En 1975, la ville intègre le canton de Saint-Germain-lès-Corbeil[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton d'Épinay-sous-Sénart[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription de l'Essonne.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune de Saintry-sur-Seine a intégré l'établissement public de coopération intercommunal (EPCI) du Syndicat d'agglomération nouvelle de Sénart-en-Essonne le . Cette structure se transforme le le [20] en un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre de droit commun, la communauté d’agglomération de Sénart en Essonne.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, notamment en banlieue parisienne afin de pouvoir dialoguer avec la Métropole du Grand Paris, celle-ci a immédiatement fusionné le avec :
- la communauté d’agglomération Évry Centre Essonne ;
- la communauté d'agglomération Seine-Essonne ;
- la Communauté d'agglomération de Sénart ;[21] ainsi que la commune de Grigny, pour former la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart, dont est désormais membre la commune [I 1]

Tendances et résultats politiques

[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles

[modifier | modifier le code]

Résultats des seconds tours :

Élections législatives

[modifier | modifier le code]

Résultats des seconds tours :

Élections européennes

[modifier | modifier le code]

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

[modifier | modifier le code]

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections municipales

[modifier | modifier le code]

Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans l'Essonne[36], la liste DVD menée par Martine Cartau-Oury obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 1 196 voix (44,76 %, 22 conseillers municipaux dont 7 syndicaux), devançant de 49 voix celle DVG menée par le maire sortant (1 147 voix, 42,92 %, 6 conseillers municipaux élus dont 2 syndicaux).
La troisième liste, DVG menée par Alain Herschkorn, recueille 329 voix, 12,31 %, 1 conseiller municipal élu) lors d'un scrutin où 32,64 % des électeurs se sont abstenus[37].

Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans l'Essonne[38], la liste DIV menée par Patrick Rauscher — qui bénéficiait de la fusion de la liste également DIV menée par Alain Herschkorn du 1er tour  — obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 980 voix (46,60 %, 22 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) , devançant largement les listes menées respectivement par[39] :
- Martine Cartau-Oury, maire sortante (UDI, 687 voix, 32,66 %, 4 conseillers municipaux élus) ;
- Fanny Aubry (DVG, 436 voix 20,73 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 46,73 % des électeurs se sont abstenus.

Référendums

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[42]
Période Identité Étiquette Qualité
1947 mai 1953 Marceau Berchem    
mai 1953 mars 1959 Jean Phélipon    
mars 1959 1966 Marius Arnaud    
1966 mars 1977 Jean Clément    
mars 1977 mars 1983 Lazare Gozman[Note 4] PCF  
mars 1983 février 1999 Jean-Louis Campredon[Note 4],[43],[44] RPR Directeur commercial
Conseiller régional d'Île-de-France (1985 → 1998)
Conseiller général de Saint-Germain-lès-Corbeil (1982 → 2001)
Vice-président du conseil général de l'Essonne (1994 → 1998)
Démissionnaire
février 1999 mars 2008 Michel Doumax DVD
puis UMP
Pilote de ligne
mars 2008 avril 2014 Michel Carreno PS Professionnel de la communication
avril 2014 juillet 2020[38] Martine Cartau-Oury UDI[45] Chef d'entreprise
Vice présidente Grand Paris Sud (2016 → 2020)
juillet 2020 septembre 2024[46] Patrick Rauscher[47] SE-DVD Cadre supérieur SDIS 91
Démissionnaire

Saintry-sur-Seine a développé des associations de jumelage avec :

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Les élèves de Saintry-sur-Seine sont rattachés à l'académie de Versailles.

En 2010, la commune dispose des écoles maternelles des Renardeaux et Michelle-Koch et de l'école élémentaire du Parc-Municipal[49].

Équipements culturels

[modifier | modifier le code]

La ville dispose d'une bibliothèque municipale, la Demi-lune, et s'est dotée d'une maison de la culture en 2021[50].

La commune dispose sur son territoire de l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes du château de Champlâtreux.

Elle dispose également d'une maison médicale.

Postes et télécommunications

[modifier | modifier le code]

Saintry dispose d'une agence postale communale[51]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Saintryens[52].

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[54].

En 2021, la commune comptait 5 829 habitants[Note 5], en évolution de +3,1 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
373416372489536565569579546
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
503497498555580604629626648
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6286276687238559171 0351 1081 244
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 5581 9093 0463 6424 9294 9984 9795 0525 093
2015 2020 2021 - - - - - -
5 6545 8355 829------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 1716, Saintry-sur-Seine comptait environ 146 habitants [56].

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 791 hommes pour 2 967 femmes, soit un taux de 51,53 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[57]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,1 
6,4 
75-89 ans
8,0 
15,5 
60-74 ans
15,3 
20,8 
45-59 ans
20,7 
19,0 
30-44 ans
19,1 
15,9 
15-29 ans
15,3 
21,6 
0-14 ans
19,5 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2021 en pourcentage[58]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,4 
75-89 ans
7,2 
12,9 
60-74 ans
13,9 
20 
45-59 ans
19,4 
19,9 
30-44 ans
20,1 
20 
15-29 ans
18,2 
21,3 
0-14 ans
19,8 
L'église de la Nativité-de-la-Très-Sainte-Vierge.

La paroisse catholique de Saintry-sur-Seine est rattachée au secteur pastoral de Corbeil-Saint-Germain et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église de la Nativité-de-la-Très-Sainte-Vierge[59].

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Elle dispose d'une radio locale nommée Infiny Radio[60].

Emplois, revenus et niveau de vie

[modifier | modifier le code]

En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 593 , ce qui plaçait la commune au 498e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au quarante-septième rang départemental[61].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Saintry-sur-Seine 0,0 % 18,0 % 8,3 % 30,8 % 27,6 % 15,3 %
Zone d’emploi d’Évry 0,3 % 4,0 % 20,2 % 29,6 % 28,2 % 17,7 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Saintry-sur-Seine 0,6 % 12,6 % 14,4 % 17,0 % 7,8 % 7,0 %
Zone d’emploi d’Évry 0,9 % 13,5 % 5,4 % 14,6 % 16,2 % 6,9 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[62],[63],[64]

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Saintry-sur-Seine :

  • Antoine Didier Guéry (1765-1825), colonel français de la Révolution et de l'Empire, maire de Saintry-sur-Seine.
  • Robert Savary (1920-2000), artiste peintre, y séjourna fréquemment dans une résidence familiale[65].
  • Louis Meznarie, (1930-2020), préparateur de motocyclettes et d’automobiles de compétition y est né
  • Bruno Nicolini dit Bénabar (1969- ), chanteur y a habité.

Héraldique et logotype

[modifier | modifier le code]
Logotype de la commune.
Blason de Saintry-sur-Seine Blason
D'azur à la fasce ondée d'argent accompagnée de trois feuilles de Ginkgo biloba d'or.
Devise
'Ne Quid Nimis qui peut se traduire en français par « Rien de trop »
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Saintry-sur-Seine », p. 918–919

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. a et b Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. a b c et d « Commune de Saintry-sur-Seine », Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024, sur insee.fr (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Saintry-sur-Seine - Section LOG T1 » (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Saintry-sur-Seine - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans l'Essonne - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Gérald Moruzzi, « Saintry-sur-Seine : la passerelle de la Fouille Loury, démontée de nuit, sera vite remplacée », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. Marie Amelie Marchal, « La nouvelle passerelle de Saintry-sur-Seine bientôt ouverte au public », Actu Essonne,‎ 20/74/2020 (lire en ligne, consulté le ) « Le projet, porté par la commune de Saintry‐sur‐Seine, la Communauté d’Agglomération Grand Paris Sud, l’Agence de l’Eau Seine‐Normandie, la Région Île‐de‐France, le Conseil Départemental de l’Essonne, s’intègre dans l’ambition d’un plan de restauration des berges de Seine, plan auquel sont associés les acteurs institutionnels et plus globalement les acteurs du territoire. En tout, le montant des travaux s’élève à 935 000 euros. ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Saintry-sur-Seine et Seine-Port », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Seine-Port » (commune de Seine-Port) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Seine-Port » (commune de Seine-Port) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. Carte des ENS de Saintry-sur-Seine sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 14/02/2013.
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saintry-sur-Seine ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 16/11/2010.
  17. « Saintry-sur-Seine », Simulateur Solidarité et renouvellement urbain (SRU), Ministère de la Transition écologique et de la cohésion sociale, (consulté le ).
  18. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  19. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  20. « Arrêté n° 2015-PREF-DRCL/ n° 950 du 14 décembre 2015 portant transformation du Syndicat d’Agglomération Nouvelle (SAN) de Sénart-en-Essonne en Communauté d’Agglomération de Sénart en Essonne », sur Préfecture de l'Essonne, (consulté le ).
  21. référence, citation ou lien
  22. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/08/2009.
  23. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/08/2009.
  24. Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 08/05/2012.
  25. Ministère de l'Intérieur, « Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  26. Ministère de l'Intérieur, « Résultats de l'élection présidentielle 2022 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  27. Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/08/2009.
  28. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/08/2009.
  29. Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/06/2012.
  30. a et b Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections législatives 2017 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  31. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/08/2009.
  32. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/08/2009.
  33. Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/10/2014.
  34. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/08/2009.
  35. Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 13/04/2010.
  36. Marie D'ornellas, « A Saintry,quatre listes en lice », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Résultats officiels pour la commune Saintry-sur-Seine
  38. a et b Sébastien Morelli, « Municipales à Saintry-sur-Seine : ambiance tendue pour le deuxième tour », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Trois listes restent en lice pour l’élection municipale. Un des candidats a préféré abandonner après l’incendie volontaire de son véhicule. Un autre évoque des menaces ».
  39. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 - Résultats par commune - Essonne (91) - Saintry-sur-Seine », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  40. Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 23/08/2009.
  41. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/08/2009.
  42. Histoire : Maires de Saintry-sur-Seine, sur saintry-sur-seine.fr
  43. Sébastien Ramnoux, « Le retour des anciens maires épinglés par la justice », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. « Hommage à l'ancien maire », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Louis Campredon, ex-élu RPR au département et à la région, disparu en avril à l'âge de 59 ans, va reposer à Saintry-sur-Seine, la commune dont il a été maire pendant seize ans ».
  45. Sébastien Morelli, « Saintry-sur-Seine : zizanie au conseil municipal, la maire à nouveau mise en minorité », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En mars dernier déjà, une partie de la majorité avait voté contre le débat d'orientation budgétaire présenté par la maire, Martine Cartau-Oury (UDI) ».
  46. Sébastien Morelli, « Le maire de Saintry-sur-Seine démissionne et dénonce « les menaces de mort, les vols, les guets-apens » », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. « Entre la municipalité et l'opposition, la tension monte à Saintry-sur-Seine », Actu essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. « Fiche du jumelage avec Polegate sur le site du ministère français des Affaires étrangères. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 09/01/2013.
  49. Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 28/09/2010.
  50. Thibaut Faussabry, « Saintry-sur-Seine ouvre sa première Maison de la Culture », 91 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. « Bureaux de poste et points de contact - SAINTRY SUR SEINE (91250) », sur localiser.laposte.fr (consulté le ).
  52. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 08/04/2009.
  53. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  54. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  56. Dictionnaire universel de la France publié en 1716
  57. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saintry-sur-Seine (91577) », (consulté le ).
  58. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
  59. Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 03/12/2009.
  60. « Mentions Légales », sur Infiny Radio (consulté le ).
  61. « Résumé statistique national sur le site de l’Insee. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 26/10/2009.
  62. « %5CCOM%5CDL_COM91577.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 20/06/2010.
  63. « %5CDL_ZE19901147.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi d'Évry sur le site de l'Insee. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 20/05/2010.
  64. Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.
  65. François Lespinasse, Robert Savary, imprimerie SIC, Lagny-sur-Marne, 1990.