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Rose-Marie Ducrot

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Rose-Marie Ducrot
Illustration.
Fonctions
Conseillère nationale

(4 ans et 1 jour)
Législature 45e
Groupe politique démocrate-chrétien (CE)
Biographie
Date de naissance (87 ans)
Lieu de naissance Fribourg
Nationalité Suisse
Enfants Vincent Ducrot

Rose-Marie Ducrot, née le à Fribourg (originaire de Montagny-les-Monts), est une personnalité politique suisse, membre du Parti démocrate-chrétien (PDC). Elle est députée du canton de Fribourg au Conseil national de 1995 à 1999.

Rose-Marie Ducrot naît le à Fribourg. Elle est originaire de Montagny-les-Monts[1]. Elle passe son enfance à Saint-Aubin, avant de déménager en Veveyse en 1961[2]. Elle travaille pendant vingt ans avec son mari, qui est vétérinaire[3],[4].

En 2001, elle est nommée médiatrice des transports publics pour la Suisse romande par l'Union suisse des transports publics[5]. De 2004 à 2010, elle est présidente de l'Association des bibliothèques fribourgeoises[6].

Son fils, Vincent Ducrot, est directeur des Chemins de fer fédéraux[7]. Son fils, Charles Ducrot, est syndic de Châtel-St-Denis depuis avril 2021[8]. Sa fille, Martine Ruggli-Ducrot, est directrice de Pharmasuisse[7].

Parcours politique

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Membre du Parti démocrate-chrétien, Rose-Marie Ducrot siège au Conseil général de Châtel-Saint-Denis de 1978 à 1986[1],[3]. En 1986, elle entre au Conseil communal[3]. Elle est la première femme à siéger au sein de l’exécutif de cette commune[9]. En 1991, elle devient syndique, succédant au socialiste Henri Liaudat. Elle conserve ce poste jusqu'en 2001[3],[4].

En 1986, elle est également élue au Grand Conseil du canton de Fribourg[3], où elle s'engage notamment pour le maintien d'un hôpital dans le district de la Veveyse[4],[9]. Elle préside le parlement cantonal en 1992[3].

Elle est par ailleurs membre de l'Assemblée constituante du canton de Fribourg et la préside en 2000[10].

En 1995, elle est élue au Conseil national, devançant son collègue de parti et conseiller national sortant Alexis Gobet[1],[11]. En 1999, elle décide de ne pas se présenter pour un second mandat[3].

Prix et distinctions

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En 2007, elle reçoit la bourgeoisie d'honneur de la commune de Mézières[12].

Notes et références

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  1. a b et c « Biographie de Rose-Marie Ducrot », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
  2. Claudine Dubois, « L'héritage s'est dilué », La Liberté,‎ , p. 31 (lire en ligne)
  3. a b c d e f et g Marie-Paule Angel, « Rose-Marie Ducrot renonce », La Gruyère,‎ , p. 9 (lire en ligne)
  4. a b et c Pierre Pauchard, « L'ascension de Rose-Marie Ducrot », L'Hebdo,‎ , p. 25 (lire en ligne)
  5. PiK, « Rose-Marie Ducrot médiatrice », La Liberté,‎ , p. 8 (lire en ligne)
  6. CS, « Nouvelle présidente pour les bibliothèques », La Liberté,‎ , p. 12 (lire en ligne)
  7. a et b « Putsch dans l'officine », Arcinfo,‎ , p. 15 (lire en ligne)
  8. « Charles Ducrot est le nouveau syndic de Châtel-Saint-Denis », La Liberté,‎ (lire en ligne)
  9. a et b Monique Durussel, « Rose-Marie Ducrot se retire après une législature: "Trop court" dit-elle », La Liberté,‎ , p. 17 (lire en ligne)
  10. C. R., « "Ce qui me motive: le service public" », La Presse Riviera Chablais,‎ , p. 6 (lire en ligne)
  11. JS, « Rose-Marie Ducrot fête son élection en toute modestie », La Liberté,‎ , p. 15 (lire en ligne)
  12. « Assemblées communales - Ca roule pour Mobul à Vuadens », La Liberté,‎ , p. 18 (lire en ligne)

Liens externes

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