Juana de Mendoza
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture |
Monastère de Santa Clara (d) |
Famille |
Maison de Mendoza (en) |
Père |
Pedro González de Mendoza (d) |
Mère |
Aldonsa de Ayala (d) |
Conjoints |
Diego Gómez Manrique de Lara (d) (de à ) Alfonso Enríquez (de à ) |
Enfants |
Juana de Mendoza née à Guadalajara en 1352 ou 1360 et morte à Palencia[1] le est une noble castillane surnommée "La Rica hembra (femme riche) de Guadalajara".
Elle est la fille de Pedro González de Mendoza, 9e Seigneur de Mendoza, et de doña Aldonsa de Ayala.
Elle se marie en premières noces à l’âge de 20 ans à Diego Gómez Manrique de Lara. De cette union naît Pedro Manrique de Lara en 1381. Elle perd son mari et son père lors de la bataille d’Aljubarrota en août 1385.
Elle épouse en secondes noces Alfonso Enríquez de Castille en 1387. Il meurt en 1429.
De ce mariage naissent 14 enfants. Alfonso eut également trois enfants illégitimes.
- Fadrique Enríquez de Mendoza (vers 1388- 1473)
- Enrique Enríquez de Mendoza
- Pedro Enríquez de Mendoza (mort enfant)
- Beatriz Enríquez de Mendoza
- Leonor Enríquez de Mendoza
- Aldonza Enríquez de Mendoza
- Isabel Enríquez de Mendoza
- Inés Enríquez de Mendoza
- Blanca Enríquez de Mendoza
- Constance Enríquez de Mendoza
- Maria Enríquez de Mendoza
- Mencia Enríquez de Mendoza
- Juan Enríquez de Mendoza
- Rodrigo Enríquez de Mendoza
Dans son testament, elle demande à être enterrée aux côtés de son époux et de plusieurs de ses enfants dans le monastère de Santa Clara de Palencia, que tous deux avaient fondé. Elle demande que deux tombes d'albâtre soient faites, plates pour les deux, et que la sienne soit deux doigts plus basse que celle de son seigneur, toutes deux sans aucune figure, ne portant que les armes d'elle et de son défunt mari, et demande également que "personne n'ose pleurer pour moi".
-
Blason de son père.
-
Blason de son second époux.
-
Tour de Mendoza
Ascendance
[modifier | modifier le code]8. Diego Hurtado de Mendoza (d) | |||||||||||||
4. Gonzalo Yáñez de Mendoza (d) | |||||||||||||
9. María de Rojas (d) | |||||||||||||
2. Pedro González de Mendoza (d) | |||||||||||||
10. Íñigo López de Orozco (d) | |||||||||||||
5. Juana de Orozco (d) | |||||||||||||
11. María Gómez de Toledo (d) | |||||||||||||
1. Juana de Mendoza | |||||||||||||
12. Pedro López de Ayala (d) | |||||||||||||
6. Fernán Pérez de Ayala (d) | |||||||||||||
13. Sancha Fernández de Barroso (d) | |||||||||||||
3. Aldonsa de Ayala (d) | |||||||||||||
14. Diego Gutierrez de Zavallos (d) | |||||||||||||
7. Elvira Álvarez de Ceballos (d) | |||||||||||||
15. Juana Garcia Carrillo (d) | |||||||||||||
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (es) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en espagnol intitulé « Juana de Mendoza » (voir la liste des auteurs).
- « Juana de Mendoza | Real Academia de la Historia », sur dbe.rah.es (consulté le )
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :