Jean Michard-Pellissier
Cet article est une ébauche concernant un homme politique français.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Pour les articles homonymes, voir Michard et Pellissier.
| Jean Michard-Pellissier | |
| |
| Fonctions | |
|---|---|
| Député français | |
| – (5 ans, 11 mois et 30 jours) |
|
| Élection | 3 mai 1936 |
| Circonscription | Hautes-Alpes |
| Législature | XVIe (Troisième République) |
| Groupe politique | GI |
| Prédécesseur | Ernest Grimaud |
| Successeur | Circonscription supprimée |
| Membre du Conseil constitutionnel | |
| – (9 ans) |
|
| Prédécesseur | Fonction créée |
| Successeur | Pierre Chatenet |
| Maire de Soulac | |
| – (6 ans) |
|
| Prédécesseur | Jean Daniel |
| Successeur | Jean Michard-Pellissier |
| Conseiller général des Hautes-Alpes | |
| – (3 ans) |
|
| Circonscription | Canton de Savines-le-Lac |
| Prédécesseur | Alphonse Catier |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Jean Lucien Victor Michard |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Gap (Hautes-Alpes) |
| Date de décès | (à 67 ans) |
| Lieu de décès | 16e arrondissement de Paris |
| Nationalité | Française |
| Profession | Avocat |
modifier  |
|
Jean Michard-Pellissier, né le à Gap (Hautes-Alpes) et mort le à Paris[1], est un homme politique français.
Biographie
[modifier | modifier le code]Docteur en droit et diplômé de l'école libre des sciences politiques, il devient avocat à la cour d'appel de Paris. Continuant sa carrière d'avocat, en parallèle de sa vie politique, il sera, en 1970 avocat de la défense lors du procès Guérini[2].
Carrière politique
[modifier | modifier le code]Jean Michard-Pellissier est élu député des Hautes-Alpes, de 1936 à 1942, après un premier mandat de conseiller général de la première circonscription de Gap. Durant son mandat, le , il vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Au début des années 1950, il se représente aux élections législatives, dans le département de la Gironde, sans toutefois les remporter. Il est, par contre, élu maire de Soulac-sur-Mer, en 1953, poste qu'il occupera jusqu'en 1959. De 1959 à 1968, il devient membre du Conseil constitutionnel de 1959 à 1968 (nommé par Jacques Chaban-Delmas). De 1965 à 1971, il sera conseiller municipal à Antibes, puis conseiller au cabinet de Jacques Chaban-Delmas, alors premier ministre[2].
Décorations
[modifier | modifier le code]
- Commandeur de la Légion d'honneur
- Grand-croix de l'ordre national du Mérite
- Chevalier de l'ordre souverain de Malte
Sources
[modifier | modifier le code]- « Jean Michard-Pellissier », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Relevé des fichiers de l'Insee
- Jean MICHARD-PELLISSIER, conseil-constitutionnel.fr.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Antibes
- Canton de Savines-le-Lac
- Conseil général des Hautes-Alpes
- Liste des députés des Hautes-Alpes
- Liste des maires de Soulac-sur-Mer
- Liste des membres du Conseil constitutionnel français
- Soulac-sur-Mer
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la vie publique :
- Base Léonore
- Chevalier de l'ordre souverain de Malte
- Commandeur de la Légion d'honneur promu en 1970
- Conseiller général des Hautes-Alpes
- Député de la seizième législature de la Troisième République
- Député des Hautes-Alpes (Troisième République)
- Grand-croix de l'ordre national du Mérite
- Maire de Soulac-sur-Mer
- Membre du Conseil constitutionnel français
- Personnalité politique liée aux Alpes-Maritimes
- Naissance en octobre 1909
- Naissance à Gap
- Décès en octobre 1976
- Décès dans le 16e arrondissement de Paris
- Décès à 67 ans