Festival de Dour
Dour Festival | |
Vue aérienne du festival | |
Genre | Alternatif |
---|---|
Lieu | Dour, Belgique |
Coordonnées | 50° 24′ 19″ nord, 3° 46′ 29″ est |
Période | Troisième semaine de juillet |
Scènes | 7 |
Capacité | 45 000 (site) ; 40 000[1] (camping) |
Date de création | 1989 |
Fondateurs | Carlo Di Antonio |
Organisateurs | Damien Dufrasne |
Site web | www.dourfestival.be |
modifier |
Le festival de Dour est un festival européen de musiques alternatives, indépendantes et multiculturelles[2] organisé par Dour Festival SA et Go Go Go! asbl[3], se déroulant chaque été en Belgique à Dour, près de Mons, durant 5 jours, sur le parc éolien de Dour, près de la frontière française en province de Hainaut.
Histoire
[modifier | modifier le code]Dour est une commune francophone de Belgique, située en région wallonne dans la province du Hainaut. Le Dour festival voit le jour en 1989 fondé par Carlo di Antonio et Marc de Fays.
En 1994, le festival met un camping à disposition[4].
Le Dour Festival a accueilli dans les années 2000 et 2010 un village associatif[5] : espace d'information et de sensibilisation aux causes ancrées dans l'actualité que défendent les associations altermondialistes et les ONG telles que Oxfam, Service volontaire international, la FGTB, etc.
En 2010, le festival de Dour fut élu « meilleur festival d'Europe »[6], face à ses concurrents d'Espagne, de Pologne, d'Allemagne, de Suisse et bien d'autres. En 2015, le festival atteint un record de fréquentation avec 228 000 festivaliers en cumulé sur les cinq jours. En 2019, le festival atteint un nouveau record avec 251 000 participants[7]. Le festival de Dour est aujourd’hui le plus grand événement musical et touristique de Belgique francophone[8].
À l'occasion de Mons 2015, le festival se déroule désormais sur cinq jours avec une soirée spéciale le mercredi. 270 artistes sont programmés sur un site occupant 100 hectares[9].
En 2020 et 2021, les éditions sont annulées à cause de la pandémie de Covid-19[10].
En 2022 le festival est précédé d'un nouvel événement démarrant le lundi, le Dour CampFest avec des soundsystems et tournois[11]. Le site passe de 120 à 170 hectares[12].
Fréquentation
[modifier | modifier le code]Dès 1993, le festival prend de l'ampleur et compte également de plus en plus de festivaliers venant d'autres pays européens[13].
En 2002, le cap des 100 000 festivaliers est franchi[14].
En 2005, le festival est complet pour la première fois[15].
En 2007, le festival affiche complet pour la première fois avant son ouverture[16].
En 2011, plusieurs jours avant son ouverture, 144 000 billets sont déjà vendus, ce qui dépasse le record des années précédentes[17]. Le festival a dû refuser 15 000 personnes par jour[18]. Parmi ces festivaliers, 32 000 ont dormi au camping avec un record d'affluence de 23 000 personnes arrivées la veille de l'ouverture.
Une étude du CRISP en 2015 fait part qu'à peine 5% des festivaliers assistent à plus de la moitié de la programmation et 40% des spectateurs en moyenne se déplacent pour un seul concert[19].
Dour est le leader des festivals en Communauté française de Belgique en termes de visiteurs[8].[réf. nécessaire]
Années | Dates | Festivaliers | Campeurs | Tarif concert + camping |
---|---|---|---|---|
1989 | 16 septembre | 2 000[14] | x | 10 €[4] |
1991 | 1 500[20] | x | ||
1993 | 9 000[20] | x | ||
1994 | 9 000[4] | |||
1995 | 7-9 juillet | 25 € | ||
1996 | 50 000[14],[20] | |||
1998 | 72 000[20] | |||
2001 | 5-8 juillet | 80 000[21] | 50 €[22] | |
2002 | 11-14 juillet | 100 000[20] | 55 €[23] | |
2004 | 120 000[20] | |||
2006 | 136 000[16] | 28 000[16] | ||
2007 | 12-15 juillet | 144 000[24] | 32 000[24] | |
2008 | 17-20 juillet | 144 000[25] | 32 000[25] | 85 €[26] |
2009 | 16-19 juillet | 144 000[20] | 30 000[27] | 85 €[28] |
2010 | 15-18 juillet | 93 €[29] | ||
2011 | 14-17 juillet | 160 000[30] | 35 000[30] | 93 €[29] |
2012 | 12-15 juillet | 148 000[31] | 32 000[31] | 100 €[32] |
2013 | 18-21 juillet | 183 000[33] | 35 000[33] | 105 €[34] |
2014 | 17-20 juillet | 195 000[35],[20] | 38 000[35] | 110 €[4] |
2015 | 15-19 juillet | 228 000[9],[20] | 35 000[9] | 120 €[36] |
2016 | 13-17 juillet | 235 000[37] | 150 €[38] | |
2017 | 12-16 juillet | 242 000[39] | 155 €[40] | |
2018 | 11-15 juillet | 228 000[39] | 40 000[41] | 150 €[42] |
2019 | 10-14 juillet | 251 000[7] | 40 000[7] | 170 €[43] |
2022 | 13-17 juillet | 223 000[12] | 240 € (195 € sans le camping)[44] | |
2023 | 12-16 juillet | 240 800[45] | 45 800[45] | 233 € (195 € sans le camping)[45] |
2024 | 17-21 juillet | (225 € sans le camping)[46] |
Les tarifs indiqués sont ceux des pass pour l'ensemble des concerts et du camping.
À partir d'au moins 2016 jusqu'en 2022 inclus, le camping fait partie du forfait. Le camping a cessé d'être inclus en 2023.
Scènes et styles musicaux représentés
[modifier | modifier le code]Chaque année le festival propose une programmation différente et internationale. Il est ouvert à tous les genres musicaux : pop, house, punk, hardcore, rock, post-rock, hip-hop, metal, indus, drum and bass, electro, R&B, reggae, ska, noise, rock indépendant ou techno. Plus de 220 groupes et DJ's se produisent sur huit scènes[47]. Elles sont réparties sur le site (deux en plein air et cinq chapiteaux), aux sonorités et aspects propres à chacune d'entre elles. Celles-ci s'animent de 14h à 4h.
Scènes | Capacité | Genre musical | Année de création |
---|---|---|---|
The Last Arena | 20 000 | Généraliste | |
De Balzaal | 15 000 | Musiques électroniques | 2011[48] |
Boombox | 9 000 | Hip-hop, Soul, RnB, Turntablism, Dub | |
La Petite Maison Dans la Prairie | 8 500 | Musique indie, sonorités innovantes et musiques de demain | ≤ 2002[49] |
Le Labo | 3 000 | Musiques expérimentales, généraliste | 2015[9] |
Dub Corner | 2 000 | Dub | 2013[50] |
Le Garage | 1 000 | Rock, métal, garage, punk | 2023[51] |
Rockamadour | 300 | Artistes locaux, collectifs, dj sets |
Jusqu'en 1993, le festival compte 1 scène[4].
En 1994, le Dour compte 32 groupes sur 3 scènes[4].
En 1996, une scène électro, en partenariat avec le Fuse fait son apparition[52].
En 2013 et 2014, le festival compte huit scènes[4].
En 2022, pour la première fois, le festival ne programme pas de métal[1].
Anciennes scènes :
- La Chaufferie, scène sous chapiteau inaugurée en 2022 pour cette seule édition et consacrée aux musiques électroniques avec une jauge de 7 500 spectateurs[53].
- Cannibale Stage qui avait disparu dans les années 2000[54], avait fait son retour en 2011 et était consacrée au métal, hardcore et punk[29].
- Caverne qui remplace la Cannibale Stage en 2017 et s'élargit avec de la musique garage et "explore une version plus large du rock dur"[52].
- Jupiler X Marquee qui disparaît en 2014 et laisse place à la scène Terril.
- Terril, apparue en 2014.
- Cubanisto Dancing, apparue en 2016 et consacrée aux artistes émergents de la musique électronique[13].
- The Red Frequency Stage, scène en plein air dans les années 2000[22] consacrée au hip hop et au ska[49].
- Cannibal Blue Stage, scène en plein air dans les années 2000[22].
- Breezer Shaker, chapiteau dans les années 2000[22].
- Magic tent, chapiteau dans les années 2000[22] destiné aux "jeunes pousses belges"[49].
- La Marmite, scène équivalente de la Magic Tent pour les artistes français[49].
- Bastard Mix Club, scène dans les années 2000 consacrée aux rythmes techno[49].
- Eastpack Core Stage, dans les années 2000[55].
Budget
[modifier | modifier le code]En 2006, le budget est de 2 millions d'euros dont 900 000 pour la programmation[16].
En 2008, le festival est subventionné de 120 000 euros sur un budget de 4 millions[56].
En 2010, il est de 3 millions d'euros, le tiers de ce chiffre étant réservé à la programmation[57].
En 2015, le festival reçoit la subvention de la Fédération Wallonie-Bruxelles à hauteur de 100 000€ et le budget est de 4 millions d'euros[19].
En 2017, le budget consacré à la programmation est estimé entre 2 et 2,5 millions d'euros[58].
En 2018, le budget est de 13 millions d'euros[41].
Programmation
[modifier | modifier le code]En 1994, le Dour festival accueille le célèbre groupe Public Enemy.
En 1996, Iggy Pop est la tête d'affiche. Ministry, The Young Gods, Asian Dub Foundation et Patrick Juvet sont de la partie.
En 2000, le Dour festival accueille notamment Laika (groupe), Echo Boy, Natacha Tertone, Tahiti 80, Cornu (groupe) ou encore Damien Saez[59].
En 2005, au Dour Festival, on peut voir Mickey 3D et Sinik.
En 2014, le festival accueille les Kaiser Chiefs, Phoenix, Paul Kalkbrenner, Nas et Within Temptation.
En 2015, le festival accueille les 2manydjs, Snoop Dogg, CocoRosie, C2C, Starflam, Loforora, Sun O))), Agnostic Front, BRNS, La Smala, Little X Monkeys, Tiken Jah Fakoly, Kid Francescoli, Meridian Brothers, Gojira, Great Mountain Fire, Alaska Gold Rush[60]...
En 2016, le festival accueille notamment : Birdy Nam Nam, Boris Brejcha, Boys Noize, Danakil, Étienne de Crécy, Fakear, Four Tet, Gramatik, Len Faki, Maceo Plex, Mobb Deep, Mr Oizo, N'to, Netsky, Oxmo Puccino, Richie Hawtin, Salut c'est cool, Seth Gueko, Stand High Patrol, The Prodigy, Wiz Khalifa[61]...
En 2017, les artistes suivants ont notamment été présents[62] : A-Trak, Alkpote, Atomic Spliff, Caballero & Jeanjass, Carl Craig, Damso, De La Soul, Die Antwoord, Dubfire, Gucci Mane, Justice, Kaaris & Kalash Criminel, Metronomy, Nas, Noisia, Panda Dub, Pendulum, PNL, Rendez-Vous, Sam Paganini, Sch, Stand High Patrol, $uicideboy$, Vald...
En 2018, le festival a pu accueillir alt-J, Odesza, Hugo TSR, Amelie Lens, Ben Klock, Ben UFO, Joey Bada$$, Tyler, The Creator, Black Sun Empire, Girls in Hawaii, Ho99o9, Mura Masa, I Hate Models, Nils Frahm, Paul Kalkbrenner ....
En 2019, Dour Festival a accueilli Rezz, Schoolboy Q, Laurent Garnier, Metronomy, Skepta, Moha La Squale, Action Bronson, Nina Kraviz, Rae Sremmurd, Damso, Charlotte Adigéry, Bonobo, Battles, Cypress Hill, Roméo Elvis, Salut c'est cool, Vald, Disclosure, Youssoupha, Orelsan...
Partenaires
[modifier | modifier le code]Le Dour festival possède de nombreux partenaires , tel que des partenaires institutionnels : "fédération Wallonie-Bruxelles culture" , "avec le soutien de la Wallonie" , "Service public de Wallonie", et bien d'autres. Mais aussi un partenaire média comme Proximus. Le festival compte aussi la participation de Coca Cola, Jupiler, Win for Life, Hello Bank! et Red Bull comme sponsors.
Kids festival
[modifier | modifier le code]Le kids festival est un festival, d'une journée, organisé pour les enfants quelques jours avant Le Dour festival.
Il voit le jour en 2005 avec notamment la participation de Jenifer, Kinito, Wallen, Willy Denzey, et Papi Sánchez.
En 2006, Amel Bent et M. Pokora.
En 2007, le Kids festival change de nom et prend celui du "festival des trois terrils". Pascal Obispo et Michaël Youn sont en tête d'affiche.
En 2008, le festival est annulé, Christophe Maé ayant annulé sa venue.
En 2009, le festival reprend, avec cette fois ci en tête d'affiche Raphael.
Le festival devait se faire une année sur deux mais faute de moyens, le festival n'aura plus lieu.
Bruxelles Mon Amour
[modifier | modifier le code]En 2016, une soirée de retrouvailles avec la communauté des festivaliers de Dour est organisée à Bruxelles, le 29 octobre, pour retrouver l’ambiance des nuits du festival. Y étaient programmés une dizaine de DJ sur deux scènes dont Carl Craig, Apollonia, Jackmaster, N’to, Pional, Pierre, Cleveland, Amelie Lens et Weval[63].
Enregistrement
[modifier | modifier le code]Caballero & JeanJass avec Roméo Elvis - Vrai ou Faux (clip)[64]
Documentaire
[modifier | modifier le code]Vincent Philippart - From Toilets to Stages[65]
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Laurent Decotte, « Le festival de Dour renaît en juillet : «C’est notre vie, c’est même un way of life» », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- « Dour Festival / Un des festivals les plus éclectiques de Belgique », sur tourisme.be (consulté le ).
- « A propos | Dour Festival 2023 | 12+13+14+15+16 July », sur dourfestival.eu (consulté le ).
- « Dour, pays de découvertes », sur La Libre, (consulté le ).
- Robin Sanna, « La sensibilisation s’associe à la fête », sur La DH Les Sports+, (consulté le ).
- "Meilleur festival d'Europe"
- « Dour 2019 - Le festival bat un record de fréquentation avec 251.000 festivaliers », sur rtbf, (consulté le ).
- « Dour Festival | Portail de la Wallonie », sur wallonie.be (consulté le ).
- « Dour 2015 - Edition record avec 228.000 festivaliers et 270 groupes et artistes », sur RTL Info, (consulté le ).
- Luc Lorfèvre, « Un deuxième été sans festival », sur Magazine Moustique, (consulté le ).
- « "DOUREUUUH" is back ! Avec un tout nouvel évènement : le "Dour CampFest" », sur rtbf, (consulté le ).
- « Le Dour festival (B), c’est fini: le bilan complet de l’édition 2022 », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- Ugo Petropoulos, « Le Dour Festival prend forme: le point sur les nouveautés en 2016 », sur L'avenir, (consulté le ).
- « 220.000 festivaliers, 40.000 campeurs, 1.000 policiers: les chiffres impressionnants du Dour Festival », sur RTL Info, (consulté le ).
- Déborah Laurent, « 33.000 personnes et une belle surprise », sur La DH Les Sports+, (consulté le ).
- F.-X.G., « Dour, une grande famille bien huilée », sur La Libre Belgique, (consulté le ).
- « Record battu pour le Dour Festival », sur 7sur7, (consulté le ).
- (Sud Presse, 17 juillet 2007)
- Antonin Marsac, « Dour ratisse judicieusement large », sur L'Écho, (consulté le ).
- Caroline Tichon, « Le 29e Dour Festival en cinq nouveautés », sur La DH Les Sports+, (consulté le ).
- Luc Lorfèvre, « Les bonnes notes de Dour », sur La DH Les Sports+, (consulté le ).
- L.L., « Focus sur Dour Festival », sur La DH Les Sports+, (consulté le ).
- Service Rock, « Le festival de la semaine : Dour Festival (Belgique) », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
- « 144.000 personnes au Dour Festival 2007 », sur RTL Belgium, (consulté le ).
- « Beau succès pour les Francofolies et Dour », sur Rtbf, (consulté le ).
- Thibaut Allemand, « Dour Festival », Magazine Let's Motiv, no 32,
- « Déjà 15.000 campeurs au Dour Festival », sur rtbf, (consulté le ).
- Sébastien Cools, « La finale du championnat national d'air guitar au Dour Festival », sur 7sur7, (consulté le ).
- « 23ème Festival de Dour 2011 : les tickets sont en vente », sur rtbf, (consulté le ).
- « 160.000 festivaliers ont participé au Festival de Dour », sur rtbf, (consulté le ).
- « Dour Festival - La 25e édition du Festival de Dour a débuté sous le soleil », sur rtbf, (consulté le ).
- Thibaut Allemand, « Festival de Dour », Magazine Let's Motiv, no 76,
- Nicolas Capart, « On y est: Dour Festival », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
- Thibaut Allemand et Maine Duquesnoy, « Dour Festival », Magazine Let's Motiv, no 87,
- La Libre, « Le Dour de la question », (consulté le ).
- Thibaut Allemand, « Dour Festival », Magazine Let's Motiv, no 109,
- Manon Michel, « Dour Festival : 37 nouveaux noms annoncés ! », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
- Sébastien Cools, « L'affiche du Dour Festival est complète », sur 7sur7, (consulté le ).
- « Dour Festival 2018 : une 30ème édition à succès », sur Rolling Stone, (consulté le ).
- « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le Dour Festival », sur rtbf, (consulté le ).
- « 228.200 festivaliers pour l'édition 2018 de Dour », sur rtbf, (consulté le ).
- « Pourquoi les Rennais vont au Dour festival ? », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Thibaut Allemand, « Dour Festival Bon Vent », sur Let's Motiv, (consulté le ).
- « archive site du festival en 2022 ».
- Laurent Decotte, « Nos festivals d’été : Dour a renoué avec ses bases et relancé son mythe », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- « Dour Festival FAQ », sur web.archive.org (consulté le )
- « Scènes Dour Festival 2016 », sur dourfestival.eu (consulté le ).
- « 10 grands moments électroniques des 30 éditions du Dour Festival », sur Mixmag, (consulté le ).
- Nicolas Gros-Verheyde, « 14e Festival de Dour », sur RFI, (consulté le ).
- Juliette Geenens, « La scène dub en 2017 ça donne quoi ? Réponse au festival de Dour », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
- Mathieu David, « Dour Festival : le programme de la scène garage », sur Rolling Stone, (consulté le ).
- Clémence Meunier, « On a discuté avec les programmateurs de Dour… Et ils vous offrent votre pass cinq jours ! », sur Tsugi, (consulté le ).
- Cécile Giraud, « Dour 2022 : Charlotte Adigéry, Logic 1000, Mika Oki et Squarepusher rejoignent la programmation dantesque », sur Trax, (consulté le ).
- Olivier Clairquin, « Dour Festival », Let's Motiv, no 65, , p. 52 (lire en ligne)
- Robin Renard et Jérémie Malengreaux, « Grand succès pour le 20ème festival de Dour », sur 20 Minutes, (consulté le ).
- Carlo di Antonio, interview par Julien Broquet, Dour : le grand entretien, Le Soir, (consulté le ).
- Sebastian Brzyski, « Dour Festival », Magazine Let'smotiv, no 54, , p. 62 (lire en ligne)
- Clément Bacq, « Comment Dour est devenu le tube de l'été », sur L'Écho, (consulté le ).
- (en-US) « HISTORY - Dour Festival 2024 | 17+18+19+20+21 July », sur dourfestival.eu (consulté le ).
- « Historique | Dour Festival 2015 », sur dourfestival.eu (consulté le ).
- « Programme 2016 », sur dourfestival.eu (consulté le ).
- « Programme | Dour Festival 2017 | 12+13+14+15+16 July », sur dourfestival.eu (consulté le ).
- Paul Brinio, « Le Dour Festival prépare une énorme fête de 10 heures à Bruxelles », sur Trax, (consulté le ).
- Maxime de Abreu, « Caballero, JeanJass et Roméo Elvis réunis dans le clip de « Vrai ou faux » », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
- « From Toilets to Stages, le documentaire dans les coulisses de Dour », sur Focus Vif, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Nicolas Roubaud : Stratégie de positionnement d'un festival de musique rock : Dour music festival. Mémoire de licence Espo en Administration et gestion, Ucl-Université Catholique de Louvain (Belgique), 1992, 242 p. en 2 volumes.