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Esches

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Esches
Esches
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC des Sablons
Maire
Mandat
Denis Vanhoutte
2020-2026
Code postal 60110
Code commune 60218
Démographie
Gentilé Eschois, Eschoises
Population
municipale
1 643 hab. (2021 en évolution de +6,48 % par rapport à 2015)
Densité 214 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 08″ nord, 2° 09′ 58″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 142 m
Superficie 7,69 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Méru
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Esches
Géolocalisation sur la carte : France
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Esches
Liens
Site web https://www.esches.fr/

Esches est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Description

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Esches et un bourg périurbain du Pays de Thelle, au sud-est du Pays de Nacre[Note 1] dans l'Oise, limitrophe à l'est de Méru et situé à 42 km au nord-ouest de Paris, 28 km au nord-est de Magny-en-Vexin ou de Gisors, 23 km au sud de Beauvais et 23 kù à l'ouest de Creil.

Le bourg est structuré le long de l'ancienne route nationale 323 (actuelle RD 923) qui relie Chambly (Oise) à Gisors. Le sud-ouest du territoire communal est tangenté par l'Autoroute A16 dont la sortie Amblainville dessert la commune.

En 1837, Louis Graves indiquait « Le territoire fort allongé du nord au midi, est traversé par un large ravin qui descend jusqu'au ruisseau de Méri. Le chef-lieu placé au bas dé ce ravin, ne comprend qu'un petit nombre de maisons mêlées de jardins et de plantations[1] ».

Communes limitrophes

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La commune est limitrophe de Méru, Amblainville, Bornel, Mortefontaine-en-Thelle, Andeville.

Communes limitrophes d’Esches
Andeville Mortefontaine-en-Thelle
Méru Esches
Amblainville Bornel

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Esches et le cours d'eau 01 de la Chenevière[2],[3],[Carte 1].

L'Esches, d'une longueur de 20 km, prend sa source dans la commune de Méru et se jette dans l'Oise à Persan, après avoir traversé six communes[4]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Esches sont données par la station hydrologique située sur la commune de Bornel. Le débit moyen mensuel est de 0,66 m3/s[Note 2]. Le débit moyen journalier maximum est de 4,05 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 7,51 m3/s, atteint le même jour[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Esches[Note 3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 19 km à vol d'oiseau[8], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Esches est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,4 %), forêts (19,2 %), zones urbanisées (7,3 %), prairies (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Les hameaux d'Esches sont : Liécourt, Lalande, Harbonnières et Vignoru[14].

Habitat et logement

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En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 554, alors qu'il était de 495 en 2014 et de 432 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 95,1 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 3,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Esches en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) inférieure à celle du département (2,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,1 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Esches en 2019.
Typologie Esches[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 95,1 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,8 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 3,1 7,1 8,2

Voies de communication et transports

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La gare.

La commune dispose de la gare d'Esches, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et de Beauvais.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6110, 6121, 6131, 6132, 6134 et 6138 du réseau interurbain de l'Oise[15].

La localité a été désignée comme Leiches, Esche, Hesches , Leche (Haseca)[1]

Du gaulois esca-, -isca « eau »[16].

On pense , généralement , que le ruisseau l'Esches (première mention sus lesche en 1303[17]) a donné son nom à la localité[18].

Des épées, des glaives, des poteries et divers objets ont été trouvées au XVIIIe siècle à Buchy, un lieu-dit de la commune[19].

Un château fort entouré de douves se trouvait à l'emplacement du château actuel[20].

Le seigneur avait haute, moyenne et basse justice[1].

Temps modernes

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Eiches est. des lieux du Beauvaisis imposés comme résidence aux huguenots chassés de Beauvais vers 1580[1]

Époque contemporaine

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L'énergie motrice de la rivière Esche est utilisée par un moulin pour fabriquer au XIXe et au début du XXe siècle des boutons ainsi que des objets de tabletterie de nacre[20].

En 1837, Louis Graves indique que la population du chef-lieu est exclusivement agricole. Celle des hameaux fournit des ouvriers en tabletterie[1].

Politique et administration

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L'ancienne mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de l'Oise.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Méru[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 20 à 16 communes.

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté de communes des Sablons, créée en 2000 et qui succédait au district des Sablons initialement dédié au développement économique.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1962[22]   Charles Jery    
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 juin 2000 Jean Ranger[23] DVG Professeur à Sciences politiques
Démissionnaire
juin 2000[24] En cours
(au 2 décembre 2021)
Denis Vanhoutte   Technicien commercial
Vice-président de la CC des Sablons (2014 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[25]

Équipements et services publics

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Enseignement

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À Esches, il y a deux écoles : l'école du Parc (maternelle) et l'école du Moulin (primaire)[26].

Démographie

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Les habitants d'Esches sont les Eschois[27].

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 1 643 habitants[Note 5], en évolution de +6,48 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
240272318352334357335346366
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
335351295316305299295304290
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
311359358301294289274271335
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4475996225998281 0711 1041 2031 255
2014 2019 2021 - - - - - -
1 4871 6101 643------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Esches et Méru se partagent le parc d'activités Méressan d'une superficie de 93 hectares[réf. nécessaire].

Culture locale et monuments

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Rémi, rue Nationale, datant du XIIe siècle et située en contrebas d'une ancienne motte castrale, reconstruite en 1789.
    Le chœur de deux travées à chevet date des années 1140 et était initialement voûté d'ogives. Son mur est refait à la fin du XIIe siècle et l'ensemble est pressque totalement repris au XVIe siècle.
    La nef est également remaniée; voire reconstruite, à la même époque.
    Au XIXe siècle est réalisée la façade en briques et pierres de style néogothique, ainsi que la chapelle au nord de la première travée du chœur
    Elle a été restaurée de 2002 à 2007 par l'intercommunalité[31],[32], .
  • La chapelle Saint-Hubert à Lalande.
  • Le château du XVIIIe siècle construit par le marquis de Hamecourt, et qui est devenu la mairie d'Esches[33].

Personnalités liées à la commune

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  • Le pionnier de la télévision française Claude Santelli (1923-2001) a habité une trentaine d'années à Esches et y est inhumé[34],[35].

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La dénomination de Pays de Nacre rappelle l'histoire industrielle de ce secteur du sud de l'Oise, qui, au XIXe siècle, s'était spécialisé dans le travail de la nacre afin de réaliser des objets d'objets de tabletterie en utilisant la force motrice de ses petites rivières.
  2. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:06 TU à partir des 406 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/03/1988 au 01/06/2024.
  3. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Esches » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Esches » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Esches - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Esches - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a b c d et e Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Méru, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 47-49, sur Google Livres.
  2. Sandre, « le cours d'eau 01 de la Chenevière »
  3. « Fiche communale d'Esches », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  4. Sandre, « l'Esches »
  5. « Station hydrométrique L'Esches à Bornel », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Esches et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Esches », sur cc-sablons.com (consulté le ).
  15. « Transports en commun à Esches », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 115.
  17. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 198.
  18. Maurice Lebègue, Les Noms des communes du département de l'Oise, Musée de Picardie, , p. 88.
  19. « Esches sur la CC », Communauté de communes des Sablons (consulté le ).
  20. a et b « Esches », La Destination > Nos communes et églises /, sur tourisme-vexin-nacre.fr (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « Les maires de Esches », sur francegenweb.org (consulté le ).
  23. « Décès de Jean Ranger, l'ancien maire d'Esches », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean Ranger, ancien maire d'Esches, est décédé hier à l'âge de 78 ans. Elu pendant plus de vingt-cinq ans, il a été maire jusqu'en 2000, date à laquelle Denis Vanhoutte lui a succédé ».
  24. Patrick Caffin, « Denis Vanhoutte élu maire contre son père », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il a été élu vendredi soir au premier tour à la quasi-unanimité puisqu'il a récolté 14 voix sur 15 (un bulletin nul). Les conseillers municipaux ont suivi la volonté de l'ancien maire, Jean Ranger, qui avait désigné son dauphin en janvier dernier lors de l'annonce de sa démission ».
  25. Philippe Delattre, « Esches : un 4e mandat de maire pour Denis Vanhoutte », L'Écho du Thelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul à présenter une liste lors du premier tour des municipales, il avait donc remporté haut-la-main 100 % des suffrages ».
  26. « Écoles », sur Mairie de Exches (consulté le ).
  27. « Esches », sur habitants.fr (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Visite virtuelle Église Saint-Rémi d'Esches », Nos communes et églises > Esches, sur tourisme-vexin-nacre.fr (consulté le ).
  32. Dominique Vermand, « Esches, église Saint-Rémi : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  33. « Église Saint-Rémi d'Esches », sur cc-sablons.com (consulté le ).
  34. Sandrine Raffin, « Il vécut trente-huit ans à Esches : Un vibrant hommage à Claude Santelli », L'Écho du Thelle, no 742,‎ , p. 4 « C'est donc à Esches qu'il vécut de 1963 à 2001. Pendant 38 ans, il a partagé la vie du village, offrant des livres aux écoliers à Noël, participant à la tombola de la kermesse, et venant même tourner le film « Milo mon amour » à Esches et Anserville, avec pour figurants des habitants, comme Marie-Hélène Piocelle, l'épouse de Pascal, président de l'association THEME (Tradition Mémoire et Histoire de Esches) ».
  35. Patrick Caffin, « Esches : Le bel hommage rendu au réalisateur Claude Santelli : Pendant 40 ans, le réalisateur, pionnier de la télévision, a résidé à Esches jusqu'à son décès en 2001 », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).