Art
L'art (du latin ars, artis « habileté, métier, connaissance technique ») est une activité humaine, le produit de cette activité ou l'idée que l'on s'en fait, consistant à arranger entre eux divers éléments en s'adressant délibérément aux sens, aux émotions et à l'intellect.
A classer
modifier- Ce n’est pas une affirmation de l’auteur, Marthe Robert résume la position de Kafka dans sa nouvelle Joséphine la cantatrice
- Livre de lectures, Marthe Robert, éd. Grasset, 1977 (ISBN 978-2246004370), p. 31
- Nouveaux essais de critique et d'histoire, Hippolyte Taine, éd. Hachette, 1865, p. 152
Cinéma
modifier- (fr) « Lav Diaz : Les très riches heures », Jeu de Paume (dossier de presse), Jeu de Paume, 2015 (lire en ligne)
- (fr) « Lav Diaz : "La dévastation fait partie de notre psyché" », Élise Domenach, Débordements, 2018-08-10 (lire en ligne)
L'art nous fait appréhender le réel à travers une expérience subjective. Avec la science, la connaissance de l'univers évolue d'étape en étape, comme si elle gravissait les degrés d'un escalier sans fin, chacune réfutant souvent celle qui l'a précédée, au nom de vérités particulières objectives. En art, la connaissance est toujours une vision nouvelle et unique de l'univers, un hiéroglyphe de la vérité absolue. Elle est reçue comme une révélation, ou un désir spontané et brûlant d'appréhender intuitivement toutes les lois qui régissent le monde : sa beauté et sa laideur, sa douceur et sa cruauté, son infinité et ses limites.
- Le Temps scellé, Andreï Tarkovski (trad. Anne Kichilov et Charles H. De Brantes), éd. Philippe Rey, 2014 (ISBN 978-2-84876-384-2), p. 48
L'art existe et s'affirme là où il y a une soif insatiable pour le spirituel, l'idéal. Une soif qui rassemble tous les êtres humains. L'art contemporain a fait fausse route quand il a remplacé la quête du sens de la vie par l'affirmation de l'individualité pour elle-même. Cette prétendue création prend un air suspect avec sa proclamation de la valeur intrinsèque de l'acte personnel. Car l'individualisme ne s'affirme pas dans la création artistique. Elle est au service de l'idéal. L'artiste est un serviteur, éternellement redevable du don qu'il a reçu comme par miracle.
- Le Temps scellé, Andreï Tarkovski (trad. Anne Kichilov et Charles H. De Brantes), éd. Philippe Rey, 2014 (ISBN 978-2-84876-384-2), p. 49
La fonction de l'art n'est pas, comme le croient même certains artistes, d'imposer des idées ou de servir d'exemple. Elle est de préparer l'homme à sa mort, de labourer et d'irriguer son âme, et de la rendre capable de se retourner vers le bien.
- Le Temps scellé, Andreï Tarkovski (trad. Anne Kichilov et Charles H. De Brantes), éd. Philippe Rey, 2014 (ISBN 978-2-84876-384-2), p. 55
Enseignement
modifierCours de littérature européenne
modifierVladimir Nabokov, Littératures, 1941-1958
modifier- Littératures (1980), Vladimir Nabokov (trad. Hélène Pasquier), éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2010, partie Littératures I, Bons lecteurs et bons écrivains, p. 36
Littérature
modifierCorrespondance
modifierFranz Liszt, Lettres d'un bachelier ès musique, 1838
modifier- Lettres d'un bachelier ès musique, Franz Liszt, éd. Le Castor Astral, 1991, p. 134, Lettre IX : Le Persée de Benvenuto Cellini, Florence le 30 nov.1838
- Citation choisie pour le 17 juin 2011.
Critique
modifierÉmile Zola, Mes haines, 1866
modifier- Mes haines (1866), Émile Zola, éd. Charpentier, 1879, chap. « M.H. Taine, artiste », p. 229
- Citation choisie pour le 31 octobre 2011.
Octave Mirbeau, Combats littéraires, 1889
modifier- « La Comédie de la gloire », L’Écho de Paris, 3 mai 1889
- Combats littéraires, Octave Mirbeau, éd. L’Âge d’Homme, 2006, p. 287-288
- Lettre du 18 août 1917 à André Breton
- Lettres de guerre, Jacques Vaché, éd. Mille et une nuits, 2001 (ISBN 2-84205-599-3), p. 37
Philippe Djian, Lent dehors, 1991
modifierL'art n'effraie plus personne, aujourd'hui, tu n'as plus besoin d'être enragé pour te faire entendre.
- Lent dehors (1991), Philippe Djian, éd. Folio, 1993, p. 289
Philippe Berthier, Chateaubriand — Europe n°775-776, 1993
modifier- Il est ici question de Chateaubriand et de son incarcération.
- « Les prisons du poète », Philippe Berthier, Chateaubriand — Revue Littéraire Europe (ISSN 0014-2751), nº 775-776, Novembre-décembre 1993, p. 70
Hans Peter Lund, Chateaubriand — Europe n°775-776, 1993
modifier- « Aux origines des Mémoires d'Outre-tombe — Les beaux arts et le Voyage en Italie », Hans Peter Lund, Chateaubriand — Revue Littéraire Europe (ISSN 0014-2751), nº 775-776, Novembre-décembre 1993, p. 82
Cécile Guilbert, Les ruses du professeur Nabokov, 2010
modifier- Littératures (1980), Vladimir Nabokov, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2010, Préface de Cécile Guilbert — Les ruses du professeur Nabokov, p. VIII
- Littératures (1980), Vladimir Nabokov, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2010, Préface de Cécile Guilbert — Les ruses du professeur Nabokov, p. XXX
Essai
modifierHuysmans et son dernier Livre
- Sur la tombe de Huysmans, Léon Bloy, éd. Paris, coll. « Collection des Curiosités littéraires », 1913, Avant la Conversion : Huysmans et son dernier Livre, p. 26
François Cheng, Cinq méditations sur la beauté, 2006
modifierJusqu’au début du XXe siècle, la création artistique fut placée sous le signe du beau. Les canons de la beauté pouvaient se modifier suivant les époques, le propos de l’art demeurait le même : célébrer la beauté, la révéler, créer du beau. Vers la fin du XIXe siècle déjà, et tout au long du XXe siècle, plusieurs facteurs se sont conjugués pour changer cette donne : la laideur des grandes villes, résultat de l’industrialisation forcenée, la conscience d’une « modernité » basée sur l’idée de « la mort de Dieu », l’effondrement de l’humanisme provoqué par les successives tragédies au niveau planétaire. Tous ces éléments ont bouleversé la conception traditionnelle de l’art, lequel ne se limite plus à l’exaltation d’un beau reconnu comme tel.
- Cinq méditations sur la beauté (2006), François Cheng, éd. Albin Michel, 2017 (ISBN 978-2-226-40042-0), p. 119
Par une sorte d’expressionnisme généralisé, la création artistique, à l’instar de la littérature qui a connu un éveil plus tôt, entend avoir affaire à toute la réalité des vivants et à tout l’imaginaire de l’homme. N’ayant plus pour seule visée le beau, sauf sur le plan stylistique, elle n’hésite pas à avoir recours aux ruptures et aux déformations les plus extrêmes.
- Cinq méditations sur la beauté (2006), François Cheng, éd. Albin Michel, 2017 (ISBN 978-2-226-40042-0), p. 119, 120
Quant à la finalité du beau, du moins celui que produit l’art – un art qui, de fait, tire son essence de la beauté contenue dans la Nature -, l’homme chinois de la haute époque ne doute pas que là se trouve la vie la plus vraie que le destin terrestre permette de rejoindre. La finalité de la beauté artistique en son état le plus élevé est plus que plaisir esthétique ; elle est de donner à vivre. Le grand peintre Guo Xi, du XIe siècle, ne disait-il pas que « nombre de tableaux sont là pour être regardés, mais les meilleurs sont ceux qui offrent l’espace médiumnique pour qu’on puisse y séjourner indéfiniment » ? En ce séjour d’un autre ordre, le mouvement signifie réintégrer l’Invisible.
- Cinq méditations sur la beauté (2006), François Cheng, éd. Albin Michel, 2017 (ISBN 978-2-226-40042-0), p. 143, 144
Gilbert Keith Chesterton, À bâtons rompus, propos débridés, 2010
modifierLes anciens esthètes avaient coutume d'expliquer que l'Art est amoral plutôt qu'immoral. Il serait plus vrai de dire que l'Art peut être immoral mais qu'il ne peut être amoral. Une comédie amorale cesse rapidement d'être comique.
- À bâtons rompus, propos débridés, Gilbert Keith Chesterton (trad. Maurice Le Péchoux), éd. L'Age d'Homme, 2010 (ISBN 978-2-8251-4011-6), chap. XXX, à propos de l'esprit comique, p. 152, 153
Emil Cioran, Syllogismes de l'amertume, 1952
modifierUne civilisation qui commença par les cathédrales devait finir par l'hermétisme de la schizophrénie.
- Syllogismes de l'amertume (1952), Emil Cioran, éd. Gallimard, coll. « Folio, essais », 2012, p. 14
Jean Clair, L'hiver de la culture, 2011
modifierL'art moderne s'y emploiera, en instaurant la tyrannie d'un novum qui ne connaît pas d'origine et qui, en tuant le père, tue le patriarche, celui qui, au sens propre du nom, est l'arché, le pont vers la tradition que le Père incarne. L'artiste, seul est premier, ne supporte pas de géniteur. Né de rien et capable de tout. Caïn triomphe d'Abraham. Le premier des meurtriers est aussi le premier des artistes, en même temps que le premier des hommes.
Charles Dantzig, Dictionnaire égoïste de la littérature française, 2005
modifierLe beau est une paresse.
- Dictionnaire égoïste de la littérature française, Charles Dantzig, éd. Grasset, 2005, p. 84
- Dictionnaire égoïste de la littérature française, Charles Dantzig, éd. Grasset, 2005, p. 175
- Dictionnaire égoïste de la littérature française, Charles Dantzig, éd. Grasset, 2005, p. 391
Albert Camus, Le Mythe de Sisyphe, 1942
modifier- Le Mythe de Sisyphe, Albert Camus, éd. Gallimard, 1994 (ISBN 2-07-032288-2), p. 134 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Jean d'Ormesson, Guide des égarés, 2016
modifierUne bonne partie, et la plus bruyante, de l'art d'aujourd'hui s'est détournée de la beauté. Une œuvre d'art a encore le droit d'être belle. Elle peut aussi nourrir des ambitions différentes. Au lendemain de deux guerres mondiales et de la crise économique, avec les progrès de la science et la crainte de l'avenir, après Rimbaud, Joyce, Picasso, Charlie Chaplin d'un côté, Barnum, la radio, le cinéma, la télévision de l'autre, le rejet, le combat, la fureur, une éthique parfois inversée ont pris la place de l'admiration, inséparable de la beauté. Les médias et l'argent ont détrôné la reconnaissance par les pairs et la gloire. Les metteurs en scène l'ont emporté sur les auteurs. Le commentaire sociologique s'est emparé de l'art.
- Guide des égarés, Jean d'Ormesson, éd. Gallimard, coll. « nrf », 2016 (ISBN 978-2-07-269436-3), p. 90
Paul Valéry, Cahiers, Tome II
modifier- Cahiers, Tome II, Paul Valéry, éd. Bibliothèque de la Pléiade, 1974, p. 925
Manifeste
modifierTristan Tzara, in Dada n°3, 1918
modifier- Les surréalistes — Une génération entre le rêve et l'action (1991), Jean-Luc Rispail, éd. Gallimard, coll. « Découverte Gallimard Littérature », 2000 (ISBN 2-07-053140-6), chap. Témoignages et documents, Dada, 3 décembre 1918, p. 130
André Breton, in La Révolution surréaliste n°9-10, 1927
modifier- Les surréalistes — Une génération entre le rêve et l'action (1991), Jean-Luc Rispail, éd. Gallimard, coll. « Découverte Gallimard Littérature », 2000 (ISBN 2-07-053140-6), chap. Témoignages et documents, André Breton, in La Révolution surréaliste, n°9-10, p. 191
Poésie
modifierRobert Desnos, Rrose Sélavy, 1922
modifier- Cette citation provient d'une revue dirigée par André Breton.
- « Rrose Sélavy », Robert Desnos, Littérature Nouvelle Série, nº 7, Décembre 1922, p. 19
- Cette citation provient d'une revue dirigée par André Breton.
- « Rrose Sélavy », Robert Desnos, Littérature Nouvelle Série, nº 7, Décembre 1922, p. 22
Jim Morrison, Les Seigneurs, 1969
modifier- (en) It is wrong to assume that art needs the spectator in order to be. The film runs on without any eyes. The spectator cannot exist without it. It insures his existence.
- Seigneurs et Nouvelles Créatures, Jim Morrison (trad. Yves Buin et Richelle Dassin), éd. 10-18, 1988 (ISBN 2-264-00861-X), p. 132-133 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Poésie critique
modifierJean Cocteau, Le Coq et l'Arlequin — Notes autour de la musique, 1918
modifierUn artiste qui recule ne trahit pas. Il se trahit.
- Le Coq et l'Arlequin, Jean Cocteau, éd. Ed. De la Sirène, 1918, p. 14
- Le Coq et l'Arlequin, Jean Cocteau, éd. Ed. De la Sirène, 1918, p. 18
- Le Coq et l'Arlequin, Jean Cocteau, éd. Ed. De la Sirène, 1918, p. 34
Roman
modifierCharles Robert Maturin, Melmoth — L'homme errant, 1820
modifier- Melmoth — L'homme errant (1820), Charles Robert Maturin (trad. Jacqueline Marc-Chadourne), éd. Phébus, coll. « Libretto », 1996 (ISBN 978-2-85-940553-3), Récit de l'Espagnol, p. 121
Gabriele D'Annunzio, Le Feu, 1900
modifier- Le Feu, Gabriele D'Annunzio, éd. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'épiphanie du feu, p. 13
- L'Amour fou, André Breton, éd. Gallimard, 1976 (ISBN 978-2070367238), p. 16 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
André Pieyre de Mandiargues, La Marge, 1967
modifier- La Marge, André Pieyre de Mandiargues, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1967 (ISBN 2-07-037294-4), chap. III, p. 141
Henri Thomas, Le Goût de l’éternel, 1990
modifier
Anne F. Garréta, La Décomposition, 1999
modifier- La Décomposition, Anne F. Garréta, éd. Grasset (Le Livre de Poche), 1999, p. 23
Anne Calife sous le nom de Anne Colmerauer, La déferlante, 2003
modifier- La déferlante, Anne Calife, éd. Balland,2003, réédition Menthol House, 2003 (ISBN 2-7158-1436-4), p. 58
Pétales, tiges, racines, sculptés, moulés, forgés, dans la pierre, le verre, le métal. L’École de Nancy : une formidable rébellion de l’Art contre la guerre. Une éclosion de corolles contre l’annexion … Oh ,ces bulbes, ces rondeurs, tandis que nos soldats ventres ouverts, se vidaient dans les tranchées …
Si la guerre doit avoir une Beauté, peut-être serait-ce cette dure spontanéité, la loyauté de sa violence. Oui, comme cet Art qui avait réussi à reproduire la souplesse végétale dans le roc.- La déferlante, Anne Calife, éd. Balland,2003, réédition Menthol House, 2003 (ISBN 2-7158-1436-4), p. 54
Alexandre Najjar, Kadicha, 2011
modifier- Kadicha, Alexandre Najjar, éd. Plon, 2011, p. 218
Récit
modifierErnest Hemingway, Mort dans l'après-midi, 1938
modifier- Mort dans l'après-midi (1938), Ernest Hemingway, éd. Folio, 1972, p. 21
- Citation choisie pour le 23 décembre 2016.
Médias
modifierPresse
modifierL'art et le sacré ne font qu'un. Un authentique anticlérical comme Stendhal le savait, qui se laissait éblouir en Italie par la splendeur des églises qu'il visitait.
- « Samuel Brussel, l'inactuel », Propos recueillis par Bernard Quiriny, l'incorrect, nº 3, Novembre 2017, p. 71
Charles-Augustin Sainte-Beuve, Causeries du lundi, 1850
modifier- Il est ici question de Balzac.
- Le siècle du progrès — Anthologie établie et présentée par Pierre Berès, Charles-Augustin Sainte-Beuve, éd. Hermann (éditeurs des sciences et des arts), coll. « Collection savoir : lettres », 1992 (ISBN 2-7056-6179-4), partie Balzac, 2 septembre 1850. Causeries du lundi, t. II, p. 35
Radio
modifierJacqueline de Romilly, La Fabrique de l'Histoire, 2005
modifier- Jacqueline de Romilly , La Fabrique de l'Histoire, France Culture, 20 décembre 2010 (rediff. de 2005)
Musique
modifierCritique
modifierClaude Debussy, Monsieur Croche et autres écrits, 1901-1914
modifier- Monsieur Croche et autres écrits (1901-1914), Claude Debussy, éd. Gallimard, 1987, p. 66
- Monsieur Croche et autres écrits (1901-1914), Claude Debussy, éd. Gallimard, 1987, p. 110
Camille Saint-Saëns, Regards sur mes contemporains, 1990
modifier- Regards sur mes contemporains, Camille Saint-Saëns, éd. Ed. Bernard Coutaz, 1990, p. 140
Propos de moralistes
modifierJoseph Joubert, Pensées
modifier- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 5 (texte intégral sur Wikisource)
- Citation choisie pour le 9 septembre 2011.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 7-8 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 132 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 7-8 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 132 (texte intégral sur Wikisource)
Psychanalyse
modifierCharles Baudouin, L'Œuvre de Jung et la psychologie complexe, 1963
modifier- L'Œuvre de Jung et la psychologie complexe (1963), Charles Baudouin, éd. Payot & Rivages, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2002 (ISBN 2-228-89570-9), partie I. Idées directrices, chap. IV. Prométhé et Epiméthée, Psychologie et poésie, p. 135