Anstaing
Anstaing est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Anstaing | |||||
L'église Saint-Laurent d'Anstaing. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Etienne Dumoulin 2020-2026 |
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Code postal | 59152 | ||||
Code commune | 59013 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Anstinois | ||||
Population municipale |
1 601 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 696 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
1 058 474 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 36′ 21″ nord, 3° 11′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 23 m Max. 40 m |
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Superficie | 2,3 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Lille (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Templeuve-en-Pévèle | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | mairie-anstaing.fr | ||||
modifier |
Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Géographie
modifierLocalisation
modifierAnstaing se situe dans le pays du Mélantois, à la limite de la Pévèle en Flandre romane, à 13,5 km au sud-est de Lille, 42,1 km au nord de Douai et à 15,8 km à l'ouest de Tournai.
Géologie et relief
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par[1],[Carte 1].
La Marque, d'une longueur de 32 km, prend sa source dans la commune de Thumeries et se jette dans le canal de Roubaix à Wasquehal, après avoir traversé 25 communes[2]. Les caractéristiques hydrologiques de la Marque sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 0,836 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 12,714 décembre 196 610,8 m3/s, atteint le [3].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Marque Deûle ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 120 km2 de superficie, délimité par les bassins versants de la Marque et de la Deûle, formant une vaste cuvette sédimentaire de 40 km de long et de 25 km de large, où la pente est très faible. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la Métropole européenne de Lille[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 684 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Anstaing est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française)[Note 3], une agglomération internationale regroupant 60 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[13]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,2 %), zones urbanisées (27,2 %), prairies (17,4 %), forêts (2,1 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
modifierLa gare d'Anstaing était desservie par des TER circulant entre les gares d'Ascq et d'Orchies jusqu'à la fermeture de la ligne.
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 66, 72 et 73 ainsi que par les lignes sur réservation 20R et 69R du réseau Ilévia[17].
Toponymie
modifierAnsten en 1136[réf. nécessaire].
Histoire
modifierAu XVe siècle, Anstaing faisait partie d'Ascq.
Il y avait autrefois un hôpital destiné à loger les pèlerins. Il fut abandonné après que certains hôtes eurent égorgés ceux qui y étaient préposés. Les biens en furent donnés à l'hôpital St-Sauveur de Lille.
Un vieux château, bâti par les comtes de Flandre, existait encore au XVIIIe siècle.
En août 1693, sont érigées en marquisat (titre de marquis), les terres d'Anstaing et de Gruson, situées dans la châtellenie de Lille, sous la dénomination de marquisat de Fiennes, par lettres données à Versailles et enregistrées le 31 octobre 1699, en faveur de Maximilien de Fiennes, chevalier, comte de Lumbres, maréchal des camps et armées du roi, en récompense des services rendus comme maréchal des camps, brigadier et maître de camp d'un régiment de cavalerie, dans les divers commandements exercés où il a fait preuve de valeur, courage et aussi en considération de sa famille qui est une des plus illustres des Pays-bas, qui a possédé des charges considérables et a donné un connétable à la France sous le règne des rois Jean (Jean le Bon) et Charles V, et est alliée aux maisons les qualifiées dudit pays, et dont le fils, le comte de Fiennes rend journellement de grands services au roi en qualité de mestre de camp d'un régiment de cavalerie. En cas de non succession mâle ou femelle, le marquisat sera éteint. Maximilien de Fiennes négligea de faire enregistrer ces lettres, et obtient des lettres de surannation datées de Versailles le 26 septembre 1698[18].
En , sont données à Versailles des lettres autorisant Auguste-Joseph-Félicité de Matharel, fils de Marie-Joseph de Matharel, marquis de Matharel, chevalier de l'ordre de Saint-Louis, gouverneur des ville et château de Honfleur, et d'Adelaïde-Félicité de Fiennes, fille de Maximilien, marquis de Fiennes, maréchal des camps et armées du roi, arrière-petite-fille de Maximilien de Fiennes, comte de Lumbres, chef de la maison de Fiennes, accordant l'érection des terres d'Anstaing et de Gruson (près de Lille) en marquisat, sous le nom de Fiennes et lui permettant à lui et à sa postérité, d'ajouter à son nom et à ses armes, celui et celles de Fiennes du Bois[19].
À cette date de 1776, la seigneurie d'Anstaing (différente du marquisat évoqué ci-dessus) est détenue par Joseph-Chrétien-Michel-Anaclet Le Maistre (1711-1748), écuyer[20]. Joseph Le Maistre est seigneur d'Anstaing, Thérombecq, Gruson, La Hamayde, Esplechin, Le Brefay, le Colombier, fils de Michel, écuyer et de Marie-Joseph Redincq y Barba. Il nait à Séville le , devient bourgeois de Lille le , meurt à Lille le . Il est enterré à Anstaing. Il se marie le avec Isabelle-Caroline (ou Charlotte) Jacops (1710-1785), dame de Willem (Willems?), Fresnoy, Robigeux, la haute Anglée, fille de Martin Jacops, seigneur d'Ascq, Rocques, Tereumbecque, bourgeois de Lille et de Marie-Albertine Diedeman. Elle nait à Lille en septembre 1710 (baptisée le ) et décède à Lille le à 74 ans[20],[21].
La fille de Joseph le Maistre et d'Isabelle Jacops, Isabelle-Ernestine-Joseph le Maistre d'Anstaing, dite Mademoiselle de Thérombecq, épouse à Lille le Charles-Louis-Philippe du Chambge de Liessart (1746-1801), chevalier, seigneur de Liessart, Frévillers, dit Monsieur de Frévillers, jusqu'à la mort du Président de Liessart son père, conseiller du roi en ses conseils et premier président du bureau des finances de la généralité de Lille après son père, grand bailli du Hainaut, commissaire le 28 juillet 1779 pour l'audition et l'arrêté des comptes des États de Lille, Douai, Orchies (Flandre wallonne)[22]. Leur autre fille, Marie-Joseph-Charlotte le Maistre d'Anstaing, née en 1739, se marie le avec Jean-Baptiste-Louis Rouvroy (1733 ou 1735- 1788), né en août 1733 ou 1735, fils de Jacques-François-Alexandre de Rouvroy, chevalier, seigneur de Fournes, trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Lille, et de Marie-Claire-Joseph-Bonne Jacops, capitaine au régiment de la Tour-du-Pin, mort le . Une dernière fille épouse le comte de Bonnescuelle d'Orgères[23].
Politique et administration
modifierSituation administrative
modifierTendance politique
modifierAdministration municipale
modifierMaire de 1802 à 1807 : F. J. Delaoutre[25],[26].
Maire en 1808 : Vandevoorde[27].
Instances judiciaires et administratives
modifierLa commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.
Politique environnementale
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2021, la commune comptait 1 601 habitants[Note 6], en évolution de +14,03 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 727 hommes pour 784 femmes, soit un taux de 51,89 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Santé
modifierEnseignement
modifierAntaing fait partie de l'académie de Lille.
Sports
modifierMédia
modifierCultes
modifierÉconomie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Laurent d'Anstaing. Elle contient un bas relief du XVe siècle. L'église abrite également la dalle funéraire de Brisse Leroi, curé d'Anstaing mort en 1300, qui représente saint Laurent présentant le défunt à la Vierge (classé MH en 1922[réf. nécessaire]), et un reliquaire d'argent du XVIIe siècle travaillé au poinçon orné des armes de la famille d'Oignies (classé MH en 1933[réf. nécessaire]).
- Devant le cimetière communal d'Anstaing, le monument aux morts commémore les morts des deux guerres mondiales, et sur le cimetière se trouve la tombe d'un soldat britannique de la Commonwealth War Graves Commission.
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Une dalle funéraire au sol de l'église.
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Statue de saint Laurent dans l'église.
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Vitrail à droite de l'autel.
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Vitrail à gauche de l'autel.
- La commune possède plusieurs chapelles-oratoires : la Chapelle Saint-Laurent, la Chapelle Notre-Dame d'Anstaing datant de 1883 ; la Chapelle des seigneurs ou du Plantis, décorée des armes de J.C.M.A. Le Maistre, seigneur d'Anstaing et de sa femme Charlotte Jacops, XVIIIe siècle ; la Chapelle à la Vierge ; une chapelle anonyme, rue Paul Lafargue, et une chapelle privée, domaine Patsoort.
La chapelle Saint-Laurent entoure une source qu'on dit ouverte miraculeusement par saint Piat de Seclin de passage dans la région. Cette source est réputée guérir les brûlures et les maladies de peau. Un pèlerinage de neuf jours (neuvaine) a lieu tous les ans au mois d'août.
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La chapelle Saint-Laurent.
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Dans la chapelle, un retable et la statue de saint Piat.
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La source « miraculeuse ».
- Manoir de La Hamaide, édifié au XVIIe siècle, relais de poste, ancienne résidence de la famille Le Maistre d'Anstaing.
Personnalités liées à la commune
modifierPhoto panoramique
modifierHéraldique
modifierLes armes d'Anstaing se blasonnent ainsi : « D'or au premier quartier de gueules. » |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:05 TU à partir des 682 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1966 au 01/06/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lille (partie française) comprend une ville-centre et 59 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique d'Anstaing » sur Géoportail (consulté le 20 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Fiche communale d'Anstaing », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « la Marque »
- « Station hydrométrique La Marque à Bouvines », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
- « SAGE Marque Deûle », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Anstaing et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 352, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 112, lire en ligne
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.412 (lire en ligne).
- Paul (1874-19 ) Auteur du texte Denis Du Péage, Recueil de généalogies lilloises. Tome 2 / par Paul Denis Du Péage,..., 1906-1909 (lire en ligne), p. 552-554
- Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 53-57.
- Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 132-133.
- « 133 maires ANECR élus ou réélus au premier tour – CIDEFE »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur cidefe.fr (consulté le ).
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 118-119, lire en ligne.
- « Annuaire du département du Nord pour l'année 1809. », sur lillonum.univ-lille.fr/, p. 160. Image 179.
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926580/21599680
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Anstaing (59013) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).