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Escurès

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Escurès
Escurès
L'église Saint-Orens.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Jean Nabos
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64210
Démographie
Gentilé Escurèsiens ou Escuressiens ou Escurèsois
Population
municipale
143 hab. (2021 en évolution de −5,3 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 57″ nord, 0° 07′ 22″ ouest
Altitude Min. 171 m
Max. 312 m
Superficie 4,18 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Escurès
Géolocalisation sur la carte : France
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Escurès
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Escurès
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Escurès

Escurès est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Escurès se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 33,0 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 29,9 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Castillon (1,7 km), Lespielle (1,9 km), Lembeye (2,0 km), Corbère-Abères (3,0 km), Arricau-Bordes (3,3 km), Samsons-Lion (3,4 km), Séméacq-Blachon (4,0 km), Bassillon-Vauzé (4,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Escurès fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Castillon, Corbère-Abères, Lembeye, Lespielle et Simacourbe.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Escurès.

La commune est drainée par le Laas, le Lisau et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et longe le territoire communal dans sa partie sud-ouest, constituant la limite communale avec Simacourbe. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[8].

Le Lisau, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans la commune d'Escurès et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Larcis à Aubous, après avoir traversé 7 communes[9].

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et montagnard[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Pyrénées atlantiques »[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 080 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 10 km à vol d'oiseau[13], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[18], d'une superficie de 220 ha, présentant des pelouses calcaires riches en orchidées et autres plantes rares régionalement, globalement bien conservées[19],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[20],[Carte 3] : les « coteaux calcaires du Béarn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du département[21].

Au , Escurès est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32 %), terres arables (29,6 %), prairies (21,4 %), zones agricoles hétérogènes (17 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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  • Castets
  • Labalette
  • Montestrucq
  • Peyre

Voies de communication et transports

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Elle est desservie par les routes départementales 13, 139 et 413.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Escurès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez et le Lisau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2018[28],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Escurès.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 68,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[30].

Le toponyme Escurès apparaît sous les formes Mercatus Escuresii (XIIe siècle[31], cartulaire de l'abbaye de Saint-Pé[32]), Sanctus Justinus de Scures (XIIe siècle[31], collection Duchesne volume CXIV[33]), Escurees (XIIIe siècle[31], fors de Béarn[34]), Los Cassos d'Escures (1343[31], hommages de Béarn[35] - ce toponyme évoque le lieu d'assemblée judiciaire sous des chênes) et Saint-Orens d'Escurès (1775[31], terrier d'Escurès[36]).

Le toponyme Castets apparaît sous les formes Castellum (XIIe siècle[31], cartulaire de l'abbaye de Saint-Pé[37]) et Casteg (1385[31], censier de Béarn[38]).

Le toponyme Montestrucq apparaît sous les formes Montastruc (1385[31], censier de Béarn[38]), Montestrucq (XVIIIe siècle[31], carte de Cassini) et Montestruc (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[31]).

Paul Raymond[31] note qu'en 1538, Montestrucq comprenait deux cents arpents et qu'en 1385, Escurès et Castets dépendaient du bailliage de Lembeye et comptaient respectivement sept et deux feux.

Castets est une ancienne paroisse et son fief était vassal de la vicomté de Béarn, tout comme celui de Montestrucq.

Les Hospitaliers

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Escurès appartenait à la commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.

Politique et administration

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Liste des maires d'Escurès
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Jean Nabos    
2008 2014 Jean Nabos    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Escurès fait partie de trois structures intercommunales[39] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].

En 2021, la commune comptait 143 habitants[Note 7], en évolution de −5,3 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
212205221210271266273286267
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
251248240226226231209204201
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
186186170166157139134123110
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1128383101142138155158151
2017 2021 - - - - - - -
148143-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Escurès appartient à l'aire d'attraction de Pau.

La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

Culture locale et patrimoine

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Entrée dans Escurès.

Patrimoine civil

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Les vestiges d'une ancienne maison noble[44] au lieu-dit Montestrucq, déjà recensée en 1385, témoigne du passé ancien du village.

Le château[45] du lieu-dit Castets date du XVIIIe siècle.

La commune présente un ensemble de fermes[46] des XVIIe et XVIIIe siècles.

Patrimoine religieux

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Les vestiges de l'église Saint-Nicolas[47] faisaient partie de l'ensemble fortifié[48] du lieu-dit Castets (Mouta de Castets). L'église est mentionnée dès le XIe siècle.

L'église Saint-Orens[49] date partiellement du XIIe siècle. Elle recèle du mobilier[50], des tableaux[51], des statues[52] et des objets[53] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements

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Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Escurès » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Escurès », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Escurès », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Escurès et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Escurès et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Escurès », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale d'Escurès », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Laas ».
  9. Sandre, « le Lisau ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Escurès et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escurès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200779 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Escurès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF les « coteaux calcaires du Béarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Escurès », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  31. a b c d e f g h i j et k Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  32. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn, page 432
  33. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papiers d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  34. Manuscrit du XIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  36. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn, page 324
  38. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  39. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison Montestrucq
  45. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château du lieu-dit Castets
  46. [1][2] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les fermes anciennes
  47. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Nicolas
  48. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié dit Mouta de Castets
  49. [3][4] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur l'église Saint-Orens
  50. [5][6][7][8][9][10][11][12][13][14][15][16][17][18] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Orens
  51. [19][20] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'église Saint-Orens
  52. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les statues de l'église Saint-Orens
  53. [21][22][23][24][25][26][27][28][29][30][31] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Orens

Articles connexes

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Liens externes

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