impatronisation
Étymologie
modifier- (1611) Dérivé de impatroniser.
Attestations historiques
modifier- (XVIe siècle) Impatronisation. — (Randle Cotgrave)
Nom commun
modifierSingulier | Pluriel |
---|---|
impatronisation | impatronisations |
\ɛ̃.pa.tʁɔ.ni.za.sjɔ̃\ |
impatronisation \ɛ̃.pa.tʁɔ.ni.za.sjɔ̃\ féminin
- Action d’impatroniser, de s’impatroniser.
- Le père Rouget se trouva très heureux de l’impatronisation de Max au logis, car il eut une personne qui fut aux petits soins pour lui, mais sans servilité cependant. — (Honoré de Balzac, La Rabouilleuse, Furne, Paris,1843)
Néanmoins, le 18 janvier dernier, quand eut lieu la traditionnelle remise de l’épée, dix jours avant l’impatronisation du nouvel habit vert sous la Coupole, Élisabeth de Fontenay, préposée au discours de circonstance, lança dans sa péroraison : « C’est la première fois qu’un juif en majesté entre à l’Académie. »
— (Mediapart du 31/01/2016, Le jeudi noir d’Alain Finkielkraut)
Traductions
modifierPrononciation
modifier- France (Lyon) : écouter « impatronisation [Prononciation ?] »
Références
modifier- Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (impatronisation)