Giat

commune française du département du Puy-de-Dôme

Giat (Giac en occitan) est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Giat
Giat
Mairie.
Blason de Giat
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans
Maire
Mandat
Didier Sénégas-Rouvière
2020-2026
Code postal 63620
Code commune 63165
Démographie
Gentilé Giatois
Population
municipale
793 hab. (2021 en évolution de −4,34 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 10″ nord, 2° 28′ 06″ est
Altitude Min. 704 m
Max. 824 m
Superficie 47,95 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Ours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Giat
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Giat
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Giat

Situé dans la région des Combrailles, ce petit bourg devient, à l'occasion de ses foires, une ville où se rassemblent en l'espace d'une journée plusieurs milliers de personnes provenant des régions avoisinantes.

Géographie

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Localisation

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Giat est un bourg des Combrailles situé près de la source du Sioulet. La Ramade y forme le vaste étang de la Ramade et la limite avec la Creuse.

Giat est situé à 11 km d'Herment, à 13 km de Crocq, à 20 km de Pontaumur, à 24 km de La Courtine et à 64 km de Clermont-Ferrand.

Giat possède une gare située sur la ligne de Montluçon-Ville à Eygurande-Merlines mais cette ligne a été fermée au trafic voyageurs le .

Selon une méthode empirique d'approximation géométrique, on situerait ce village à l'intersection des trois diagonales principales de l'Hexagone représentant la métropole.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Basville, Flayat, Saint-Merd-la-Breuille, La Celle, Condat-en-Combraille, Fernoël, Saint-Étienne-des-Champs, Verneugheol et Voingt.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 058 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Courtine », sur la commune de La Courtine à 20 km à vol d'oiseau[3], est de 9,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 092,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Giat est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8] et hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,8 %), zones agricoles hétérogènes (32,7 %), forêts (19,2 %), zones urbanisées (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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La naissance de Giat comme lieu reconnu officiellement débute au Moyen-âge, mais les recherches et les fouilles effectuées depuis le XIXe siècle ont permis de remonter à la préhistoire. Les vestiges et ustensiles préhistoriques les plus impressionnants se trouvent en direction de Voingt. La route actuelle suit à peu près le tracé de la voie romaine d’Agrippa qui reliait Lyon à Saintes, donc Clermont à Limoges, et passait par Voingt. La présence d’une cité gallo-romaine à la frontière des Arvernes et des Lemovices a été mise en évidence. Depuis 2009, la Maison archéologique des Combrailles à Voingt permet au visiteur de remonter l’histoire du pays depuis la préhistoire avec une exposition remarquable sur le thème « des voies et des hommes » qui retrace l’évolution du pays sur 5 000 ans.

Vers l’an mil, le seigneur local fit ériger une motte castrale, avec un château en bois. On peut encore voir cette grande motte féodale de terre et de pierre, haute de plus de dix mètres. Ce fut une des premières fortifications féodales de la région, auxquelles succédèrent des châteaux forts en pierre (tours de Crocq, tour de Sermur en Creuse). Un des seigneurs de Giat fut intendant auprès du roi. Le territoire communal a été aussi le lieu de petites seigneuries : Noizat, Feydet, Ligny, le Ronzet, la Roche du Ronzet, dont le manoir existe encore. Le marquis de la Roche du Ronzet participa au côté de La Fayette à la guerre d’indépendance des États-Unis d’Amérique. Cette famille s’exila à la Révolution, abandonnant sa terre giatoise, et on en retrouve le nom en Europe, aux Amériques, à l’île Maurice. Un La Roche du Ronzet fut récemment ambassadeur du Guatemala aux États-Unis. La porte d’entrée du cimetière est celle de l’ancienne chapelle du domaine du Ronzet.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Giat est membre de la communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans[8], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pontaumur. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[12]. Jusqu'en 2016, elle faisait partie de la communauté de communes de Haute Combraille[13].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[8]. Avant , elle faisait partie du canton de Pontaumur[14].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Ours pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[8], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[14].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Le conseil municipal de Giat, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[15] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[16]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. La totalité des candidats en lice est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 54,49 %[17].

Chronologie des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 (-1986) mars 2001 Jean-Paul Bouchaud    
mars 2001 avril 2009 Denise Le Cossec    
juin 2009 En cours
(au )
Didier Sénégas-Rouvière[18],[19]   Enseignant retraité[20]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 793 habitants[Note 1], en évolution de −4,34 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9091 5701 5701 9772 3092 2112 1542 1922 150
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1181 8431 9091 8521 8981 9762 0572 0152 092
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1022 1772 0781 9571 8701 8341 7251 7091 637
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 5211 5161 3741 1521 049958932918891
2014 2019 2021 - - - - - -
836797793------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les foires à Giat

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Giat est réputé pour ses 22 foires par an. La première date de 1359.

Ces 22 foires se déroulent selon des dates fixes qui ne changent jamais d'année en année. Les foires tombant un dimanche sont avancées au samedi précédent.

Dates traditionnelles des foires
date traditionnelle Qualification courante ou foire spéciale
7 janvier « Foire des rois »
29 janvier
16 février
12 mars
30 mars
15 avril « Foire de printemps »
29 avril marché à l'occasion
12 mai foire des jardins potagers et d'ornement
25 mai foire des jardins potagers et d'ornement
8 juin
30 juin
11 juillet
26 juillet
9 août foire brocante sur la journée
20 août
16 septembre
2 octobre
26 octobre « Foire aux chrysanthèmes »
15 novembre foire au matériel agricole
29 novembre
13 décembre
22 décembre « Foire de Noël »

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Barthélemy de Giat. Reconstruite en 1875, elle conserve des éléments romans du XIIe siècle. Chemin de croix en lave émaillée de Louis Dussour.
  • Une motte castrale est très bien conservée près de l'église. Datant de l'époque 1100-1200, cette motte, nommée populairement la Butte fut construite avec des outils rudimentaires. En effet, à cette époque, l'acier était réservé aux lances et aux flèches.
Cette motte féodale est une des mieux conservées des Combrailles, voire de l'Auvergne : en son sommet était construit un château en bois, moyen de défense, avec fossés qui en faisaient le tour, des salles, des caves et des souterrains servant de communication avec d'autres châteaux. La motte mesure à sa base une soixantaine de mètres et 25 à 30 mètres à son sommet, et est haute d'environ 12 mètres. Elle est entourée d'un fossé et on mentionne autour d'elle plusieurs souterrains sans description depuis le début du XXe siècle. En 1783, M. de la Salleen aurait mené des fouilles[25].
  • Étang de la Ramade : baignade, sports nautiques, pêche.

Langue régionale

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La langue régionale de Giat est l'occitan (parler nord-occitan)[26]. Situé au carrefour de plusieurs régions les parlers et dialectes s'y retrouvaient autrefois lors des foires[27].

Personnalités liées à la commune

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Le cycliste Henri Brunet est né à Giat le . Il fut le premier champion de France de VTT (Vélo Tout Terrain) de l'histoire de cette discipline, en 1987.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Giat et La Courtine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « La Courtine », sur la commune de La Courtine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « La Courtine », sur la commune de La Courtine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Giat ».
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  12. « CC Chavanon Combrailles et Volcans (No SIREN : 200071215) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  13. « CC de Haute Combraille (No SIREN : 246300925) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  14. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  15. Article L. 252 du Code électoral.
  16. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  17. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  18. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  19. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 3.
  20. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 27 (édition du Puy-de-Dôme).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 356.
  26. « Atlas sonore des langues régionales de France », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .
  27. A. E. Sopeña Balordi (Université de Valence), « L'ambiguïté linguistique et sa présence dans les textes involontairement humoristiques », Estudios de lengua y literatura francesas,‎ (lire en ligne).