Ménil-la-Tour

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Ménil-la-Tour est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est. On y trouve divers animaux comme une espèce rare d'oiseaux la "clemencine[2]"

Ménil-la-Tour
Ménil-la-Tour
Église Saint-Laurent.
Blason de Ménil-la-Tour
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Bernard Depaillat
2020-2026
Code postal 54200
Code commune 54360
Démographie
Gentilé Menins, Menines[1]
Population
municipale
337 hab. (2021 en évolution de +0,3 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 00″ nord, 5° 51′ 51″ est
Altitude Min. 221 m
Max. 252 m
Superficie 8,82 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Ménil-la-Tour
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Ménil-la-Tour
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Ménil-la-Tour
Liens
Site web menillatour.mairie54.fr

Géographie

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Fig. 1 Ménil-la-Tour (ban communal).

Le village est situé à l'est de la forêt de la Reine.Le domaine communal s’étend sur une forme complexe ; Il semble à la vue des cartes qu'une partie de cette forêt ait été amputée au profit de la commune de Ménil-la-Tour (Fig. 1.Mesnil -ban communal).

C'est justement sur une de ces parties de la commune de Ménil-la-Tour, près de l’Étang Colnait, que se situait une tuilerie exploitant au XVIIIe siècle les ressources en argile callovien de la contrée[3]

D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 888 hectares comprend en 2011, près de 60 % de terres arables et de prairies, 38 % de forêt et seulement près de 1,5% de zones urbanisées[4].

Le territoire d'altitude moyenne de 225 m est arrosé par 4 cours d'eau : le Ruisseau de Mesnil-La-Tour sur 1,828 km; le Ruisseau de Woëvre sur 0,754 km ; le Ruisseau de l’Étang Colnait sur 1,13 km et le ruisseau de Mafroneau sur 1,187 km qui se jettent dans le Terrouin[5].

Le ban communal est aujourd’hui traversé par la route départementale 904 (ex-route nationale 404) à l'est du village, mais les chroniques archéologiques[6] signalent un ancien chemin traversant la commune du nord au sud pour relier Toul à Pannes vers Bavay (parfois nommé chemin Brabant car ce dernier a fait partie de la Lotharingie).

Un moulin a fonctionné longtemps sur la commune[7].

Communes limitrophes de Ménil-la-Tour
Royaumeix Royaumeix Royaumeix
Royaumeix   Andilly
Sanzey Sanzey Bouvron

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de l'Étang Colnait, le ruisseau de Mafroneau, le ruisseau de Menil-La-Tour, le ruisseau de Woevre et le Terrouin[8],[Carte 1].

 
Réseau hydrographique de Ménil-la-Tour[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Colnait (4,2 ha)[Carte 1],[9].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Rupt de Mad, Esch, Trey ». Ce document de planification concerne les bassins versants du Rupt de Mad, de l’Esch et du Trey. Le périmètre a été arrêté le 2 juin 2014, la commission locale de l'eau (CLE) a été créée le , puis modifiée le 0. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Parc naturel régional de Lorraine[10].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 837 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 20 km à vol d'oiseau[13], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 2],[14],[15].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[16]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Ménil-la-Tour est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[19]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,2 %), terres arables (29,4 %), prairies (28,2 %), zones urbanisées (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Mansile (1168-1193), Manis (1270), Manillum (1384) et Mesnil-lès-Toul (1594), sont les différentes graphies du toponyme rencontrées dans le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe[23].

Une étymologie populaire rattache souvent le toponyme Mesnil ou Ménil au terme moulin : c'est en réalité l'un des nombreux mots désignant un village au Haut Moyen Âge (cf. Du Cange sous mansionile[24] et l'article Mesnil). Lorsque le terme n’est pas précédé d’un anthroponyme, il s’agit d’une fondation des Xe – XIIe siècles. En l’occurrence, Ménil apparaît sous la forme Masnil (Ma(ns)ile ?) en 1168/1193[25].

Histoire

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Périodes historiques et préhistoriques

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Le territoire de Mesnil en périphérie du massif de la Reine fut sans doute occupé très tôt dans l'histoire ainsi que l’évoquent les traces archéologiques[26] mentionnées par J. Beaupré :

«Sur le plateau de Haye, vers Andilly, on a trouvé des haches, des poteries, des ossements et différents objets, dont une bague déposée au Musée Lorrain.Un carrier a recueilli, dans une sépulture, des ossements accompagnés d'un vase en terre, en forme de burette, des pierres sculptées et des clous. Restes d'une voie allant du Sud au Nord à l'extrémité orientale du territoire. Un embranchement s'en détachait, allant vers la Meuse, par Sanzey et Boucq (Fig. 1)»

Moyen Âge

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Fragments de mosaïque provenant de la villa de Royaumeix.

La nécropole fouillée entre 1896 et 1979, au lieu-dit le Trou de l'Enfer, classé au nombre des sites d'inhumation de la période mérovingienne[27], indiquerait une fondation du village à cette période, ou du moins une réoccupation d'un site périphérique des grandes villas du haut-empire[28] de Royaumeix.

Il semble d'ailleurs que le village ait eu une histoire commune avec la commune de Sanzey[29] qui porta un temps le nom de Sanzé-Lez-Ménil-La-Tour.

Ménil-la-Tour, qui est une ancienne seigneurie possédée par les barons de Vigneulles, descendants des seigneurs de Pouilly et de Gorcy, aux XVIe et XVIIe siècles[réf. souhaitée][30], était autrefois un franc-alleu, plus tard érigé en baronnie-pairie de l'évêché de Toul, ainsi que le précise Henri Lepage :

« C'était une haute-justice, avec fourches patibulaires, au lieu-dit la Justice, entre Ménil-la-Tour et Bouvron. Les armoiries des seigneurs du lieu étaient d'argent à trois chevrons de gueules, accompagnés de neuf hermines. Près de l'église, ferme qui était autrefois la maison seigneuriale, dont les murs, très-épais, sont percés de barbacanes; elle remonte à plusieurs siècles, et c'est sur l'emplacement de ce vaste bâtiment qu'était, selon toute apparence, bâti le château ou la tour qui a valu à la localité le nom de Ménil-la-Tour; du reste, la tradition conserve à cette construction le nom de Château et celui de Cour-du-Château à la plate-forme qui précède la maison »[31].

Il indique toutefois au sujet des seigneurs de Ménil :

« Cette terre appartint très-longtemps à la famille de Chérisey, dont une branche en prit le nom au XVIIe siècle, et s'éteignit dans les Aspremont, les Serocourt et les La Vallée-Rarecourt-Pimodan. »

Epoque moderne

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Le secrétaire d’État à la Guerre Baker en tournée d'inspection sur le secteur de Mesnil-la-Tour.

Durant la Première Guerre mondiale, le , une brigade (2 régiments) et la totalité de l'artillerie de la 1re DIUS sont intégrées à la 1re armée française. Elle relève la Division Marocaine dans le secteur situé dans la commune et à Royaumeix. Le premier tué est enregistré le 19, les pertes vont devenir quasi quotidiennes à partir de fin janvier et augmenteront progressivement avec l'intensification de l'activité ennemie jusque fin février, se montant à 24 tués, 30 blessés, 2 intoxiqués (gaz) et 13 disparus pour la seule journée du .

 
Les installations ferroviaires américaines.

Un centre de logistique ferroviaire est installé près du bourg par les forces américaines, le Signal Corps N° 17508 en 1917. Un réseau de chemin de fer construit à l'écartement de 600mm, permet au forces américaines d'assurer le transport des troupes, des vivres et des munitions[32]. Tout le matériel fixe (voies, aiguillages) et roulant (locomotives, wagons) provient des Etats-Unis.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Alain Burte    
mars 2008 En cours
(au 23 mai 2020)
Bernard Depaillat[33],[34]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Ancien cadre

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 337 habitants[Note 4], en évolution de +0,3 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
245203300281300355375381354
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
282294309309301279271257258
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
253247236200199198219168175
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
165166204272301297295313336
2020 2021 - - - - - - -
337337-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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H. Lepage indique dans son dictionnaire topographique: «Surf. territ.: 881 hect.; 447 en terres lab., 79 en prés, 1 en vignes, 515 en bois. Pont de trois arches sur le Terrouin. Ecarts : la Folie; moulin à grains, tuilerie..»[23]

ce qui confirme l'activité essentiellement agricole, très peu viticole, de la commune au XIXe siècle et la présence d'un moulin à blé.

Secteur primaire ou Agriculture

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Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[39]), la commune de Ménil-la-Tour était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 136 hectares (en deçà de la surface cultivable communale) en forte baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 522 à 95 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 2 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 2 unités de travail[Note 7].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Vestiges du château.
  • Église Saint-Laurent XIXe : Christ aux liens en pierre.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
D'argent à trois chevrons de gueules accompagnés de dix mouchetures d'hermine de sable 4, 3, 2 et 1.
Détails
Armes de la famille seigneuriale de Ménil-la-Tour, d'ancienne chevalerie.

Utilisé par la commune.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Ménil-la-Tour » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Accueil - Mairie de Ménil-la-Tour », sur menillatour.mairie54.fr (consulté le ).
  2. Kevin Padian et Armand de Ricqlès, « L’origine et l’évolution des oiseaux : 35 années de progrès », Comptes Rendus Palevol, histoire évolutive de la Vie/Evolutionary history of Life, vol. 8, no 2,‎ , p. 257–280 (ISSN 1631-0683, DOI 10.1016/j.crpv.2008.11.007, lire en ligne, consulté le )
  3. https://www.etudes-touloises.fr/archives/70/art4.pdf
  4. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  5. « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « K: 974713 | Ruisseau de Trondes (A5800330) PK: 978376 | Rupt de Bagneux (A5800390) PK: 980440 | Ruisseau du Moulin de Lacore (A5800410) PK: 982347 | Ruisseau de Woevre (A5810310) PK: 984119 | Ruisseau de Menil-La-Tour (A5820320) PK: 989286 | Ruisseau de la Grande Tourniere (A5820360) PK: 989854 | Ruisseau de Mandrelle (A5820370) PK: 990019 | Ruisseau de l'Etang de Bailly (A5820400) PK: 995632 | Ruisseau le Longeau (A5830300) ».
  6. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne).
  7. Cote : NUMM-33691 Type :PERIODIQUE Auteur :Société d'archéologie lorraine Titre(s) :Mémoires de la Société d'archéologie lorraine Publication :A. Lepage (Nancy)
  8. « Fiche communale de Ménil-la-Tour », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  9. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
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  16. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
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  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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